Par Eric
Ruiz
Je vous
fais part des choses, dans l’ordre que je les ai reçues. Aussi ne soyez pas
surpris s’il vous semble que je ne réponds pas directement au sujet, je préfère
laisser l’Esprit saint conduire ce message.
Après tout,
je ne suis pas l’instigateur mais un simple serviteur et transcripteur.
Commençons :
Il y a souvent
une confusion dans les prières : par exemple celles de croire que Dieu
vient s’inviter dans nos projets.
« Seigneur,
je t’invite dans mes projets, dans mes décisions et dans chaque domaine de ma
vie. Je sais que tu peux tout et que rien n’est impossible pour toi. »
Cette
prière à l’apparence d’être belle et inspirée et pourtant… et pourtant elle est
à l’opposé de ce que le Saint-Esprit fait dans la vie d’un disciple.
On n’invite
pas Dieu dans nos projets. Nous devons faire les œuvres du Père et non
l’inverse…ce n’est pas au Père d’agréer nos œuvres.
Jésus le
premier des frères en est l’exemple originel.
« Jésus
[…] leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire
de lui-même, il ne fait que ce qu'il voit faire au Père; et tout ce que le Père
fait, le Fils aussi le fait pareillement. Car le Père aime le Fils, et lui montre
tout ce qu'il fait; et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci,
afin que vous soyez dans l’étonnement […] parce que je ne cherche pas ma
volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé » (Jean 5 : 19-20)
Dieu ne
vient donc pas, bénir nos œuvres.
Il ne
vient pas nous faire comprendre que celle-ci est juste et qu’elle est faite
selon sa volonté et que l’autre n’est pas selon sa volonté.
C’est
nous-mêmes qui nous invitons dans ses œuvres (à partir nos prières ferventes).
Notre
prière juste est donc : « Seigneur, invite moi dans tes
projets, fasse que mes décisions soient les tiennes dans
chaque domaine de ma vie ».
Nous ne
devons pas mettre Dieu de notre côté mais inversement nous devons prier pour
partager ses projets. La nuance n’est pas ridicule, elle est fondamentalement
différente.
Beaucoup
se targuent de connaître la vérité, de connaître Dieu, mais ils manifestent un
mensonge par leur prière…
Pourtant
ils ont un exemple de taille sous les yeux.
Jésus
faisait ce qu’il voyait au Père.
Il pouvait
avoir une vision d’une scène qui allait se produire, comme il a eu avec Zachée
le percepteur (Luc 19).
Jésus le
vit en haut du sycomore, (c’est ce qui lui fit lever les yeux) et il
l’interpella en lui demandant de descendre car il s’était vu avec lui
auparavant, mangeant chez lui dans la journée.
Son Père céleste
lui avait alors montré le salut entrant dans cette famille.
Mais Jésus
pouvait aussi être éclairé, pas après pas, à la seconde même.
Par
conséquent : Jésus devait s’attendre à quelque chose, mais sans savoir quand
(à quel moment exactement) il serait
éclairé. Il était soumis à une inspiration venant d’en haut.
Il n’avait
pas d’envie particulière, pas de rêve pour lui-même, mais son temps de
formation (qui avait duré 30 ans) lui avait enseigné à attendre, à exercer la
patience et passer par une soumission totale, une abnégation totale.
Une
personne qui veut tout contrôler dans sa vie, ne peut pas être partenaire de
Dieu, elle ne peut pas lui être soumise (elle garde le contrôle, elle a sa main
agrippée au volant de sa vie comme un jeune enfant peut être cramponné à la
main de sa mère, craignant un monde hostile).
De même
une personne qui a peur de pécher ne peut s’unir, elle aussi à Dieu, car elle
devrait plutôt ne pas aimer pécher que d’en avoir peur.
Nous
devons donc passer du temps à laisser l’esprit grandir en nous, pour qu’il
prenne de plus en plus de place, pour finalement devenir un disciple accompli, parfait,
mature : un « agapetos ».
Je me
souviens l’histoire d’un homme de Dieu originaire du Texas, qui n’hésitait pas
à attendre toute une journée s’il le fallait pour que la situation qu’il avait
vu en vision arrive et croise la réalité.
Le miracle
était à ce prix.
