dimanche 23 juin 2019

TU VEUX LA GLOIRE ? (n’est-ce pas le 17, les scandales et la ruine?)

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Par Eric Ruiz

Je sais que ce message ne va pas dans l’air du temps et qu’il ne recevra pas un élan général d’ « Amen » ; mais des vérités doivent être dites et entendues, et je n’ai pas vocation à rechercher la popularité. Alors excusez-moi d’avance pour mon ton parfois très direct.

Les croyants en général rêvent de ressembler à une des grandes figures de la foi, comme Abraham, Moïse, David, ou Jésus.
Ils se targuent d’essayer de les imiter pour se sanctifier comme eux et recevoir la pluie de leur bénédiction.

Ils disent tous sans hésiter : « amen » lorsqu’on leur demande s’ils veulent partager leur gloire.
Qui ne veut pas la gloire des prophètes ? Qui ne veut pas d’une récompense supérieure?

Alors laissez-moi vous poser la question au risque de vous mettre mal à l’aise.

·       Veux-tu avoir la gloire d’Abraham ?

Si c’est oui, alors prend aussi son sacrifice, tu seras vieux, tu auras autour de 75 ans avant que Dieu te parle, tu seras un réfugié comme Abraham l’était en Egypte, dans un autre pays ; ton épouse, ta femme sera longtemps stérile comme Sara. Elle sera convoitée par tous, partout où tu iras à cause de sa beauté. Mais soit prêt aussi à sacrifier ton propre enfant lorsqu’enfin tu verras la bénédiction s’accomplir. Prépare-toi aussi à te séparer de ton premier fils et de celle qui t’aura permis d’avoir un fils, Sépare-toi aussi de ton frère de sang, (comme Abraham l’a fait avec Lot) et n’oublie pas que tu feras alliance avec un peuple étranger considéré comme maudit, (Abimelec un philistin) et tu vivras longtemps sur les terres d’un peuple étranger, comme un nomade en ayant jamais ta propre terre, ni ta propre maison.

·       Veux-tu plutôt, avoir la gloire de Moïse ?

Alors prend aussi son sacrifice abandonne tes privilèges, tes richesses, ton or, ton argent, ton rang, ta situation qui te met au plus haut socialement, soit près à être renier par, ta propre famille adoptive, par ton frère et pourchasser à mort par lui ; et à diriger un peuple qui te vénérera au début mais qui deviendra rebelle, qui contestera tout le temps, qui se plaindra tout le temps, et qui en plus sera idolâtre ; et soit prêt aussi à errer avec lui dans un lieu hostile en mettant un trait sur une nourriture variée et luxuriante; pendant 40 ans et finalement disparaître sans bénéficier de la terre promise.

·       Veux-tu avoir la gloire de David ?

Alors, prend aussi son sacrifice. Tu seras d’abord le moins considéré dans ta famille parmi tous tes frères ;  Après être considéré comme un héros de la foi, pendant des années tu fuiras s’en pouvoir t’établir, jusqu’à te cacher sous la terre, dans une caverne ; car tu seras pourchassé comme un criminel par un ennemi (comme Saül) qui cherchera constamment ta mort...  Tu verras mourir ton meilleur ami,  (comme Jonathan le fut avec David), tu tomberas dans l’orgueil après tes victoires nombreuses ; mais attention tu devras choisir un des 3 fléaux qu’il a eu à choisir (comme trois jours de peste) et le vivre tout seul pour revenir à Dieu.

·       Préfères-tu finalement avoir la gloire, la meilleure ? Celle de Jésus-Christ ?

Alors, soit près aussi à donner ta vie, à mourir pour ta foi, mais seulement après 33 années. Pendant 30 ans tu apprendras par tes souffrances à obéir à ton Père céleste. Tu auras une grande renommée certes, mais tu seras obligé de fuir partout où tu iras, tu seras constamment interpellé, méprisé, insulté ; Les plus grands religieux et les plus connus te renieront et te verrons comme un imposteur, un menteur et pour finir, tu seras abandonné de tous, ton sépulcre sera mis à côté de celui des criminels.
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Qui est prêt maintenant à idolâtrer un prophète, un roi, un Dieu ou à le suivre ?

