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Par Eric
Ruiz
Dieu
n’agit jamais comme nous, nous agissons. Il prend des chemins cachés, mais il
dévoile parfois ses voies pour montrer son infinie sagesse.
Aujourd’hui
le temps est aux chiffres d’une montre dont les heures n’étaient pas encore
connues.
Dieu, nous
fait parcourir la Bible à partir de chiffres et de nombres pour nous montrer
l’urgence : Et son huile fraîche, sa manne du jour a un but :
préparez-vous !
Parlons de
mémoire : Dieu connait notre mémoire ; et il sait combien elle peut
être fragile, éphémère, sélective puis trompeuse. C’est pourquoi il a placé des
bornes (comme des panneaux indicateurs) à différents endroits et à différents
moments de notre vie pour que nous nous souvenions de son royaume.
Mais ses
panneaux sont comme ceux qui signalent un danger dans le code de la route ;
vous savez, ces panneaux sous forme triangulaire à bordure en rouge sous fond
blanc ou jaune. Ils indiquent une attention particulière, un danger imminent et
une priorité absolue à respecter.
C’est une
priorité même vitale.
Par
exemple il y a un panneau qui indique que dans 150 m nous devons absolument
nous arrêter, puisque nous allons croiser une route prioritaire ou les véhicules
roulent à grande vitesse.
J’ai vu
qu’il existe 42
panneaux de cette
particularité, reconnus au niveau international.
Eh bien
Dieu brandit son panneau « attention danger !» signal prioritaire, au
numéro 42, pour se rappeler à nous ses lois,
pour quelle nous servent de révélateur de notre propre conduite.
Il sait
tellement que la nature reprend au plus vite ses droits; l’ivraie y pousse si rapidement.
Le panneau
le plus fréquent et qui se répète inlassablement : c’est son alliance
perpétuelle avec l’homme : Dieu ne nous oublie jamais et il souhaite la
réciprocité ; il a placé pour cela, une promesse pour sa création toute
entière.
« Lévitique 26 :42 « Je me souviendrai de mon alliance avec Jacob, je me
souviendrai de mon alliance avec Isaac et de mon alliance avec Abraham, et je
me souviendrai du pays (du sol) ».
Celui qui est, qui est au commencement et à la fin, se
souvient par trois fois, de son alliance, dans sa totalité.
Donc Dieu
se souvient de chaque génération avec qui il fait alliance ; ses familles
qui se succèdent dans le temps ; mais ; il se souvient aussi du pays,
du sol ; il y a un droit du sol comme un droit de propriété, un héritage
divin qui sera distribué en fonction de notre fidélité; Mais le lieu, c’est
aussi un endroit précis où Dieu vient nous rencontrer (et j’en avais
parlé dans mon message précédent) : devant la tente de la rencontre, au
niveau de l’autel des sacrifices, c’est là qu’il nous parle, qu’il te parle
à toi.
Il te parle en face de ce
que tu as sacrifié pour lui. Et il souhaite que tu te souviennes régulièrement
de ce panneau ; Car sans sacrifice véritable il ne peut y avoir de
relation avec Dieu et sans sacrifice l’alliance est brisée et avec elle
l’héritage promis.
Exode 29 :42 « Voilà l'holocauste perpétuel qui sera offert
par vos descendants, à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Eternel:
c'est là que je me rencontrerai avec vous, et que je te parlerai. » ;
Et puis, il y a un panneau signe d’un autre moment
important : c’est au jour du jugement ; et là aussi j’en avais
parlé : ce jour ne vient pas seulement après notre mort, mais sur cette
terre, de notre vivant.
Le
jugement à notre mort vient confirmer celui que nous avons reçu étant en vie.
Car si nous passons par « la seconde mort », c’est que notre vie à déjà été jugée
immature et elle ne pourra pas revêtir l’incorruptibilité en passant alors par
la première résurrection, qui est celle de Christ (Apocalypse 2 :11).
Cet état incorruptible ne s’obtient qu’en mourant à soi-même.
1 Corinthiens 15 :42
« Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Le corps
est semé corruptible; il ressuscite incorruptible; »
Ce jour de jugement vient, en fait pour deux
choses : soit pour confirmer une consécration, soit pour dévoiler une
fausse piété, une élévation personnelle qui n’a pas arrêtée de croître et de se
perpétuer malgré les avertissements.
Genèse 31 :42
« Dieu a vu ma souffrance et le
travail de mes mains, et hier il a prononcé son jugement. »
Ce jugement arrive le plus tard possible, après que
plusieurs autres panneaux nous ait indiqué son arrivé.
Un panneau que nous croisons souvent sur notre route, c’est celui de Luc 6 :42 celui de la paille et de la poutre ; Pour celui ou
celle qui est toujours à juger les
actions des autres « Hypocrite, ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras
comment ôter la paille qui est dans l'œil de ton frère. ».
Un autre panneau que nous croisons aussi très régulièrement est celui
qui nous renvoie toujours à l’humilité, alors que nous cherchons tout ce qui
pourrait nous mettre en valeur; et ce panneau se trouve dans le livre de l’Exode 28 :42
« Fais-leur
des caleçons de lin, pour couvrir leur nudité; ils iront depuis les reins
jusqu'aux cuisses. »
Ce commandement fait pour la tenue des sacrificateurs appelés au
service du temple doit nous rappeler notre tenue à nous, disciples de Christ :
Arrêtons de montrer
notre nudité, c’est-à-dire arrêtons de nous faire valoir en montrant nos
parties fortes du corps (les reins et les cuisses) recouvrons-les d’un vêtement de
lin (vêtement d’humilité) pour cacher ce qui n’est que de la vantardise et de
l’orgueil ; et là je ne parle pas du sexe qui lui est source de tellement
de séduction, de frime et de tromperie.
Enfin un autre panneau que Jésus nous montre avec ses disciples dans Marc 10 :42,
c’est celui de la domination : « Alors Jésus les appela tous auprès de lui et leur
dit : Vous savez ce qui se passe dans les nations : ceux que l’on considère
comme les chefs politiques dominent sur leurs peuples et les grands personnages
font peser leur autorité sur eux. 43 Il ne doit pas
en être ainsi parmi vous» (Version Semeur)
C’est
clair, Jésus affirme qu’il n’y a pas de chefs, pas d’autorité supérieure, il
n’y a pas de grands personnages au sein des disciples. Nous n’avons pas à reproduire ce qui ce fait et qui a
toujours été réalisé dans le monde ; et qui consiste aussi à imposer nos
idées; car seul Christ est la tête ; celui qui veut être le plus grand,
nous dit Jésus, qu’il serve les autres…
Mais le rappeler sans cesse n’est pas
forcément une bonne chose, car à la longue ce rappel juge que vous devez sans
cesse avoir recours à la loi comme un
devoir pour vous faire ralentir ou vous arrêter dans cette folle attitude ;
Alors que cela devrait être une intention naturelle que de ne pas chercher les
premières places.
Si Jésus-Christ agit ainsi, c’est pour laisser le temps au
temps ; c’est-à-dire pour laisser se perpétuer les bonnes habitudes comme
les mauvaises, d’ailleurs.
Lorsque les habitudes sont mauvaises, Dieu redouble
d’avertissements.
Mais ses avertissements pris à la légère ne viendront
confirmer qu’un endurcissement de plus en plus grand de notre part :
Psaume 106 : « 42 Ils furent frappés par
leurs ennemis et livrés à leur pouvoir. 43 Bien souvent, l'Eternel
les délivra, mais ils ne pensaient qu'à se révolter, et s'obstinaient dans leur
faute »(Version Semeur)
Le
jugement ne fait que de rappeler puis d’entériner ce qui a été fait pendant
tellement (tellement) d’années ; et
(nous venons de le lire) même délivrée… la vielle nature recommence.
Actes 7 :42
« Alors Dieu se détourna, et les
livra au culte de l'armée du ciel, selon qu'il est écrit dans le livre des
prophètes: M'avez-vous offert des victimes et des sacrifices pendant quarante
ans au désert, maison d'Israël? ».
40 ans à n’offrir que de faux sacrifices ! 40 ans à
offrir un agneau dissimulant des défauts (alors qu’il aurait dû être en
parfaite santé ; c’est « un
agneau sans défaut » qu’il fallait offrir)
Par contre, la persévérance de celui qui se
sanctifie se voit aussi dans ses actes ; des actes sans cesse répétés. Dieu
ne veut pas que nous oublions que les enfants de la promesse doivent devenir
des fils, des fils matures (téléios, parfaits) qui eux seuls sont à même de
gérer son héritage, son sol.
Actes 2 :42 « Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans
la fraction du pain, et dans les prières. ».
Ils
persévéraient, non pas dans leur obstination à se révolter
ou à reproduire les mêmes fautes, mais ici, c’est dans ce qui vit
éternellement :
1-par l’enseignement
du Père par la voix d’un envoyé,
2-à travers la
communion des saints,
3-au travers du
renoncement aux œuvres mortes et
4-enfin ce qui est vivant dans les prières ; (et la première prière à faire est :
« non pas ma volonté mais la tienne, Seigneur) ;
La persévérance face à ces 4 êtres vivants matérialisés sur
terre est décrite aussi par Jean dans sa vision. Ces 4 êtres vivants devaient
se trouver chaque jour devant nos yeux ; ils devaient se vivre par
amour et non par devoir pour qu’ensuite ils ne passent pas aux oubliettes avec le temps.
De nos jours ces êtres ne vivent plus et ils sont oubliés.
On donne l’illusion qu’ils existent ; On les agite comme des
marionnettes dans les Eglises comme pour nous faire croire qu’ils vivent
encore. Mais c’est un christianisme subversif. Le trône de l’agneau est occupé
par des boucs, des prédateurs qui n’ont aucun scrupule dans leur agissement et
qui sont suivis par des agneaux dociles et soumis, jusqu’à la mort.
Chacun voit son propre mouvement ou son crédo comme étant le plus fort
et le plus puissant à cause des grands hommes de foi qui ont régné longtemps
comme des rois.
David a régné, c’est vrai, 40 ans sur Israël. Mais son fils Salomon
qui a désobéi à Dieu a lui aussi régné le même temps : 1 Rois 11 :42 « Salomon régna
quarante ans à Jérusalem sur tout Israël »
La durée de règne d’un roi comme celle d’un prédicateur ou d’un
théologien de la foi n’est pas un critère d’obéissance à Dieu.
1 Rois 22 :42, le confirme aussi :« Josaphat avait trente-cinq ans lorsqu'il devint roi, et il régna
vingt-cinq ans à Jérusalem ».
Josaphat, roi de Juda qui obéit toute sa vie
à Dieu ne régna que durant 25 ans. Donc
ne jugeons pas la foi d’un homme avec l’étalon du temps de sa renommée ;
cette erreur est une des plus courantes parce que là aussi l’apparence des
choses n’est pas la vérité. La vérité c’est que durant tout son règne, parce
que Josaphat s’opposa à Baal (au mal), personne n’osa s’attaquer à lui.
De même, le géant Philistin Goliath fit la
même erreur, il méprisa David pour la même raison : 1 Samuel 17 :42 « Le Philistin regarda,
et lorsqu'il aperçut David, il le méprisa, ne voyant en lui qu'un enfant, blond
et d'une belle figure. » : l’apparence, la figure, l’âge, la
couleur des cheveux (les cheveux blond marquant la puérilité de l’enfance
contrairement aux cheveux gris qui montrerait de la sagesse, par exemple), tous ces signes extérieurs trompent plus
qu’ils ne servent à éclairer notre foi. Ils mettent la lumière sur la
séduction de la chair.
L’apparence de la foi a toujours été mise en avant par ce
qui fascine visuellement.
Celui qui aime la fausse piété aime à nous montrer une foi
basée sur la démonstration visuelle. Le spectacle est public : on vient
voir des miracles, et on vient entendre un ou plusieurs témoignages émouvants.
Or, Jésus a placé d’autres panneaux indicateurs, il voulait
que l’on se souvienne d’un autre témoignage.
De quel témoignage ? Celui-ci : Jean 4 :42 « et ils disaient à la femme: Ce n'est plus à cause de ce que tu as dit
que nous croyons; car nous l'avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu'il est
vraiment le Sauveur du monde. ».
Ces samaritains ont été touché par un autre témoigne que
celui de la femme samaritaine : c’est
le témoignage de Jésus dans leur cœur exercé par la parole qui a été le plus
fort. Cette femme avait pourtant raconté que Jésus lui avait dévoilé son
passé. Mais quand Jésus est resté deux jours auprès d’eux, le verset 41 nous
dit « Et beaucoup plus de gens
crurent pour sa parole » (pas pour son témoignage, ni pour ses
miracles, ni pour l’émotion que cela procure, non pour sa parole).
Jésus souhaite que l’on se souvienne que son esprit vient
d’en haut ; que nous naissions d’en haut et non d’en bas. Et par
conséquent que c’est sa parole qui convainc seule, de péché de justice et de
jugement (Jean 16 :8) et non ce qui provient du spectaculaire.
Un autre panneau, un autre témoignage aussi important à se
souvenir : c’est celui de l’apôtre Pierre dans Actes 9 :42
« 40Pierre fit sortir
tout le monde, se mit à genoux, et pria; puis, se tournant vers le corps
(sans vie), il dit: Tabitha, lève-toi! Elle ouvrit les yeux, et ayant vu
Pierre, elle s'assit. 41Il lui donna la main, et la fit lever. Il appela ensuite
les saints et les veuves, et la leur présenta vivante. 42Cela fut connu de tout Joppé, et beaucoup crurent au
Seigneur. »
Tous les détails de ce miracle sont
intéressants, car Pierre n’a pas fait de propagande pour annoncer la
résurrection de cette disciple Tabitha. Il a agi seul avec l’Esprit du Père
pour exercer ce miracle. Pas de tambour
ni de trompettes, pas de grande démonstration, pas de spectateurs, pas de
prière publique…au contraire, une intimité des plus strictes :
seulement elle (son cadavre) et lui.
Mais, voyez, c’est de cette manière qu’un
plus grand nombre crut au Seigneur et pour sa parole.
Souvenons-nous bien de ce panneau : de quelle
manière le Père se glorifie dans son fils pour que nous ne cherchions point la
gloire des hommes.
Ce panneau nous montre une chaussée très
glissante. Combien l’on vu, et sans prêter attention, surestimant leur foi, se sont
retrouvés dans les décors ?
Mais attention, ne prenez pas le rôle du gendarme pour réprimander
celui qui refuse de changer sa conduite.
Les panneaux d’interdiction (« tu ne feras pas ceci, tu ne feras
pas cela ») sont légions sous la loi religieuse. Notre Dieu bien au
contraire préfère le panneau du danger qui laisse la responsabilité du choix.
Pourquoi se battre alors, contre les traditions des hommes, contre le religieux
et ses idoles, contre les religions en général ?
Là aussi, le panneau de Dieu nous renvoie plutôt, à notre refus de
nous battre contre notre propre état mensonger.
Si nous avons des tâches
dissimulées sur notre vêtement, Dieu n’est pas au milieu de nous ; et les
montrer sur les autres ne fait que nous attirer des problèmes.
Ce panneau est répété dans Nombres 14 :42
pour souligner l’échec inévitable d’un tel combat.
Et Jésus de Nazareth lui-même plutôt que de brandir les Écritures dira
dans Jean 5 :42 « Mais je sais que vous n'avez point en vous
l'amour de Dieu. 43 Je suis venu au nom de mon Père, et
vous ne me recevez pas ».
Quand
on ne reçoit pas Dieu, qu’on n’a point en nous son amour, on se fait battre par
ses ennemis, cela doit devenir une évidence, une révélation même pour chacun.
De la même façon, Jésus, plutôt que de brûler
les traditions humaines, vient se servir d’elles, pour rétablir la vérité. Il montait chaque
année avec ses parents à Jérusalem pour la Pâque ; et Luc 2 :42 : « Lorsqu'il fut âgé de douze ans, ils y montèrent, selon la coutume de la
fête » Jésus aurait pu dès cet âge, refuser cette coutume, refuser de
suivre ses parents ; il aurait pu s’interdire de participer à la Pâque,
devenue aussi subversive qu’une fête païenne, mais il préféra y aller pour
enseigner dans le Temple.
Loin
de fuir ou de
bannir les traditions, nous devons comme
lui, nous laisser nous y inviter pour laisser le Père agir librement sans
arrière-pensée de notre part, et sans idée moralisatrice.
Il y a beaucoup d’autres panneaux dans la
Bible, d’autres versets 42, d’autres chapitre 42. Mon but ici n’est pas de
chercher à les présenter en totalité, mais de me laisser conduire par l’Esprit
pour que l’huile qui coule sur vous soit celle choisie par notre Père.
Je citerai donc pour conclure, le témoignage
de Joseph qui devrait nous avertir des circonstances dont la justice de Dieu s’exprime
sur ses saints.
Genèse 41 :42
« Pharaon ôta son anneau de la main,
et le mit à la main de Joseph; il le revêtit d'habits de fin lin, et lui mit un
collier d'or au cou. »
Ce panneau nous montre que Joseph n’a jamais rien demandé, il n’a
rien convoité et n’a rien fait dans le but de recevoir une telle célébration.
Il
s’est contenté d’agir en toute honnêteté selon ce que l’Esprit lui montrait.
Il a été serviteur, prisonnier de ses ennemis
plusieurs années en prison ; Puis il a interprété les songes des officiers
emprisonnés avec lui ; et enfin il a interprété le songe de Pharaon qui
l’amena à organiser les réserves en vue de la grande famine à venir. Et cela
lui valut les ornements les plus hauts du royaume de Pharaon. C‘est l’ennemi qui le couronna roi et non
sa propre famille.
Le chapitre 42 de la Genèse nous dit que « Joseph reconnut ses frères, mais eux ne le
reconnurent pas » (Genèse
42 :8).
Ce dernier exemple devrait nous inspirer pour
ne pas agir précipitamment, et avec de mauvaises intentions. Si nous sommes de
bonne volonté, et prêt à nous reconvertir au moindre signal, alors tout
concourra ensemble à notre bien ; certains reconnaîtrons leurs frères
après leurs épreuves, d’autres recevront de leurs ennemis pouvoir et richesse.
Mais ne convoitons rien et ne plaçons pas la créature (l’homme) à la place de
Dieu le créateur, car le créateur se trouve souvent caché là où on ne l’y
attend pas, là où le premier réflexe serait de détourner son regard…Dieu
restera invisible pour la plus grande majorité.
Matthieu 25 :42 « Car
j'ai eu faim, et vous ne m'avez pas donné à manger; j'ai eu soif, et vous ne
m'avez pas donné à boire; »;
et on n’aurait pu lire « j’étais là souffrant
et vous ne m’avez pas vu ».
Amen
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