dimanche 16 juin 2019

L’HEURE DE SE JUGER SOI-MÊME (les nombres 7-17-27-37)



280
280
Par Eric Ruiz

Je vous ai dit que la Bible ne se lisait pas comme un livre habituel, en partant du début et en allant jusqu’à la fin.
Il y a d’autres méthodes, c’est vrai ; et la meilleure, c’est quand l’esprit divin vous en inspire une particulièrement. Le hasard est définitivement un des atouts de notre Dieu et laissez-moi vous montrer une preuve de plus.


Alors je voudrais attirer votre attention sur 2 versets qui apparemment n’ont rien en commun (ni leur époque, ni leur contexte, ni leur rédacteur), mais ils ont par contre une chose en commun, c’est sûr : le même auteur c’est Luc 17 et Esaïe 17
Luc 17  d’abord: « Jésus dit à ses disciples: Il est impossible qu'il n'arrive pas des scandales; mais malheur à celui par qui ils arrivent! »

Et Esaïe 17 qui va dans le même sens : « Oracle sur Damas. Voici, Damas ne sera plus une ville, Elle ne sera qu'un monceau de ruines. »

Le malheur : c’est le point commun de ses deux chapitres 17. Le premier insiste sur les  causes et le deuxième sur les conséquences.
Les causes : ce sont ceux qui créent des scandales et les conséquences : ce sont leur ruine.
Et là pas besoin d’être visionnaire pour se dire qu’aujourd’hui Damas est devenue une ruine complète après toutes ces années de bombardements intensifs (au total 7 années de guerre et de destruction sur la capitale Syrienne) ; et pour les scandales, eux ?
De nos jours les scandales, les affaires de viol, de pédophilie, d’inceste, de corruption qui éclatent en cascade et tous azimut ont pris un volume planétaire, et c’est pourquoi la ruine sera du même acabit : elle sera, elle aussi planétaire. Donc, il est temps et même pressant que ces versets résonnent dans nos cœurs et nous secouent.

De même regardez Esaïe 7 et Hébreux 7 ; Esaïe 7 d’abord : « Il arriva, du temps d'Achaz, fils de Jotham, fils d'Ozias, roi de Juda, que Retsin, roi de Syrie, monta avec Pékach, fils de Remalia, roi d'Israël, contre Jérusalem, pour l'assiéger; mais il ne put l'assiéger. »
Avec Hébreux 7 : « En effet, ce Melchisédek, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut, -qui alla au-devant d'Abraham lorsqu'il revenait de la défaite des rois, qui le bénit, »

Ici (7) c’est l’inverse des versets (17) : Les causes : Plusieurs armées se sont liguées pour faire la guerre et assiéger Jérusalem la ville sainte, et d’un autre côté, on a essayé de s’approprier Lot, le frère d’Abraham son peuple et tous ses biens ;
Les conséquences : elles ont été plutôt surprenantes, elles ont été finalement glorieuses, prodigieuses pour Abraham comme pour un peuple dont la ville se nomme comme leur cœur : roi de Salem, la paix, là où règne la paix.  
Abraham a tout récupéré : frère, famille peuple et richesses ; et Jérusalem n’a pas été assiégée. La règle a tiré de tout cela, c’est que la paix de Dieu triomphe toujours de l’oppression.

Encore ce chiffre 7, encore lui qui montre la victoire finale comme l’aboutissement d’un temps de sacrifice et de foi acquis.

Abraham, avant d’être visité par le sacrificateur du Dieu très-haut, a dû auparavant montrer qu’il pouvait sacrifier son fils Isaac, il a dû aussi se tourner vers sa servante pour avoir avant lui Ismaël ; et il a dû se séparer de son peuple, de ses richesses et combattre en restant intègre.

L’alliance faite à Beersheba (le puits des 7) et sa rencontre avec Melchisédek sont venus comme un salaire, après des souffrances et des sacrifices. L’alliance entre Dieu et les hommes fait figure d’aboutissement, comme une signature au bas d’un contrat, terminé. Et il y a toujours eu 7 semaines ou 7 mois ou 7 années qui se sont écoulées, avant de recevoir un salaire.