Ah, pour prendre la richesse d’Abraham, pour avoir ses troupeaux, son argent, son or, sa femme (qui était d’une beauté sans égal) ; et bien-sûr pour recevoir toutes les bénédictions que Dieu a promis à sa descendance, et pour obtenir les récompenses reliées à sa foi, et finir par manger, prendre le pain et le vin avec Melchisédek, le fils de Dieu… il y a légion, il y a foule.

Mais pour vivre ses souffrances, je suis sûr que là, les premiers concernés baisseront les yeux vers le sol. Ah, plus personne pour prendre la couronne de gloire ? !

Ceux qui se croient sage et intelligent le sont-ils vraiment, alors ?

Le verset 27 de Luc, chapitre 14 et le récit qui suit après, nous renvoie à la vraie sagesse (rappelez-vous le sens du nombre 27 : où se trouve la sagesse)
« Et quiconque ne porte pas sa croix, et ne me suit pas, ne peut être mon disciple. ».
Voilà comment un disciple reçoit la sagesse !
Sommes-nous capable de la porter cette croix, cette œuvre de sacrifice et de souffrance ? En plus non pas pour nous, pour notre gloire personnelle, mais pour celle des autres. Car tout ce qu’on fait en Christ on le fait pour les autres, pour un corps (c’est cela le corps de Christ).
Le verset suivant nous demande de réfléchir dans le sens de mesurer, de peser le pour et le contre.
« Car, lequel de vous, s'il veut bâtir une tour, ne s'assied d'abord pour calculer la dépense et voir s'il a de quoi la terminer, de peur qu'après avoir posé les fondements, il ne puisse l'achever, et que tous ceux qui le verront ne se mettent à le railler, en disant: Cet homme a commencé à bâtir, et il n'a pu achever? ».

Eh oui,  parce qu’à ce moment-là on s’assoit et on calcule si on a de quoi finir la construction de l’ouvrage ; Et on voit que non, que le courage n’est plus là, que l’enthousiasme du départ non plus, que tout a laissé la place à la perplexité et que sa foi est bien petite et que l’on préfère après tout une vie moins tumultueuse, qui n’engage pas grand-chose, on préfère une vie bien rangée.
Suivre Jésus demande de passer par le même renoncement (sa propre vie). 
Dire, ou confesser «  Seigneur je te donne ma vie », ce n’est pas juste des mots pour dire : « tu es maintenant ma seule et unique référence : la Bible ».

Non, donner sa vie c’est : accepter le mépris, l’ingratitude ; comme de voir ceux que nous aimons nous quitter ou de devoir aimer ceux qui ne sont pas aimable en les supportant ; et de pardonner aussi aux outrageux.
Je ne suis pas en train de dénigrer le manque de foi de beaucoup, mais je préfère l’honnêteté au mensonge et cette intégrité me demande de faire tomber les masques.

Quel triste constat général : Les yeux des croyants ne voient plus que ce qui brille : la gloire, les récompenses, les médailles, les honneurs; mais ils ont occulté ce qui l’est moins (la trahison, la séparation, l’abandon, le mépris, la solitude, le manque, et pour finir la mort).

Pourquoi ne voit-on plus le sacrifice de l’agneau, cette fraction du pain, cet animal à face d’homme, qui se livre sur l’autel pour les autres ?

Parce qu’il a disparu des assemblées.

