dimanche 24 février 2019

LA BIBLE NOUS RÉVÈLE L’EXIL D’HITLER

264
Par Eric Ruiz

Avant de vous démontrer qu’il était impossible qu’Adolf Hitler se soit suicidé, je vous demanderais d’écouter attentivement le cheminement que j’ai reçu par inspiration, et d’aller au bout car je donne des détails supplémentaires à la fin de ce message.
Je commencerais par rappeler que Dieu s’irrite devant ceux qu’il a oints et qui se détournent de lui.
https://youtu.be/bF92d9jam50
L’infidélité ne se fait pas forcement de manière visible, mais c’est à travers le cœur, par les intentions, qu’elle se pratique.
Il y a un commandement qui échappe à beaucoup et pourtant un commandement qui évite d’être sur la montagne d’Ebal pour prononcer la malédiction (je fais référence ici  à Moïse qui devait proclamer la bénédiction sur le mont Garizim et la malédiction sur la montagne d’Ebal)

Dans Deutéronome 12 :8 Moise prévient son peuple, de la manière suivante : 
« Vous n'agirez donc pas comme nous le faisons maintenant ici, où chacun fait ce qui lui semble bon, parce que vous n'êtes point encore arrivés dans le lieu de repos et dans l'héritage que l'Eternel, votre Dieu, vous donne ».

Or, tous les conducteurs malveillants laissent agir le peuple comme il l’entend, en lui laissant croire que ce lieu de repos est atteint et que l’héritage est acquis « chacun fait ce qui lui semble bon ».
Et j’ajouterai le Psaumes  5 :10 : « Car il n'y a point de sincérité dans leur bouche; Leur cœur est rempli de malice, Leur gosier est un sépulcre ouvert, Et ils ont sur la langue des paroles flatteuses ».
Ces mauvais conducteurs donnent des lois qui flattent l’orgueil et le riche et ils méprisent l’ignorant et l’indigent.

C’est pourquoi : « Quand on punit le moqueur (ici c’est le conducteur malveillant), le simple en devient sage, et quand on instruit le sage, il acquiert la science (la science de Dieu bien-sûr) »( Proverbes 21 : 11 version Ostervald).

Dans le onzième chapitre du premier livre des rois, nous voyons comment notre Dieu, après avoir prévenu plusieurs fois celui qui s’égare, comment il opère par la suite.
Nous devons en être persuadé, Dieu n’agit pas en faisant du cas par cas, il n’a jamais fait de privilégiés, il a une loi qui est la même pour tous et quel que soit notre condition.
Et pour ceux qui ont été oint roi, empereur, Guide, chef d’Etat, révérant, pape, évêque, apôtre, pasteur, ils se sont placés sous la même ordonnance, le même premier commandement qui dit : « Je suis l'Eternel, ton Dieu...Tu n'auras point d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée... »
Mais, eux, qu’ont-ils faits ? Vers quoi se sont-ils précipités ?
Ils se sont empressés d’être eux-mêmes l’image taillée, le dieu des autres.
Donc, en nous plaçant toujours sous la révélation du chiffre 11, ce que nous lisons dans 1 Rois 11 : 11 est une réalité pour tous ceux qui exercent des fonctions collectives, tous ceux qui rayonnent sur un groupe, allant d’une simple petite assemblée à une nation toute entière. Ces conducteurs exercent une domination idolâtre.
« L’Eternel dit à Salomon (roi d’Israël): Puisque tu as agi de la sorte, et que tu n'as point observé mon alliance et mes lois que je t'avais prescrites, je déchirerai le royaume de dessus toi ».

Donc le déchirement d’un groupe, ou celui d’une nation est la réponse divine à la désobéissance d’un homme exerçant un ministère qu’il soit religieux ou politique et c’est la réponse aussi à la désobéissance d’un groupe de plus en plus nombreux faisant ce qui lui plait.

Ce despote (puisque c’est bien en tyran qu’il règne) laisse un héritage très contrasté. Cet héritage est toujours le même, j’insiste sur ce point (et je vais vous montrer des exemples concrets).
1.     1er héritage : L’exil : ce sera pour lui, le despote ;
2.     Et 2ème héritage : pour son entourage, Eglise, son armée, sa patrie,  cela se traduira toujours par des pertes humaines en grand nombre,
3.     3ème héritage : des dettes financières proches du chaos,
4.     4ème héritage : un territoire éclaté et amoindri,
5.     Enfin, le tout condensé en un temps très réduit, marquant la fin de son règne, lors de la onzième année.
Retenez bien ces 5 événements majeurs, ils fonctionnent comme des indices essentiels.