S’il avait
été un homme pressé, il aurait agi par lui-même et aurait manifesté ses œuvres.
Partons
d’un exemple : si je pressens que je vais avoir un combat, et qu’une
épreuve difficile est sur le point d’arriver, vais-je prier : « Père
éloigne de moi cette épreuve ?, ou bien, faire comme Jésus a fait, et prier :
mais que ta volonté soit faite ; et attendre patiemment son intervention,
sans vouloir précipiter les choses ?
Jésus
s’est vrai s’est repris dans sa prière « Père, si tu voulais
éloigner de moi cette coupe! Toutefois, que ma volonté
ne se fasse pas, mais la tienne. » (Luc 22 :42)
Le combat de la chair et l’esprit demeure, même pour le
fils de Dieu, qui atteint à un moment donné le bout de ce qu’un humain peut
endurer. Mais Dieu nous aide face à la tentation, si notre cœur est bien
disposé.
Pour Jésus, un ange est venu le fortifier.
Bien-sûr
que nous avons tous envie que nos épreuves soient aplanies.
Mais est-ce
la volonté de notre Père ?
Nous avons
l’envie pressante de chasser les démons avant même de les rencontrer.
Je faisais
cette prière, chez moi, il n’y a pas si longtemps ; en voulant anticiper
les mauvaises réactions de certains élèves hyperactifs : « Père, par
ta puissance je chasse les esprits impurs qui agitent fortement certains élèves
de ma classe… »… Et j’ai été repris en moi. Je dois les rencontrer pour
les chasser, ces démons.
Je dois
vivre la situation.
Mais quand
la situation arrive, alors un ange vient nous aider.
Nous
devons passer là où Dieu nous fait passer et à priori ce n’est pas de gaité de
cœur forcément au départ.
La
confiance, la foi se situe là.
Qui a
envie d’affronter la tempête ?
Personne…
on est comme tout le monde, on fuit le désagrément, la souffrance, la guerre
pour rechercher le bien-être et la paix.
Donc prier :
« Seigneur éloigne de moi la tempête » ou prier pour avoir du beau temps
est-ce prier selon la volonté de Dieu ?
Ne
devrions-nous pas plutôt priez notre Père pour qu’il nous donne la force
d’affronter toutes éventualités (les tempêtes, les inondations, les orages, la guerre) ?
Si nous
prions notre Père en anticipant sa réponse, comment pourrait-on être dans l’étonnement ?
Jésus
lorsqu’il chassait les démons ou faisait des miracles provoquait l’étonnement.
Même lui était dans l’étonnement devant la foi d’un centenier qui
avait compris la puissance de la soumission. Il venait pour entendre Jésus donner ses ordres aux
esprits impurs pour que son soldat fut guérit.
Jésus
n’avait jamais vu une telle foi dans tout Israël.
Le
grec "Thaumazo" employé dans de nombreux
versets bibliques va plus loin il dit : s’étonner fortement, s’émerveiller
et même : être admiratif.
Donc
l’admiration est ici, synonyme de louange et elle est pour tous, aussi bien pour
celui qui est délivré que pour celui qui exerce le lien avec le Père.
Le
résultat de cet étonnement est que la surprise est générale ; la joie est
partagée.
Pourtant
les prières montrent que les croyants en général veulent les bénédictions mais
sans les inconvénients liés à la soumission.
C’est pourquoi, on préfère prier pour
ne pas tomber malade plutôt que de prier pour être guéri.
Mais Dieu
se glorifie dans la guérison.
Alors, le
Christianisme fait des croyants qui prennent des médicaments pour ne pas tomber
malades, comme si être malade était un aveu d’échec et de manque de foi.
Pour être
admiratif, nous devons passer par une phase de déstabilisation où nous allons
nous poser la question : comment vais-je me tirer de ces mauvais
draps ?
Ou plutôt :
comment Dieu va s’y prendre pour me sortir de cette impasse ?
Tout
abandon nécessite une marche aveugle. Nous marchons sur l’eau ou nous marchons
les yeux bandés tel un funambule sur un fil suspendu au-dessus du vide.
La confiance
en Dieu ce n’est pas que des mots mais nos actes suivent nos paroles.
Maintenant
pendant que je méditais le chapitre 22 de Luc, il m’est arrivé une chose
étonnante, j’étais dans l’admiration oui, pour mon Dieu qui envoie ses anges
pour nous parler et nous fortifier. Je savais que derrière le chapitre 22,
j’allais comprendre une chose admirable ; qu’une clé m’avais été donnée.
Je me mis
alors à parcourir les chapitres 22 de la Bible et deux mots figèrent mon
attention à chaque fois : « l’ange de l’Eternel »,
l’ange de Dieu. Ce mot ange s’est mis alors à résonner.
J’ai
commencé, bien-sûr, par Luc 22 : 43 : « Alors un ange lui apparut du ciel,
pour le fortifier» (Jésus
dans le jardin de Gethsémané avant la trahison et sa crucifixion) .
Puis j’ai
voulu voir ce qu’il y avait dans le livre de la Genèse au chapitre 22
Genèse
22 : 11-12 « Alors l'ange de l'Eternel l'appela des
cieux, et dit: Abraham! Abraham! Et il répondit: Me voici! L'ange dit: N'avance pas ta main sur
l'enfant, et ne lui fais rien; car je sais maintenant que tu crains Dieu »
Ensuite
j’ai voulu voir si le dernier livre de la Bible rejoignait le premier
livre :
Apocalypse 22 :8 « C'est moi Jean, qui ai entendu et vu ces
choses. Et quand j'eus entendu et vu, je
tombai aux pieds de l'ange qui me les montrait, pour l'adorer. Mais il me dit: Garde-toi de le faire! Je
suis ton compagnon de service, et celui de tes frères les prophètes, et de ceux
qui gardent les paroles de ce livre. Adore Dieu. »
Puis
j’enchaînais les lectures :
Nombres
22 : 22 « La colère de Dieu s'enflamma, parce
qu'il (Balaam) était parti; et l'ange
de l'Eternel se plaça sur le chemin, pour lui résister. …l'ange de
l'Eternel qui se tenait sur le chemin, son épée nue dans la main »
2 Samuel
22 :10-11 « Dieu abaissa les cieux, et il descendit: Il
y avait une épaisse nuée sous ses pieds, il était monté sur un
chérubin,(un ange) et il volait, Il paraissait sur les ailes du
vent. » (Cantique de David)
1 Rois 22 :21-22 « Et un esprit vint se présenter devant
l'Eternel, et dit: Moi, je le séduirai.22 L'Eternel lui dit: Comment? Je sortirai,
répondit-il, et je serai un esprit de
mensonge dans la bouche de tous ses prophètes. L'Eternel dit: Tu le
séduiras, et tu en viendras à bout; sors, et fais ainsi! 23 Et maintenant, voici, l'Eternel a mis un esprit de mensonge dans la bouche
de tous tes prophètes qui sont là. Et l'Eternel a prononcé du mal contre toi. »
(Encore un ange, un esprit, ici, envoyé pour séduire)
Matthieu 22 : 30 « Car, à la résurrection, les hommes ne
prendront point de femmes, ni les femmes de maris, mais ils seront comme les anges de Dieu dans le ciel. »
Actes 22 : 6 « tout à coup, vers midi, une grande lumière venant du ciel resplendit autour
de moi. 7 Je tombai par terre, et j'entendis une voix qui me disait: Saul, Saul, pourquoi me
persécutes-tu? 8 Je répondis: Qui es-tu, Seigneur? »
(C’était un ange là aussi qui parlait à Paul,
qui témoignait devant le Sanhédrin et certains parmi eux d’ailleurs se dirent :
« Nous ne trouvons
aucun mal en cet homme; peut-être un esprit ou un ange lui a-t-il parlé »)
Que nous montrent tous ces versets
étonnants ?
D’abord, que 22 est comme les autres chiffres et nombres
que j’ai déjà annoncé (9, 11, 33), c’est une heure, un moment précis, un
jugement où le spirituel vient croiser le temporel de l’homme.
22 heures
est une heure où apparaît un ange.