Le sacrifice, en réalité fait peur et n’a plus bonne presse, dans une époque où le New-âge est la pensée dominante. Même ceux qui ne se fie qu’à leur Bible la lise avec cette pensée qui agit comme un filtre.
Le New âge rejoint l’hédonisme, les plaisirs sensuels, se sentir bien dans son corps et dans sa tête.  Cette fausse paix est recherchée inconsciemment partout et par tous.
C’est aussi les loisirs qui sont plébiscités ; et les plages sublimes, les villas de rêve et les belles voitures, les beaux habits sont devenus des signes de la réussite et du bonheur ; la convoitise du monde.
Les conducteurs d’assemblées, quant à eux, se délectent de la laine de leur brebis et annoncent la grâce comme un évangile sans sacrifice, sans renoncement véritable, sinon les actes à faire pour eux et pour leur organisation (ah oui, là il y a des sacrifices…).
Parce que les lévites d’autrefois se sont transformés en faux sacrificateurs, fidèles et obéissants, mais aux rites et aux caprices de leur groupe.
On fait comme le roi de Juda Ozias, on reproduit exactement les mêmes actes que lui ; on se croit fort, rempli de la puissance de Dieu, comme lui (Ozias en hébreu c’est : « ma force est l’Eternel »).
Alors on rentre dans le temple plein de force, rempli d’assurance et on y fait des sacrilèges à répétitions !
Quels sacrilèges aujourd’hui ?
De faux sacrifices, un renoncement « light » (léger).
Et ce n’est pas tout, on va jusqu’à rejeter ceux qui vous montre votre égarement.

Lorsque j’écris les lignes qui vont suivre je n’avais pas réalisé que nous étions le 17 juin. J’écrivais ce que m’inspirai ce chiffre pendant que ma femme regardais à la TV, un match de foot féminin ; et ce qui sauta à mes yeux fut de voir les deux joueuses numéros 17 l’une sortir du terrain, pour se faire remplacer, et l’autre remplaçant une joueuse  et cela presque simultanément ; ce qui me surpris aussi fut le scandale qui s’en suivi dans les médias avec le penalty qui avait été refusé et retiré. Encore des coïncidences à répétitions : Le 17 et le scandale. Ils fonctionnent tellement ensemble.

Le nombre 17 encore lui !
Rappelez-vous, il montre d’où vient le scandale et la détermination du scandaleux (celui qui est animé par le scandale et le provoque) qui, même dévoilé, s’endurcira jusqu’au bout et ira tout droit à sa ruine.

2 Chroniques 26 : 17 nous donne un exemple spectaculaire avec le roi de Juda Ozias
« Mais Asaria, le sacrificateur, entra après lui, et avec lui quatre-vingts sacrificateurs de l'Éternel, hommes vaillants, qui s'opposèrent au roi Ozias ».
80 sacrificateurs, ce n’est pas rien ; En plus Dieu y envoie son secours : Asaria Asar qui signifie secours et Yaah qui signifie Dieu. Eh bien, même avec le secours de Dieu, ils n’arrièrent même pas à faire fléchir les genoux d’Ozias et à le ramener à la raison (c’est fou cette obsession des orgueilleux à vouloir toujours avoir raison même quand ils ont tort !).

Maintenant les versets 17 continuent à nous révéler ce qu’est exactement la ruine ; et toutes les formes de ruines différentes que Dieu a mises en réserve pour un peuple qui refuse le sacrifice.
Que risque-t-il ?
Une légère remontrance ? Quelques désagréments ?
Je dirai plutôt une liste impressionnante de malédiction, mais pas que… car derrière la ruine d’un peuple il y a aussi sa part de honte et de réparation.
Ils répareront les torts causés aux autres en bénissant ceux qu’ils auront considérés comme leurs ennemis.
Alors la ruine, vous allez voir ce n’est pas juste un mot ou une situation…

C’est un processus lent, multiples et le livre de la Genèse illustre parfaitement ce processus qui va des causes du scandale, puis de son dévoilement, de ses conséquences ruineuses pour finir par sa réparation. :  