Avec le chiffre 11 je vous avais dit que Dieu a un plan de salut associé à ce chiffre mais aussi un plan de colère. Sa colère suit toujours le même programme pendant 11 ans.
C’est pourquoi elle est si bien reconnaissable.
Car l’histoire, les peuples et les péchés se répètent. Rien n’est vraiment nouveau et différent.


Si on regarde les 11 années du règne de Napoléon Bonaparte (1804 à 1815) ;
Aujourd’hui encore… Napoléon 1er fait figure de veau d’or, tellement il fut un homme de légende, admiré et pris en exemple.
Certains lui attribuent même un caractère de Messie, lui vouant un véritable culte.
Or, le premier Empire n’a pas comme on nous a trop laissé croire dans nos livrets scolaires, un bilan des plus positifs.
On nous a dressé une figure héroïque, d’un chef militaire prophète qui serait le fondateur de notre Etat moderne.
Pourtant, après la défaite de Waterloo, on ne le dit pas assez, mais la France s’enfonça dans une crise économique grave, une dette colossale de plus de 700 millions de franc or, doublée de l’obligation de payer aux pays alliés une faramineuse indemnité de guerre et d’entretenir une armée d’occupation; sans compter cette France qui laissa derrière elle plus d’un million sept cent mille morts. Les territoires annexés dans l’Europe ont été tous perdus et la France de 1815 est devenue plus petite qu’elle n’était en 1799 (En perdant la Belgique, la Savoie et la partie gauche du Rhin) ; 56 départements seront occupés par des troupes étrangères durant 3 années (de 1815 à 1818).  La France de 1815 est occupée, endeuillée, affaiblie, ruinée et mettra plus de 20 ans à s’en relever, et l’empereur finira sa vie en exil sur l’île de Sainte-Hélène (l’héritage et les 5 événements majeurs sont là !).

Bizarrement si je puis dire, même constat pour le IIIème Reich.
Si on regarde maintenant les onze années de règne absolu du führer, qui a été établi dans toutes ses fonctions, après la chute de la république de Weimar et la mort du président allemand Hindenburg…
Cet autre tyran qu’est Hitler, le führer, (c’est-à-dire guide suprême de l’Allemagne de 1934 à 1945) : qu’a-t-il laissé derrière lui pour son pays ?

Une Allemagne occupée, endeuillée, affaiblie, et ruinée, qui mettra beaucoup plus de 20 ans, elle aussi à se relever (1989, c’est l’année de la chute du mur de Berlin symbolisant cette date du relèvement germanique). L’Allemagne est occupée par les pays vainqueurs (surtout anglais, américains et russe aussi).
Les alliés contrôlent l’Allemagne, devenu un pays divisé en deux par le rideau de fer qui donnera naissance à deux Allemagne : RFA et RDA (un peu comme Israël et Juda après Salomon : deux Israël). La RFA était beaucoup plus tournée vers les investissements  anglo-saxons alors que la RDA ressemblait à un pays de l’est, dirigé par une idéologie communiste russe favorisant un niveau de vie très bas.
De plus, les pertes humaines allemandes ont été énormes, autour de 7 millions (rien à voir par exemple avec celles de la France 500 milles morts), les grandes villes industrielles ont été détruites (un exemple de misère est frappant : 14 millions d’allemands se retrouvent SDF au lendemain de la guerre).

Donc l’héritage d’Hitler est le même que celui de Napoléon : un pays ruiné économiquement, une population endeuillée sévèrement et un territoire divisé en deux et en ruine et tout cela en l’espace de quelques mois, durant cette onzième année.
Mais voilà il y a un hic, Hitler se suicide dans son bunker.
Est-ce la réalité ?
Savez-vous que sa mort reste très controversée et que beaucoup d’historiens ne sont pas d’accord. Il plane plus qu’un doute, un mystère sur ce qui aurait été sa fin de vie.
Mon esprit n’arrêtait pas, d’ailleurs, d’associer Hitler et exil, ce sont les mots clés que j’ai fini par taper sur Google.
Mais si je regarde au plan de Dieu, Hitler devrait suivre exactement le même itinéraire que Napoléon Bonaparte et se retrouver exilé dans un autre pays, non pas par sa volonté mais par le vœu du vainqueur.

Qui se serait occupé de son exil parmi les alliés? Les anglais, les français, les américains, ou les russes ?

Pour Napoléon Bonaparte les choses étaient évidentes : c’est le grand vainqueur, le gouvernement  anglais qui l’expédia sur l’île de Sainte-Hélène (et je cite : « afin qu’il ne puisse plus nuire au repos du monde »).
En tous les cas une nation s’est bien occupée de son extradition…mais laquelle ?
Je pense qu’un jour la lumière de la vérité brillera aussi sur cette disparition mystérieuse.

Je le redis personne n’est maître des circonstances de sa mort et de sa mort elle-même.
La mort est un jugement dans le sens aussi d’un discernement. La manière de finir sa vie montre qui nous sommes et qui nous avons été (rappelez-vous ce que l’Esprit saint m’a montré sur la mort de Judas Iscariote qui était, elle aussi, un mystère : Juda, pendu ou retrouvé mort dans un champ ?).
Le discernement divin sert à se sortir de la confusion des événements, en révélant ce qui est resté caché. Nous en sommes là avec Adolf Hitler.

La colère de Dieu suit des étapes et un processus d’une précision d’horloger.

Ce plan de colère nous est révélé d’abord et en premier par les récits bibliques.

Savez-vous que deux récits bibliques seulement évoquent la même durée de règne que celui d’Hitler ou de Napoléon Bonaparte ? Deux, pourquoi ?
« Un seul témoin ne suffira pas contre un homme pour constater un crime ou un péché, quel qu'il soit; un fait ne pourra s'établir que sur la déposition de deux ou de trois témoins » (Deutéronome 19 :15).
Les 11 ans témoignent de 11 années de règne caractérisées dans tous ces cas de figures par des despotes avides de pouvoir et de conquêtes ; prêt à tout pour agrandir leurs territoires par l’oppression, la force et la guerre, sans lésiner sur le coût humain. La fin de leur règne se finit toujours pareil, dans le sang, le deuil, la misère et l’exil.

Deux rois de Juda témoignent de leurs crimes en règnant 11 ans seulement.
Il s’agit de Jojakim et de Sédécias.
Jojakim comme Sédécias, dernier roi de Juda, ont vu leur pays, occupé, endeuillé, puis affaibli et enfin ruiné, tout comme Napoléon et Hitler ; et leur fin fut la même qu’eux, ils ne mourront pas au combat mais ils subiront l’exil, dans les prisons de Babylone.
Leur destiné finale fut choisie, non pas par eux, mais par le roi de Babylone, (Pour Jojakim , c’est 2 chroniques 36 :6 ;  pour Sédécias c’est Jérémie 52 :11).

Je vous relate les principaux faits de leur vie.
Tous deux se révoltèrent et entrèrent en guerre contre le roi de Babylone.

Jojakim et le royaume de Juda furent écrasés en retour par les armées Babyloniennes, Syriennes, Moabites et Ammonites. Le roi de Babylone quitta le pays avec le trésor du Temple de Jérusalem.
Pour Sédécias, il résista à Jérusalem au siège babylonien pendant deux ans causant la famine la plus grave jamais vécue dans la ville sainte.
Les habitants se mouraient de faim les uns après les autres ; puis il abandonna la ville en fuyant par une brèche faite dans la muraille, avec sa famille et « tous les gens de guerre ». Mais il fut rattrapé par l’armée babylonienne qui détruisit, brûlèrent par la suite complètement Jérusalem. Ils prirent le trésor de la ville et ils éliminèrent son armée et égorgèrent sa famille sous ses yeux, puis ils déportèrent tous les Judaïtes comme lui-même, en premier, en lui crevant les yeux et l’emprisonnant jusqu’au jour de sa mort.

Pourquoi tout cela arriva-t-il ?
Pourquoi Napoléon, pourquoi Hitler ? Pourquoi Jérusalem détruit ?

Le deuxième livre des Rois nous dit : » qu’ils firent ce qui est mal aux yeux de l’Eternel…et que cela arriva à cause de la colère de l’Eternel contre Jérusalem et contre Juda ».
«  Vous ne m’avez pas écouté, vous n’avez pas été attentifs, vous vous êtes cabrés, vous avez été pires que vos ancêtres » (Jérémie 7 :26).

Donc, quand de terribles despotes règnent sur le pays c’est à cause de la colère de Dieu et du péché du peuple qui abondent.

Jérusalem et Juda, ce sont ceux qui exaltent et qui se vantent de se consacrer pour Dieu mais qui font le contraire dans la réalité. Ils n’ont que l’apparence de la piété, mais leur péché les poursuivent. C’est un peuple nombreux d’insoumis et d’infidèles qui (je le répète) fait ce qui lui plait.

La colère de Dieu est à son comble, voilà ce que Dieu répond à Jojakim : «à cause du sang innocent que Manassé avait versé et dont il avait rempli Jérusalem. L’Eternel ne voulut pas pardonné ».  

Pourquoi le sang a-t-il été versé ?

Parce que lorsque Dieu parle en disant d’être soumis à ses prophètes, ils les prennent de haut, ils ne les écoutent pas, bien au contraire, ils se moquent d’eux et vont jusqu’à les tuer comme l’a commandité Jojakim sur le prophète Urie, qui fut recherché en Egypte, mis à mort et jeté dans la fosse commune; ou alors ils les enferment et les empêchent de parler. Le prophète Jérémie fut maltraité et enfermé par le roi Sédécias, parce que Jérémie lui disait de se soumettre à Nebucadnedsar et de ne pas se révolter ni d’entrer en guerre contre lui.

Ces rois, ces empereurs, ces führers agissent en connaissance de cause, cela ne fait aucun doute. Mais ils sont comme leur peuple, ils ne supportent pas la soumission, ils veulent faire comme ils veulent. Tous ont du sang innocent sur leurs mains.

Alors pourquoi un tel message aujourd’hui ? Pour nous préparer à quoi ?

Parce que Dieu averti toujours.
Il l’a fait autrefois par ses prophètes qui ont été injustement persécutés.
Il avertit, parce que la surprise d’un nouveau dictateur sera complète et inattendue et les gens seront étonnés de la rapidité et de la vitesse de succession des événements (rappelez-vous les 5 points évoqués au début).

Tous ces dirigeants que j’ai cité, remplis de malices et de violence, ce sont tous des opportunistes qui n’avaient aucune légitimité à être au pouvoir.

Bonaparte, profitant de la gloire de ses victoires acquises et de la désorganisation politique du pays a surpris tout le monde par son coup d’état militaire du 18 brumaire 1799.

Hitler, profitant de l’effroyable crise économique de 1929 est monté au pouvoir en 1933 non pas démocratiquement mais par un coup d’état organisé avec la complaisance des partis politique, et au final financé par les industriels allemands et pas du tout par les urnes.

Jojakim, lui, a pris la place de roi à la place de son demi-frère Joachaz (fils du roi Josias) qui venait en toute légitimité d’être élu par le peuple. Mais il n’a pu gouverner que trois mois. Le Pharaon Néco profita de sa victoire sur Meguiddo pour destituer Joachaz  et établir lui-même Jojakim roi de Juda à la manière d’un véritable coup d’Etat (2 chroniques 36 :1).

Et enfin pour Sédécias, il a dû sa couronne à la même stratégie, mais cette fois-ci , par l’entremise d’un autre roi étranger qui en fut l’instigateur. Ce sera le roi de Babylone Nebucadnetsar,  qui, de la même manière, tout à fait arbitrairement, va l’établir roi sur Juda et Jérusalem.

Par ailleurs, tous ces despotes que j’ai cité, se sont imposés dans le même contexte socio-politique, pour lutter contre une coalition internationale, une union d’états et de puissances diverses ; Et au final c’est cette même coalition qui s’est retournée contre eux et qui les a fait tomber.
·       Napoléon lutta, avant même d’être couronné, contre la coalition européenne ( L’Angleterre, l’Autriche et la Prusse) menée par l’Angleterre.
Ce sont les anglais qui mirent fin à son règne.
·       Hitler s’est opposé d’emblée aux puissances de l’Europe de l’Ouest et de la Russie. Ce sont les troupes russes qui firent le plus de dégâts en Allemagne et après avoir neutraliser Berlin, elles firent capituler l’Allemagne en 1945.
·       Jojakim et Sédécias s’opposèrent à la coalition babylonienne qui rassemblait toutes les nations avoisinantes.
(Jérémie 27 :7). « Toutes les nations lui seront soumisesNebucadnetsar), à lui, à son fils, et au fils de son fils, jusqu'à ce que le temps de son pays arrive, et que des nations puissantes et de grands rois l'asservissent. ». Ce n’est pas un hasard non plus que ce soit Babylone qui a mis le point final à au règne des deux rois de Juda.