Pour Noé ce fut la même chose, il dut sacrifier beaucoup avant que Dieu lui dit d’entrer dans l’arche en guise de victoire, de récompense, de couronne de vie :
Genèse 7 : « L'Eternel dit à Noé: Entre dans l'arche, toi et toute ta maison; car je t'ai vu juste  devant moi parmi cette génération » (voilà la signature du contrat : « car je t’ai vu juste »)

Voilà, en prenant des versets (que j’ai pris complètement au hasard, par inspiration et qui montrent le même nombre 7 et 17), eh bien j’aboutis à un effet miroir inversé. C’est étonnant mais 7 montre des résultats inverse de 17 ; des événements qui s’opposent.
D’un côté nous avons les causes et les conséquences de la malédiction ; de l’autre celles de la bénédiction.
La justice de Dieu est toujours cette épée de la parole à double tranchant. Elle coupe en donnant la mort, par un tranchant ; ou elle coupe en séparant ce qui est vil de ce qui est précieux de l’autre tranchant ; elle coupe d’héritage à un peuple qui s’empare illégalement des biens des autres et elle redonne l’héritage à un peuple oppressé mais qui a agi avec foi et justice .

Quand on a connaissance de cela, quel enseignement en tirer pour soi-même?
Doit-on courir après tous les chiffres et les nombres pour en connaître leur sens ?
Non bien-sûr, comme je le disais chaque chiffre fonctionne comme un réveil, il sonne pareil. Il vous presse et vous dit qu’il est l’heure de vous juger vous-mêmes.

Question importante pour soi-même : Suis-je au milieu du chiffre 7, donc dans un environnement de paix et de bénédiction ? Où suis-je au milieu du nombre 17 confrontés, alors, aux tourments et aux scandales ?

Pourquoi les scandales éclatent-ils d’ailleurs ?

Exode 17 : « Toute l'assemblée des enfants d'Israël partit du désert de Sin, selon les marches que l'Eternel leur avait ordonnées; et ils campèrent à Rephidim, où le peuple ne trouva point d'eau à boire(voilà l’indice, un point de départ) ».

Tiens, l’eau c’est le commencement des problèmes. C’est en tous les cas à partir de là que le peuple chercha querelle à Moïse (verset 2)
L’eau, c’est ce qui est vital ; mais c’est aussi « la parole » d’un point de vue spirituelle ;
Remarquez : c‘est toujours elle, la parole, l’objet de scandales. « Jésus est-il vraiment le fils de Dieu ? Y-a-t-il vraiment qu’un seul Dieu, un seul baptême ? etc., etc… » ; et à partir de là on se querelle, on se maudit, on s’excommunie, puis on s’envoie en enfer.
L’eau qui commence à être empoisonnée et à ne plus être potable commence toujours par des querelles.
Joseph lorsqu’il a raconté ses deux songes à ses frères a provoqué non pas une source de plaisir et de bienfaits mais une eau querelleuse.
La septième coupe de colère a cette caractéristique elle aussi :
Lorsqu’une grosse grêle tombe du ciel, la réaction n’est pas l’humilité et la crainte de Dieu, mais le blasphème.
L’eau de la parole révélée fait toujours l’effet d’une grosse grêle, car elle arrive au moment où on ne s’y attend pas et dérange toujours les mauvais plans et les arrangements, les complaisances, les relations d’intérêts d’un peuple devenu rebelle.

Mais attention aux nombres, comme 7 ou 17, ils ne viennent pas résoudre des problèmes, ils ne sont pas destinés à procurer la sagesse.
Derrière le nombre ne se cache aucune lumière, il n’a rien de miraculeux en lui, on ne va pas y lire son horoscope, et y deviner son avenir.
Donc jouer avec les nombres ne sert à rien, ou en tous les cas, n’y cherchez aucun plaisir ni aucun rituel quelconque.