1      La cause principale de tout scandale d’abord : ce sont les ténèbres, qui agissent lorsque l’on se prend pour une lumière pour présider au jour ou à la nuit Gen 1 :17
2      Cette cause induit un acte privilégié : la désobéissance et la désobéissance consommée produit la mort Gen 2 :17 ;
3      Ensuite, leur terre est maudite, leur travail est pénible Gen 3 :17 ;
4      Leur ville est aussi maudite, car elle est construite par le fils de Caïn Gen 4 :17 ;
5      Les jours de leur vie et de leurs fils sont comptés. Gen 5 :17
6      Leur déluge, la terre entière périt Gen 6 :17 ;
7      La durée de leur épreuve est longue et pénible (40 jours) Gen 7 :17 ;
8      Leur semence est maudite (le serpent et son venin se propagent de générations en générations) Gen 8 :17
9      Pourtant Dieu ne cesse de leur rappeler son alliance à eux aussi Gen 9 :17
10   La conséquence sera la division, la dispersion de leurs assemblées  Gen 10 :17 ;
11   Leurs assemblées, qui sont  au sein même d’un peuple élu (Héber, le père du peuple hébreux) Gen 11 :17
12   Ils sont à l’origine des grandes catastrophes Gen 12 :17 ;
13   Mais aucun lieu aussi saint soit-il ne sera épargné de la ruine Gen 13 :17
14   Alors qu’eux aussi partagent de grandes victoires de foi (comme le roi de Sodome avec Abraham) Gen 14 :17
15   L’obscurité profonde et la fournaise fumante, voilà ce qui les divisera Gen 15 :17 ;
16   Parce que l’incrédulité, signifie se rire des promesses de Dieu et c’est leur quotidien Gen 17 :17,
17   Ils connaissent leur ruine puisqu’elle leur est annoncée par prophétie Gen 18 :17 ; 
18   Résultats : Ils fuiront pour échapper à la mort, où peu seront épargnés Gen 19 :17 ;
19   Leur stérilité, l’impuissance  les frapperont fort  Gen 20 :17
20   Il y aura des cris de souffrance de la part de leurs enfants assoiffés ; Gen 21 :17
21   Et, ils seront soumis à un peuple bénit. Gen 22 :17 ;
22   Le lègue de leur propriété se fera au profit des consacrés Gen 23 :17
23   L’assemblée prospéra à partir de disputes de querelles et d’opposition Gen 26 :17
24   La trahison se fera par leurs proches ;  Gen 27 : 17
25   Leur égarement, les pousseront à des actes religieux spectaculaire ; Gen 28 :17
26   Ils devront travailler dur et longtemps pour obtenir ce qu’ils désirent Gen 29 :17
27   L’exaucement des prières sera pour les autres, les rejetés, les laissés pour compte Gen 30 :17
28   Ils agiront en ayant la peur au ventre, la peur de tout perdre Gen 31 et 32 :17
29   Ils seront corrompus au point d’accepter tous les compromis Gen 34 :17
30   Ils auront beaucoup difficulté à avoir des nouveau-nés (autant spirituellement que naturellement) Gen 35 :17
31   Ils comploteront contre leurs frères, les poussant à se sacrifier à leur dépend Gen 37 :17
32   Ils abuseront de manigances en tout genre Gen 38 :17
33   Surtout par de faux témoignage Gen 39 :17
34   Ils connaîtront la chute de leurs chefs Gen 40 :17
35   Leur emprisonnement Gen 42 :17
36   Mais ils seront confrontés à ceux qu’ils ont persécutés Gene 43 :17
37   Ils deviendront leur serviteur Gen 44 :17
38   Ils verront celles et ceux qu’ils ont délaissée être nourrit par Dieu Gen 46 :17 ; 47 :17
39   La main de la bénédiction sera sur une autre tête que la leur, ils ne recevront pas, eux, un héritage aussi prestigieux. Gene 48 :17
40   Car ils ne sont pas tombés comme eux à la renverse face aux assauts du serpent Gen 49 :17
41   Enfin, au bout du compte, ils finiront par demander pardon pour leurs offenses et leurs crimes Gen 50 :17

Le bilan de ce chiffre 17, c’est que le Graal tant recherché et convoité par ce peuple livré aux scandales, lui a échappé et pour finir ce Graal s’est retrouvé dans les mains de ceux qu’ils avaient eux-mêmes ruinés et considérés comme méprisables.

Alors, Pourquoi autant de détails dans les sacrilèges ?

Pour nous mettre en garde ; pour nous alerter.
Si nous nous retrouvons dans une même situation décrite (plus de 40 situations décrites  aux versets 17 de la Genèse), ne persistons plus, mais  réagissons vite pour ne pas nous laisser sombrer.
N’y voyez surtout pas des attaques de démons ou du diable, cela ne sert encore qu’à fuir les problèmes au lieu de les affronter avec responsabilité.
Car comme Job 5 :17 nous le souligne au trait rouge : « Heureux l'homme que Dieu châtie! Ne méprise pas la correction du Tout-Puissant».
Il est si facile de se laisser égarer par nos mauvais penchants, car l’effort, comme la souffrance (je le répète) est devenue synonyme d’échec.
Souffrir pour Dieu, c’est devenu une honte ou bien alors, une bêtise, car la doctrine du salut est salie par un mensonge : on n’aurait pas compris (ou saisi la portée) de ce que le fils de Dieu a fait sur la croix !?
Mais la vérité, c’est que l’on dissimule ses sacrilèges en cachant son état affaibli, en poudrant son visage malade ou vieilli, en souriant comme un comédien pour cacher sa tristesse ; en mentant pour ne pas dire sa souffrance, tout cela pour paraître régénéré par l’esprit…

Mais quel est cet esprit ?

Un esprit de mensonge, celui du malin, celui qui est venu pour égorger et détruire.
« Jésus dit à ses disciples: Il est impossible qu'il n'arrive pas des scandales; mais malheur à celui par qui ils arrivent! ».
Ce passage de Luc 17 est plus qu’un simple avertissement.

C’est une trompette ; une des plus importantes trompette de Dieu. Elle n’a jamais cessée de sonner à travers le temps, les époques et le monde.

Qui s’en est douté le 17 juin 1939 où a été filmé et photographié la dernière exécution publique en France ?
C’était le dernier guillotiné sur la place publique, il y a 80 ans. Cette dernière exécution a provoqué le même scandale que les horribles crimes de ce tueur en série. Le meurtre, le crime exposé aux yeux de tous voilà le grand scandale.

Et que dire de ce scandale mondialement connu qui éclatera le 17 juin 1972 ? Je parle de celui du Watergate, aboutissant à la chute du président des Etats-Unis : Robert Nixon.

Dans un avenir proche nous pouvons nous attendre à voir l’apogée des scandales.
Pourquoi ?
Parce que de nos jours le scandale n’est pas politique, ni meurtrier seulement. Le scandale est sanitaire, écologique, sociétal, sportif, économique, démographique ou religieux.( en tous les cas cette semaine comme une coïncidences, les média n’ont pas arrêté de divulguer des scandales en tous genres)
Je pose la question suivante : Dans quel secteur n’existe-t-il pas de scandales ?
Tous les secteurs sont touchés.
Alors  à l’image de ce qui s’est passée le 17 juin 1940, où le maréchal Pétain nommé président du conseil, fit un discours sur l’armistice où il réclamait la reddition de la France face à l’Allemagne, la capitulation, s’en remettre à l’ennemi, ne plus lui résister. Rien de bien scandaleux aux premiers abords. Un soulagement pour une France désarçonnée par la guerre.
Mais ce soulagement n’a été que de courte durée, puisque les sacrifices entrepris ensuite ont été nombreux et interminables. Ce fut le début « des années noires »…
Le dévoilement d’une organisation politique scandaleuse où Pétain plutôt que d’organiser la résistance, organisait la collaboration, la délation et la déportation.

Oui nous allons assisté bientôt à partir d’un 17éme jour du mois, à ce qui s’est passé avec le régime de Vichy en France : la fin de la Vème république, remplacé par un régime autoritaire, la dictature d’un seul homme, l’état d’urgence proclamé, le rationnement alimentaire et des produits de première nécessité devenant rare, des conditions de vie difficile ( des moyens de transports au ralentie, de nombreuses coupures électriques,  la privation des libertés). Oui tout cela est à notre porte, à la porte d’un peuple qui a refusé le sacrifice de l’agneau. En retour il a creusé sa propre ruine.
Alors oui… la gloire de Dieu !
Oui nous soupirons à sa gloire, et notre délivrance, mais jamais sans un sacrifice vrai, profond et en lui : Le sacrifice agapé est un sacrifice où amour et don de soi sont indissociables.
Amen

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