Aujourd’hui, il y a une coalition évidente et visible : la coalition, c’est l’union européenne. Qui s’opposera à elle ? Et qui fera-t-elle tomber en retour?
Je ne dis pas qu’elle est bonne et juste, je dis comme disait Dieu à Jérémie en son temps :

Ecoutez bien, c’est la plus sage réponse pour qui veut faire face à la coalition (Jérémie 27 :11) « Mais la nation qui pliera son cou sous le joug du roi de Babylone, et qui lui sera soumise, je la laisserai dans son pays, dit l'Eternel, pour qu'elle le cultive et qu'elle y demeure ».

Alors, méfions-nous de notre temps présent ou chacun, chaque croyant continue à décider de faire ce qui lui plait.
S’il continue sur cette voie, il fera partie du peuple qui subira les foudres de ce nouvel Hitler, de ce nouveau dirigeant qui sera perçu comme un guide suprême, comme un Napoléon, comme un Sédécias (Dieu est justice), comme un Messie, un libérateur, alors qu’il ne sera qu’un nouveau duce (un guide inique, opportuniste et illégitime) qui n’apportera que l’occupation étrangère, la guerre, la ruine, la dette, le deuil et la dispersion.

Prions pour que notre Seigneur par sa grâce infinie nous ouvre les yeux pour pratiquer la vraie justice de Dieu.
Amen.

Je voudrais maintenant, rajouter des détails sur la fin de vie de Hitler. 
Pour moi, au vue de la stratégie de notre Seigneur, qui nous donne des détails importants avec la fin de vie du roi Sédécias et au vue des positions de Staline (puisque les russes étaient les seuls sur place à Berlin), je crois qu’Hitler a été arrêté fin avril 1945 alors qu’il fuyait Berlin, par la police secrète russe puis expatrié dans un goulag (un camp de travail en Union soviétique). Son entourage proche n’a pas eu cette opportunité, si je puis dire les choses ainsi.
Joseph Staline a déporté tous ceux qu’ils pensaient l’avoir trahi  en collaborant avec le IIIème Reich et tous les prisonniers de guerre (cela concernait plusieurs millions de prisonniers en 1945). Staline était reconnu pour être pervers et sadique, prenant plaisir à voir ses ennemis souffrir jusqu’à la mort pour lui, en travaillant dans les pires conditions.
Depuis les années 30, Staline adopte toujours la même mécanique répressive et punitive sur ses ennemis réels et supposés : le Goulag.
Je rajouterai que pour les russes, eux seuls étaient en mesure de fournir des preuves de la mort du Führer, ils ont semé le trouble et Staline en tête (lui qui mentait comme il respirait), en laissant croire à une action américaine. Pourquoi ? Car c’est en envoyant son plus grand ennemi pourrir dans un de ses camps de travail que Staline savourerait le mieux « Sa » vengeance et sa victoire sur l’Allemagne (Les chiffres évoquent près de 27 millions de morts russes, ne l’oublions pas).
Par ailleurs le spécialiste de la déportation n’était pas du genre à rendre des comptes sur ses agissements aux chefs d’états des pays alliés.
Par conséquent, le sort d’Hitler ne devait ni passer en justice devant un tribunal, ni être négocié par qui que ce soit ; (et rappelons-nous le roi de Babylone, non seulement, il ne fit aucun cadeau à Sédécias, mais il a agi envers lui en homme sadique et cruel).

Un historien a tout dit en relatant une conversation lors d’un dîner bien arrosé avec Staline qui avoua la chose suivante : 
« Mon plaisir le plus grand est de choisir une victime, de préparer des plans minutieusement, d'assouvir une vengeance implacable et ensuite d'aller me coucher. Il n'est rien de plus doux au monde. » 

Un jour vous verrez, un jour nous saurons…


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire