Par Eric Ruiz
Je sais que certains vont continuer à me prendre pour un « demeuré »
avec mes chiffres, mes nombres, mes numéros, mes heures, mais je préfère dire
ce que je reçois plutôt que de chercher à faire plaisir à l’un ou à
l’autre; Car «déjà la cognée est
mise à la racine des arbres » ne portant pas de bons fruits ; et
que beaucoup regardent au monde… et pas grand monde ne regardent à soi.
Il y a des signes dans notre état normal qui nous informe d’un
danger : La fièvre est un signal objectif.
Il est coutume de dire qu’à moins de 39° de fièvre, il n’y a pas trop
lieu de s’inquiéter, mais qu’à partir de 39°, il y a un signal fort
d’inquiétude et que le médecin doit être appelé.
La fièvre : n’est pas une maladie en soi, elle montre plutôt un
combat intérieur du a une infection possible, une maladie, ou un virus.
Et c’est là que commence la réaction du croyant : soit, il va prier
pour que cette fièvre le quitte, soit il se dira que cette fièvre est une bonne
chose pour chasser le mal.
Quoi faire alors ?
Prier contre la maladie qui s’annonce ou remercier Dieu de sa
bienveillance ?
Mais si notre Dieu est bienveillant, c’est qu’il veut nous délivrer.
Cette fièvre ne vient-elle pas, alors, à point pour nous permettre d’y voir
plus clair en nous ?
La religion nous a tellement appris à chasser le mal hors de nous que
spontanément, c’est la première solution vers laquelle nous allons tendre :
Chassez les démons ! (et en plus sans les identifier).
Or, au 39° Jésus nous dit selon Jean 9 :39 « Je
suis venu dans ce monde pour un jugement, pour
que ceux qui ne voient point voient, et que ceux qui voient deviennent
aveugles. »
A quel stade sommes-nous rendus, à 39° ? (car ici c’est la
neuvième heure, c’est ce chapitre 9 , l’heure de vérité)
Je pense qu’un bon nombre est arrivé au stade où ils sont devenus
aveugles et où ils se débattent avec cette infirmité, comme si elle était
l’œuvre d’un démon. Je pense que nous allons sortir de ce combat : soit en
persistant dans l’aveuglement, soit en recouvrant la vue.
Nous
avons souvent tendance à voir ce qui nous attaque comme l’œuvre du mal et nous
voulons à tout prix lutter contre cette attaque :
Eh bien
ça, c’est vouloir rester aveugle.
Je vais être plus concret, encore : Prier pour que le coronavirus ne nous touche
pas ou que l’on soit guérit en cas de maladie, c’est vouloir rester aveugle ;
ou aussi: Affirmer que la maladie n’a rien à voir avec notre péché c’est encore
vouloir rester aveugle, tout comme être résigné sur son sort en affirmant que
quel que soit l’issu : la maladie, la mort, la délivrance, tout est entre
les mains de Dieu. Oui tout est entre ses mains, mais ouvrons nos
yeux sur son jugement. Le fléau vient montrer des œuvres cachées.
Il y a un récit biblique très clairvoyant à ce sujet : Le
chapitre 39 de la Genèse.
Joseph, fils d’Israël a été attaqué par « une femme démoniaque »
lorsqu’il était en Egypte.
C’était la femme de Potiphar, l’officier de Pharaon. Elle voulait le
séduire et coucher avec lui. Mais
l’attitude de Joseph a été remarquable, puisqu’il a fait le bon choix en fuyant
sa maison, pour ne pas tomber dans l’adultère. Mais malencontreusement, en
fuyant, il a laissé s’échapper son manteau. Cette femme avait une preuve pour
exercer sa jalousie et ainsi l’accuser aux yeux de son mari et le faire
emprisonner.
Joseph en faisant ce qui est bien a conservé sa vue, il n’a pas
regardé aux conséquences, car il s’est certes retrouvé en prison, mais sans
s’être laissé tenter.
Voilà l’effet de la fièvre liée au 39 ème degré. La fièvre (ça c’est
moi qui le dit) a provoqué d’un côté, l’énervement de la femme de Potiphar et
de l’autre, la fuite de Joseph, qui ne s’est pas soustrait à la situation,
puisqu’il a assumé l’injustice, plutôt que de prendre des chemins détournés. Il
a préféré subir injustement la responsabilité d’un viol qu’il n’avait pas
commis.
Dieu l’avait-il abandonné, alors ? Le mal était-il le plus
fort ? Aurait-il dû agir différemment avec cette femme plutôt que de
s’enfuir ?
Toutes ses questions dévoilent plus un manque de foi, qu’une attitude
d’un fils responsable et fidèle. Joseph a bien agi parce qu’il a laissé les
choses se faire à son insu, sans se battre pour obtenir raison.
Matthieu 10 :39, nous dit bien que « Celui qui conservera sa vie la perdra, et
celui qui perdra sa vie à cause de moi la retrouvera. »
Joseph était bien dans cette disposition de cœur, prêt à perdre son
orgueil et sa vie même pour agir selon la justice divine. Il savait qu’il avait
bien agi et ne s’inquiétait pas des conséquences, parce qu’il était dans
l’assurance que tout allait concourir à son bien, même l’injustice, et même la
prison ; car c’est en prison, dans le creuset ou plutôt dans le fond de
la cuve qu’il devait passer avant de se retrouver un jour : bras droit
de Pharaon.
Le fond de la cuve :
Lisons pour cela, Exode 39 :39 :
« Ainsi furent achevés tous
les ouvrages du tabernacle, de la tente d'assignation »…39l'autel d'airain, sa grille d'airain, ses
barres, et tous ses ustensiles; la cuve avec sa base.
Le verset 39 insiste sur ce qui est nécessaire aux sacrifices des
animaux offerts en offrande. Et ce tabernacle est achevé si ces ustensiles y
figurent en totalité et réellement. Jésus, lui aussi insiste sur cette partie
indispensable du Tabernacle. Il en parle auprès des non-voyants en leur montrant
qu’ils ont un tabernacle inachevé.
Où se trouvent les ouvrages tels que l’autel des sacrifices et surtout
la cuve d’airain avec sa base ?
Elle n’est pas présente dans leur temple intérieur, parce qu’ils ne
l’utilisent pas. Ils ne l’utilisent pas : parce qu’ils veulent conserver
leur vie. Ils ne veulent pas renoncer à leur plaisir pour fuir l’adultère.
Le coût est trop cher, la séduction est trop forte, la tentation irrésistible.
Jésus le savait et s’il a redoublé sa prière c’était bien parce qu’il
y avait là, matière à réflexion.
Marc 14 :39 « Veillez
et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation; l'esprit est bien disposé,
mais la chair est faible. 39 Il s'éloigna de
nouveau, et fit la même prière. »
Quelle prière a-t-il refaite?
La même aussi relatée en Matthieu 26 :39 : « Mon
Père, s'il est possible, que cette coupe s'éloigne de moi! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que
tu veux. »
Que veut notre Père ?
Que nous résistions au mal et que nous ne tombions pas en tentation.
Jésus ne priait pas à nouveau pour lui à ce moment-là, sa deuxième
prière c’était surtout pour ses disciples qui ne veillaient plus sur leur chair.
Et là, Jésus montrait le même sacerdoce que Moïse et Aaron avaient
reçu. Il montrait alors clairement où se trouve la cuve et l’autel d’airain qui
figure dans le tabernacle.
Ce temple, ce
tabernacle est en nous et s’il vit en nous, il doit avoir obligatoirement les
mêmes ustensiles.
Si la cuve d’airain est pleine d’animaux est que les ustensiles ne
servent pas à brûler ce qu’il a à l’intérieur, c’est que le temple n’a pas la
vie, c’est qu’il est mort.
Nous devons pour que Christ vive, faire fonctionner cette cuve d’airain
et utiliser les ustensiles qui serviront à brûler nos péchés. Christ pourra
alors et seulement après cela, nous purifier.
Quels sont ces
ustensiles ?
1-La révélation du
péché, 2-la confession et 3-la séparation du mal.
Cet
évangile est le vrai évangile ; c’est celui qui nous fait recouvrir la
vue.
Alors arrivé à ce stade, j’entends déjà les mêmes répliques : « Oui,
c’est toujours le même discours.
Alors qu’aujourd’hui nous avons la Bible pour nous ouvrir les yeux sur
la grâce et voir que sa parole nous suffit, que nous n’avons pas besoin de
revenir à la loi, que cette cuve d’airain n’est qu’un symbole et qu’elle
n’existe plus avec Christ ».
Jésus avait en face de lui les mêmes reproches, les mêmes aveugles qui
croyaient voir : Il leur répondait
Jean 5 :39 « Vous sondez les Écritures, parce que vous
pensez avoir en elles la vie éternelle: ce sont elles qui rendent témoignage de
moi. 40 Et vous ne voulez pas venir à moi
pour avoir la vie! »
En d’autres mots : Vous ne voulez pas de la cuve de l’autel
d’airain pour voir clair, vous préférez interpréter la Bible.
Ce sont des aveugles qui interprètent et qui ne veulent pas retrouver
la vue en suivant Jésus. Ils manifestent qu’ils ne veulent pas la vie.
Luc 6 :39 « Jésus-Christ
leur dit aussi cette parabole: Un aveugle peut-il conduire un aveugle? Ne
tomberont-ils pas tous deux dans une fosse? »
Aujourd’hui, beaucoup voient leur groupe se disséminer par les décès, par
les maladies, par l’éloignement et ils constatent une chose horrible :
leur Eglise est détruite et ils disent alors: « C’est l’œuvre du
diable ! C’est le malin qui nous a attaqués ! Mais Dieu va nous bénir
encore plus, il va ressusciter ce qui est mort… »
Eh bien, ce sont des aveugles qui parlent
ainsi.
Je juge selon l’esprit et non selon la
chair ; Car si cette œuvre est bonne et si elle est voulue de Dieu alors
elle aurait dû continuer à vivre et à prospérer.
Actes 5 :39 « Si cette entreprise ou cette œuvre vient des
hommes, elle se détruira; 39 mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez
la détruire. Ne courez pas le risque d'avoir combattu contre Dieu. ».
Quand une œuvre n’est pas faîte selon la
volonté de Dieu, il la laisse se détruire.
Si nous persistons à vouloir reconstruire par
nous-mêmes, nous prenons le risque de combattre contre Dieu. Et nous rentrons
alors dans le même combat que celui de Balaam, qui bénissait Israël avec ses
mots et qui poussaient les femmes israélites à l’adultère.
Je continue, sur le même registre : Combien
lisent les Psaumes sans y voir le sens ?
Psaumes 18 :39 « Tu me ceins de force pour le combat, Tu fais plier sous moi mes
adversaires. »
Si ce Psaume est vrai… pourquoi ces croyants sont-ils affaiblis
dans le combat, pourquoi sont-ils pliés en deux accablés par la souffrance et
la maladie, alors qu’ils devraient être remplis de force? N’est-ce pas à
l’adversaire de ramper devant eux ?
Ceux qui ne comprennent pas le sens essayeront de se cacher
derrière ce verset : « il fait lever son soleil sur les méchants et
sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes ». Oui
mais ça c’est pour indiquer que la bénédiction est pour tous, car la pluie et
le soleil fait croître les semences quel quelles soient : le blé comme
l’ivraie ; Oui, mais ils diront encore : « c’est l’adversaire,
le diable qui redouble de coups, car il sent sa fin arriver !».
Non, toutes ces interprétations sont décidément fausses !
Lévitique 26 :39 « Ceux d'entre vous qui survivront seront frappés de langueur pour leurs
iniquités, dans les pays de leurs ennemis; ils seront aussi frappés de langueur
pour les iniquités de leurs pères. »
La langueur a été traduit à partir de l’hébreu « maqaq » qui
signifie aussi : se décomposer, pourrir, devenir purulent. Est-ce la
volonté de notre Seigneur pour ses enfants obéissants de les voir
partir en lambeaux?
Sinon alors que signifie aussi le
Psaumes 39 ? « Détourne de moi tes coups! Je succombe sous
les attaques de ta main (la main de Dieu).
11Tu châties l'homme en le punissant de son iniquité, Tu détruis comme la teigne ce qu'il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle ».
11Tu châties l'homme en le punissant de son iniquité, Tu détruis comme la teigne ce qu'il a de plus cher. Oui, tout homme est un souffle ».
Ce n’est pas un combattant de Juda, un homme cruel, méchant
inique qui s’attribue ses paroles-là, c’est le roi David en personne, il se
sait châtier par Dieu. Il sait qu’il peut détruire ce qu’il a de plus cher…
Pourquoi lui, se comportant selon le cœur de Dieu se voit-t-il à
un moment donné de sa vie succombant sous la main de Dieu ?
Et nous, parce que nous sommes sous la grâce, Dieu reviendrait
sur ces lois perpétuelles ?
Notre prière d’humilité devrait-être, si nous voulons voir
Dieu : Psaumes 119 :39
« Éloigne de moi
l'opprobre que je redoute! Car tes jugements sont pleins de bonté. »
Si Dieu est rempli de bonté : c’est nous qui nous sommes détournés de lui.
Si notre sacrifice ne se cantonne uniquement qu’à des mots, que
faisons-nous d’extraordinaire ? En quoi ressemblons-nous à Christ,
l’agneau immolé ?
Ah ! Mais il s’est offert une fois pour toute, pour nos
péchés.
D’accord…
Mais allons plus loin : dites-moi pourquoi Exode 29 : 39 Dieu demandait aux sacrificateurs
Aaron et à ses fils de sacrifier deux agneaux pour se consacrer à son service ?
Jésus-Christ n’est-il pas le seul agneau immolé ? Ou
alors : Doit-il donné sa vie deux fois pour nos péchés ? Je vous
laisse réfléchir…
Exode 29 :39 nous fait poser les
bonnes questions et nous ouvre aussi les yeux :« Voici ce que tu offriras sur l'autel: deux agneaux d'un an, chaque
jour, à perpétuité. 39Tu offriras l'un des agneaux le
matin, et l'autre agneau entre les deux soirs ».
Je répète ma question :
Pourquoi
sacrifier tous les jours pendant sept jours deux agneaux d’un an (un seul
ne suffit pas)?
Toute création en Dieu dure 7 jours ;
une nouvelle consécration dure aussi 7 jours. Donc, deux agneaux doivent être immolés pendant
ce temps: Parce qu’il y a un agneau immolé, brûlé pour le fils unique de Dieu
et il y a aussi un agneau immolé pour
son fils adopté ; car les deux seulement partageront exactement le même
héritage, le même trône.
En Christ nous sommes des souverains sacrificateurs
et nous devons nous sanctifier en sacrifiant ces deux agneaux.
Mais, c’est vrai, après la mort et la
résurrection de Christ, l’un des agneaux (celui du matin) est déjà sacrifié, il
l’a fait à notre place, au matin, à la troisième heure (rappelez-vous Christ
est crucifié, il a été mis sur l’autel, il est l’étoile du matin)… mais celui d’entre
les deux soirs ne l’est pas encore.
C’est à nous dans la journée d’amener sur
l’autel le jeune agneau de nos désirs et de nos passions pour le crucifier lui
aussi.
Nous devons le faire avant la nuit,(«entre les deux nuits »)
pourquoi ?
Parce que nous ne devons pas nous coucher sur
la colère. C’est-à-dire que si nous avons confessés nos fautes, si nous nous
sommes réconciliés avec ceux qui le devaient, nous sommes en paix la nuit
venue.
La paix, c’est une confirmation que notre agneau
a bien été brûlé sur l’autel.
Si nous nous endormons avec la colère, avec des
ressentiments, ou avec de l’amertume, c’est que nous avons laissé des choses
non consumées sur l’autel.
Pour venir(ou pour revenir) à
Christ nous devons pendant sept jours brûler
sur l’autel un nouvel agneau, c’est un commandement perpétuel. C’est l’alliance
perpétuelle de Christ avec nous, ses élus.
Beaucoup s’imaginent que Christ leur parle
dans le Temple ? Non, c’est à l’entrée de la tente, à l’entrée du temple
que Dieu nous parle.
« Voilà
l'holocauste perpétuel qui sera offert par vos descendants, à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Eternel: c'est là que je me rencontrerai avec
vous, et que je te parlerai. 43Je me rencontrerai là
avec les enfants d'Israël, et ce lieu sera sanctifié par ma gloire. 44Je sanctifierai la tente d'assignation et l'autel; je sanctifierai
Aaron et ses fils, pour qu'ils soient à mon service dans le sacerdoce.
45J'habiterai au milieu des enfants d'Israël, et je serai leur Dieu. ».
45J'habiterai au milieu des enfants d'Israël, et je serai leur Dieu. ».
Comment peut-on se vanter d’être au service
de Dieu, si nous n’avons pas consumé entièrement cet agneau ?
Cela veut dire aussi que ceux qui après cela
persistent à ne vouloir voir et glorifier qu’un seul agneau immolé,
transgressent une loi perpétuelle, et qu’ils rompent l’alliance avec
Dieu ; cela montrent qu’ils sont toujours aveuglés, parce que Christ ne
pourra plus les rencontrer et leur parler comme il l’a fait autrefois avec
Aaron et ses fils.
Christ
ne s’accomplit parfaitement qu’avec ceux qui auront sacrifié leur propre agneau
(eux-mêmes). C’est l’union parfaite entre Christ et son épouse.
Un agneau immolé ne peut épouser qu’un autre
agneau immolé. Le corps de Christ est bien là dans la réunion de ces deux
agneaux sacrifiés. N’est-ce pas ce que dit Jésus à ses disciples dans Marc
10 :39 ?
« Et
Jésus leur répondit: Il est vrai que vous boirez la coupe que je dois boire, et
que vous serez baptisés du baptême dont je dois être baptisé; ».
Nous passerons donc par l’eau, l’esprit et le
feu tout comme Christ l’a fait.
Maintenant, cette cécité, (tout comme le
retour à la vue), correspond à une heure précise.
Jean 1 :39 , Jésus appelle ses
disciples « Venez, leur dit-il,
et voyez. Ils allèrent, et ils virent où il demeurait; et ils restèrent auprès
de lui ce jour-là. C'était environ la dixième heure. »
A la neuvième heure, Jésus pria et rendit l’esprit. A la dixième heure
certains disciples demeurent avec lui parce qu’ils ont les yeux ouverts sur sa
demeure et à la onzième heure, ils
viennent travailler dans sa vigne (les ouvriers de la onzième heure).
Nous sommes à l’heure où seuls ceux qui verront Dieu, dans le sens où
ils demeureront dans sa parole pourront travailler avec lui.
Vous voyez les 3 étapes qui s’écoulent à partir des trois heures de
l’horloge de Dieu :
Le Saint-Esprit nous est donné par la prière du juste, celui qui s’est
senti abandonné (première étape) ; Cet esprit nous est donné pour que nous
demeurions en lui, le voir à travers nous et en nous (deuxième étape) ; et
pour enfin venir travailler dans sa vigne, pour partager sa gloire (troisième
étape)
Alors prions pour voir clair ; pour que notre cuve d’airain ne
soient pas pleine de cadavres non consumés mais que l’odeur de nos fautes
brûlées montent vers Dieu. Car c’est à ce moment précis qu’il pourra nous
rencontrer et nous parler. Dieu se
tiendra alors à l’entrée de notre Temple.
Amen
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