Cet ange céleste, n’a pas d’apparence humaine
(c’est un esprit, une parole, une lumière, une apparition prodigieuse) qui vient
aider un croyant, sans qu’il le sache (puisqu’il y a une épaisse nuée sous ses
pieds, 2 Samuel 22 :11) comme avec Abraham, Jésus ou Jean ou encore Paul,
Cet ange
vient pour agrée notre foi, confirmer notre adoption (Abraham), ou nous
fortifier (Jésus), aider à nous convertir (Paul), ou nous avertir pour ne pas
tomber dans l’idolâtrie (Jean).
Mais à 22 heures 22, un ange vient pour une toute
autre mission : Pour Balaam (Nombres 22 :22) c’était pour lui résister et
lui barrer la route ; dresser des murs et pour l’empêcher de passer.
Pour le roi Achab (1 Roi 22 :22) c’était pour mettre un
esprit de mensonge dans la bouche de ses prophètes.
Avez-vous
remarqué (comme moi) qu’à 22 heures 11 Dieu fortifie ceux qui le craignent, par
un ange-gardien, mais un ange venu du ciel (qui apparaît ou qui vient du
ciel) ?
Et à
22 heures 22, Dieu fait trébucher leurs ennemis par un ange terrestre, qui a
l’allure d’un homme (les chapitres 22 versets 11 ou 22 verset 22 en témoignent).
Alors, je peux,
moi aussi, témoigner que le 22 décembre
2014, des anges de Dieu sont descendus du ciel.
Nous
étions en prière et ma mère les voyait descendre comme dans une colonne de nuée
pour venir nous fortifier (alors que j’avais reçu par prophétie leur venu cette
nuit-là mais sans savoir comment cette puissance, ces esprits allaient se
manifester).
Ces anges
sont venus aussi aider à la conversion de ma sœur et de mon beau-frère, ce même
jour.
Nous avons
alors suivi les mêmes instructions que l’apôtre Jean avaient reçu (dans Apocalypse
22) ; et malgré les prodiges, que nous avons vécus dans notre maison, nous
n’avons pas idolâtré l’endroit, le lieu, le bâtiment ou la chambre;
La preuve :
c’est que quatre ans plus tard, alors que nous vivions en communauté, nous
avons été amené à déménagé ; et la décision n’a pas été un déchirement,
mais une joie de servir Dieu.
De même
nous n’avons pas idolâtré le 22 décembre, comme une date anniversaire pour y créer
une fête perpétuelle en souvenir de cette intervention divine ou s’attendre
tous les 22 du mois à ce qu’il se passe quelque chose de surnaturel.
Non, nous
n’adorons pas ce que l’ange nous montre, ni ce qu’il est : un simple
compagnon de route, un serviteur comme chacun de nous.
Nous ne
devons pas guetter les événements qui vont se produire le 22, mais le Seigneur nous avertit, avec ce nombre, qu’il va confirmer une intervention angélique pour ses bien-aimés,
comme pour ceux qui l’outragent.
Job 22 :22
est assez significatif ; Job outrageait Dieu, mais il n’avait pas un ange céleste
devant lui, plutôt un ange terrestre (Eliphaz de Théman)
« Reçois de sa bouche l'instruction, Et mets dans ton cœur ses
paroles.
23Tu seras rétabli, si tu reviens au Tout-Puissant, Si tu éloignes l'iniquité de ta tente. »
23Tu seras rétabli, si tu reviens au Tout-Puissant, Si tu éloignes l'iniquité de ta tente. »
Eliphaz avait la même mission qu’un ange
céleste, celle d’avertir et de prophétiser.
Un ange c’est
un envoyé du ciel, il descend avec une parole. Il peut être invisible (pour ses
bien-aimés) ou visible (pour les outrageux) par une bouche faite de chair, chez
un être humain. L’ange c’est le lien, le trait d’union entre le ciel et la
terre.
L’avenir nous montra qu’Eliphaz fut bien l’ange
providentiel, puisque bien plus tard, après beaucoup de souffrances, Job
reviendra vers Dieu.
Les anges terrestres exercent une mission
similaire aux anges célestes et ils sont envoyés par Dieu de la même
manière ;
C’est encore 2 Rois 22, qui nous l’enseignent :
Le roi de Juda Josias marchait dans l’intégrité avec Dieu. Mais il demanda aux
sacrificateurs de consulter Dieu pour son peuple et Juda (qui péchaient tous
deux);
Et c’est un ange terrestre, une prophétesse,
Hulda qui confirma l’élection du roi, qui seul s’humiliait et pleurait ;
mais pour le peuple outrageant, le châtiment fut prononcé.
On voit les mêmes choses dans le livre
d’Esaïe où Dieu appelle son serviteur Eliakim fils
de Hilkija pour juger chaque habitant d’Israël.
Verset 22 du même chapitre 22: « Je mettrai sur son épaule la clé de la maison de David: Quand il ouvrira, nul ne
fermera; Quand il fermera, nul n'ouvrira ».
L’ange terrestre intervient souvent
ponctuellement, mais il peut avoir un rôle prépondérant pour un peuple en
déroute ; Et être le prophète réfèrent de ce peuple.
Ce fut le cas du prophète Ézéchiel pour
Israël.
Au chapitre 22 verset 22, Ézéchiel parle de
la part de Dieu et la sentence est sans appel :
« Je
vous rassemblerai, et je soufflerai contre vous avec le feu de ma fureur; et
vous serez fondus au milieu de Jérusalem. 22 Comme l'argent fond dans
le creuset, ainsi vous serez fondus au milieu d'elle. Et vous saurez que moi,
l'Eternel, j'ai répandu ma fureur sur vous. ».
Le nombre 22 montre Dieu qui parle et
sa parole est une épée à double tranchant : Elle sépare le ciel de la
terre, les gens de l’esprit, des gens de la matière, c’est-à-dire l’homme
spirituel de l’homme animal.
C’est
souvent après coup que vous réaliserez qu’un ange (qu’il soit céleste ou
terrestre) est vraiment passé à 22 heures.
Comme s’est
après coup que j’ai réalisé avoir reçu cette révélation à partir de 22 heures,
et que j’écrivis ces lignes que je vous lis le 22 mai 2019.
C’est
aussi après coup que j’ai pris conscience que le 22 janvier 2017 j’annonçais un
enseignement sur les malheurs qui arriveraient cette année-là et par la
suite :
Quels
malheurs ?
La chute du règne des
conducteurs d’Eglise et de leurs maisons (Nous sommes en plein dedans, les
églises brûlent de l’extérieur comme de l’intérieur).
Je suis
transparent dans ce domaine, puisque je n’ai jamais cherché à étudier ces
choses.
Ma
position peut vous surprendre, mais c’est une position d’attente, une position
même inactive. Je n’étudie les choses que sous l’impulsion du Saint-Esprit.
Concrètement,
si une pensée forte ne vient pas m’y pousser je ne fais rien, je n’écris rien
et c’est à peine si j’ouvre ma Bible.
Alors nous
voilà au terme de ce message, et je comprends maintenant pourquoi j’ai commencé
par parler de mauvaises prières.
L’aigle,
s’est le quatrième être vivant d’Apocalypse 4, il représente nos prières,
celles qui voient loin… mais l’aigle tire sa puissance du ciel, des anges qui
apportent la parole.
Et l’aigle
trompette…
Dieu avertit
ses disciples en préparation qui ne peuvent atteindre la perfection, qui ne
peuvent être « agapetos », sans l’intervention d’un ange céleste ou
terrestre.
A
22 heures, l’ange s’unit avec le disciple consacré pour le fortifier, pour l’édifier
encore plus dans son élévation.
Mais attention… à ne pas
nous sentir protégé ou invulnérable, simplement parce qu’un ange nous a visité.
1
Chronique 22 : 11 nous montre que le roi David a été un ange gardien pour
son fils Salomon. Il lui a dit comment il devait faire pour garder son
héritage.
Salomon,
a-t-il obéi aux recommandations de son père ?
Non, David
n’a pas été un prophète pour lui, puisque Salomon a bâti un temple, une maison
selon ses propres envies, selon ses œuvres.
Le roi
Salomon a divisé la maison d’Israël par sa désobéissance.
Les habitants
se sont fait la guerre, ont fait la guerre aux autres nations, puis ils ont été
exilés ; et pour finir le temple a été détruit.
Que cette
histoire nous sert de leçon pour persévérer dans notre préparation gardant les
yeux constamment rivés vers notre premier amour : Notre Dieu.
Amen