Le chiffre comme le nombre n’est qu’un doigt pointé vers l’intérieur (c’est ce que je disais dans mon dernier message sur le chiffre 7)
Le doigt de Dieu ne vous accuse pas, il vous alerte, il met la lumière sur ce que vous êtes. (Un objet de scandales ou objet de paix ; l’ivraie prêt à être brûlés ou le bon grain, prêt à être engrangé dans les greniers) Le chiffre montre un cœur dur ou un cœur compatissant.

Une de mes filles, hier m’a raconté (sans qu’elle sache ce que sont les chiffres pour moi) qu’elle s’était donné un code avec ses amis pour fuir lorsqu’elles étaient confrontées à une situation embarrassante. Lorsqu’une d’entre elles prononçait un nombre précis, elles se levaient et quittaient précipitamment, en même temps le même lieu.

 Ce procédé m’a fait comprendre la vitesse de réaction que peut produire un chiffre ou un nombre inspiré.

Un peu comme ce fut le cas avec le roi Ezéchias. Esaïe 37 (après 7, 17… 37)
« Lorsque le roi Ezéchias eut entendu cela, il déchira ses vêtements, se couvrit d'un sac, et alla dans la maison de l'Eternel. »
Vous avez vu le rythme de ce verset ! Trois verbes d’action qui s’enchaîne : il déchire, il se couvre et il s’en va.
Donc à peine le roi de Juda a-t-il entendu, mais entendu quoi ?
Eh bien, que l’on répandait des calomnies sur son compte , que le roi d’Assyrie s’en donnait à cœur joie et qu’il invitait même son peuple à se rendre à lui et à lui faire confiance ; c’est en apprenant tout cela qu’Ezéchias prit rapidement une décision, l’a mettant à exécution, aussitôt.

Il ne s’est pas attaquer au roi d’Assyrie, son ennemi, son démon potentiel, bien que son état et ses émotions l’y poussaient fortement (c’est ce qu’on y lit dans Job 37 : « Mon cœur est tout tremblant, Il bondit hors de sa place. » Non ! Ezéchias a suivi les commandements de Dieu, les mêmes que David a reçu dans le Psaume 37 :
« Ne t'irrite pas contre les méchants, N'envie pas ceux qui font le mal ».

La colère, c’est la première impulsion. Elle agit rapidement sur la personne comme le ferait la vitesse de l’éclair avec un cœur qui bondit hors de sa place.
Donc, le nombre 37 nous incite à la vitesse, mais il doit surtout nous montrer une autre vitesse d’exécution que celle de la colère et de l’emportement.
Nous devons comme Ezéchias agir promptement et combattre, attaquer  son être intérieur, là où justement il peut y avoir un démon.

J’aime les chiffres et les nombres quand ils procurent une telle réaction de vitesse, salutaire.

Un chiffre, un nombre (peu importe lesquels) mais un chiffre qui crie dans votre cœur de cette façon : « Eurêka, j’ai compris, je me repends, je donne un grand coup de pieds dans me addictions et dans mes problèmes,  je les fuis précipitamment. ».

Qui n’a pas vécu ce même principe ?

Nous avons tous, à un moment donné, regardé les chiffres de notre montre, et réalisé alors l’heure qu’il est, et nous nous sommes dit : «  mais bon sang je suis en retard, il faut vite que j’aille à mon rendez-vous ! ».
A ce moment-là le chiffre a procuré une mise en action immédiate, quasi instantanée.

Vous qui voyez souvent des chiffres, autour de vous, des chiffres qui se répètent.
Posez-vous la question, la vraie question : qu’est-ce qui ne vas pas en moi ? Et passez immédiatement à l’acte :
·       Déchirez votre cœur et non vos vêtements,
·       mettez-vous dans une position d’humilité mais ne vous couvrez pas d’un sac et
·       fuyez, sacrifiez vos addictions et vos problèmes, mettez-les au feu, c’est cela aller dans la maison de l’Eternel.

Maintenant, il y a des nombres qui nous poussent à autre chose : comme à nous faire réfléchir sur nos actes.
Des nombres bilan, des nombres réflexion, méditation. Je pense au nombre 27.
27 nous pousse à méditer sur la cohérence de nos propos avec notre état. Bref sur notre niveau de sagesse. Plutôt que de se poser la question : suis-je sage, inspiré, intelligent selon Dieu ?
Eh bien examinons nos faits et gestes et nos paroles à la lumière.

Genèse 27 : « Et il arriva que quand Isaac fut devenu vieux, et que ses yeux furent si ternis qu'il ne pouvait plus voir, il appela Esaü son fils aîné, et lui dit… »
Ici Isaac a pris la mesure de son état proche de la mort pour s’adresser à son fils aîné : Agit-il avec sagesse ? Il semble que oui dans un premier temps, car c’est le moment de le faire, pour lui confier son héritage.
Mais en fin de compte, non puisqu’il fut amené ensuite, à confondre ses deux fils et à bénir Jacob comme l’aîné plutôt qu’Esaü. Le problème d’Isaac, c’est qu’il se fia à l’apparence et non au cœur de ses fils.

Même Job se trompe, se croyant sage. Lisons Job 27: Et Job continuant reprit son discours sentencieux, et dit… : »
Job plutôt que de changer de discours, continue dans la même erreur en se vantant d’être juste et innocent. Le problème de Job était l’aveuglement, et il persistait dans l’aveuglement.

Pourtant 27 nous met en garde sur une surestimation de notre état qui nous amène à un manque de sagesse, Proverbes  27 : « Ne te vante point du jour de demain; car tu ne sais pas quelle chose le jour enfantera. ».

Pierre était-il sage quand il disait à Jésus : « jamais je ne te renierai » ?
Et vous, êtes-vous sage quand vous dites : je suis sûr d’être agréer de Dieu ?
27 nous renvoie toujours à une question essentielle sur notre piété: nos actes et nos paroles sont-ils conforment à notre vécu ? Ne sommes-nous pas trop fier ? Ne sommes-nous pas toujours animé d’un sentiment de supériorité ?

Faisons attention aussi à qui nous demandons conseils, et à qui nous accordons notre confiance car peu sont intelligents et ceux qui croient l’être s’en vantent, mais sont aveugles.

Matthieu 27 : « Puis quand le matin fut venu, tous les principaux Sacrificateurs et les Anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus pour le faire mourir. »

Ici les plus hauts religieux se sont réunis pour réfléchir sur leurs actes et leur manque de sagesse saute littéralement aux yeux, puisqu’ils prennent la pire décision qui soit : la mort de Jésus.

Ceux qui s’adressaient à Moïse en son temps faisaient le bon choix puisque son jugement, son estimation était juste.
Lévitique 27 : «  L'Eternel parla à Moïse, et dit: 2Parle aux enfants d'Israël, et tu leur diras: Lorsqu'on fera des vœux, s'il s'agit de personnes, elles seront à l'Eternel d'après ton estimation ».
Mais Moïse estimait et jugeait avec quoi ?
Deutéronome 27 : «  Moïse et les anciens d'Israël donnèrent cet ordre au peuple: Observez tous les commandements que je vous prescris aujourd'hui. »

Alors, attention, la sagesse ne saute pas toujours aux yeux comme une évidence.  C’est même l’inverse qui souvent nous interpelle.

1 Samuel 27 : « David dit en lui-même: je périrai un jour par la main de Saül; il n'y a rien de mieux pour moi que de me réfugier au pays des Philistins, afin que Saül renonce à me chercher encore dans tout le territoire d'Israël; ainsi j'échapperai à sa main. ».

 David lui aussi était remplit de sagesse et si on ne connait pas la suite de l’histoire on peut trouver plein de conseils à lui donner (du genre : fuir ne sert à rien, mieux vaut affronter son ennemi en face ; en plus : se réfugier chez un peuple qui s’est toujours opposé à Israël comme les Philistins, cela parait une folie et c’est un peu se jeter dans la gueule du loup ou agir en lâche).

Mais le récit biblique nous révèle la sagesse de David qui était inspiré puisque Saül cessa de le chercher, et que les Philistins à l’image Akisch qui le vénérait presque comme un dieu, le laissa faire ce qu’il voulait dans l’espoir que plus tard il lui rende la pareille.
Ces ennemis sont devenus des protecteurs (qui auraient pu le concevoir ?).

Paul au chapitre 27 du livre des Actes, nous montre, lui-aussi un autre problème lié à la sagesse 
Actes 27 : « Or après qu'il eut été résolu que nous naviguerions en Italie, ils remirent Paul avec quelques autres prisonniers à un nommé Jule, centenier d'une cohorte… ».
La sagesse de Paul n’était pas reconnue puisqu’il avait prévenu le centenier Jule, que le temps à la navigation était une très mauvaise solution, car il avait eu la vision d’un désastre autant humain que matériel.
A-t-il été écouté ?
Non, le verset 11 nous dit que « le centenier écouta le pilote et le patron du navire plutôt que les paroles de Paul ».
On se fie à la reconnaissance sociale. On n’écoute que les élites religieuses comme les élites du savoir ; et ici dans le contexte, Paul l’apôtre passe pour un inculte, un vulgaire prisonnier lambda qu’on doit simplement amener sous bonne escorte à Rome. Décidément soyons-en convaincu : la sagesse du monde comme celle des religieux mène à la ruine.

Et ce 27 juin 2014, (tiens, une date que je n’avais ni anticipée, ni choisie).
Ce 27ème jour du mois, la prophétie que j’avais amenée devant l’assemblée, devant mes frères et sœurs, pourquoi ne fut-elle pas appréciée à sa juste mesure par tous ? Pour une partie elle fut comme une eau de sagesse, mais pour l’autre ce fut un véritable poison ? La sagesse dérange, elle sépare, elle brise les fausses alliances et c’est pourquoi elle n’est souvent pas reconnue.

Le 27 de la Bible a une intention précise : celle de nous faire progresser spirituellement, de nous faire prendre conscience de la situation pour agir vrai, selon la vérité, mais (attention !) en nous mettant en garde sur l’aveuglement.
Aujourd’hui ce nombre 27 est plus que nécessaire, il nous montre le collyre pour voir clair et agir comme des croyants censés et non comme des croyants fous, ayant perdu l’entendement, mais s’estimant intelligent et suffisamment instruit pour ne plus recevoir ni d’ordre ni de conseils de quiconque. Ces croyants-là finiront par agir en dépit d’eux-mêmes, en créant des scandales et en provoquant leur propre ruine.

Deux versets avec le nombre 27 nous rappellent à qui Dieu donne sa sagesse : au fous, aux faibles, aux improductifs et au délaissés.

1 Corinthiens 1 : 27 : « Mais Dieu a choisi les choses folles du monde pour confondre les sages; Dieu a choisi les choses faibles du monde pour confondre les fortes ».
Galates 4 :27 « car il est écrit: Réjouis-toi, stérile, toi qui n'enfantes point! Eclate et pousse des cris, toi qui n'as pas éprouvé les douleurs de l'enfantement! Car les enfants de la délaissée seront plus nombreux Que les enfants de celle qui était mariée. »
Voyez-vous où se trouve la bénédiction ?

Alors résumons : Il est l’heure de se juger soi-même (c’est ce que nous révèle 7, 17, 27,37)
Le 7 nous montre le processus de la bénédiction alors que le 17 met en garde le croyants sur les conséquences déplorables de ses intentions et nous voyons pourquoi le but a été raté, les exemples abondent dans la Bible (les chapitres, mais les versets 17 aussi, en témoignent).
Le 37, lui,  nous montre notre empressement, notre activation à revenir à l’essentiel ; Et le 27 enfin nous ouvre les yeux sur ce qu’est la vraie sagesse et comment et où la discerner.
Ces versets ne sont pas des recettes à appliquer, mais le doigt de Dieu est présent pour éclairer nos zones d’ombre. Que Dieu nous viennent en aide pour réaliser nos erreurs et revenir à lui.
Amen

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire