dimanche 11 novembre 2018

COMMENT SAVOIR SI NOUS SOMMES CONDUITS PAR UN ESPRIT RELIGIEUX ?


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Par Eric Ruiz

Pourquoi un tel titre de message?

Parce qu’il y a tellement d’idées et tellement d’interprétations en tout genre.
Nous sommes dans l’ère de la confusion. (Babel, traduit par Babylone, signifie confusion par mélange) ;
Ne sommes-nous pas installés dans ce siècle confus, où tout est mélangé, le bien et le mal, le vrai et le faux, les vrais croyants et les faux oints ?

Alors je comprends qu’il y ait des blocages parmi les croyants sur des doctrines nouvelles qui ressemblent pour certaines, à des mensonges déjà existant.

Donc,  je comprends le blocage que vous pourriez avoir, par exemple, sur la réincarnation.
Ces doutes je les ai eues moi aussi ; vu que pour moi, jusqu’à il y a quelques temps, la réincarnation avait l’odeur nauséabonde de la religion (et plus précisément de la religion bouddhiste).
Je fuyais cela comme la peste.

Malheureusement, comme beaucoup de choses saintes, la religion a sali est empoisonnée l’eau pure de la parole (semant l’incompréhension, le doute et récoltant le rejet, la manipulation et même la moquerie, sur la révélation).

Pour en revenir à cette doctrine de la réincarnation:
La première chose qui est à mon sens le plus important, c’est qu’elle fait bien partie de la « doctrine d’amour » de Christ.
 Elle libère, elle donne sa vraie dimension à Dieu, qui vient sauver tout le monde. Il est Sauveur avec un grand S majuscule ; il a tout réconcilié en lui par le sang de la croix, ce qui est sur la terre et dans le ciel ....pour que tous genoux fléchissent devant lui et que toutes langues le louent.
Cela, c’est la porte d’entrée au ciel.
« TOUT », ce n’est pas une partie de sa création.
Il n’y a pas de création poubelle, comme voudrait nous le laisser croire certains discours religieux.
Le jugement dernier n’est pas comme eux le voit, un point final ou une condamnation définitive sur les œuvres mauvaises des impies.
Dieu créerait l’homme à son image, mais au final, il y aurait une partie de cette image qu’il brûlerait parce qu’elle lui a désobéit, que le cœur s’est endurci?

Mais attention, Dieu n’est pas un homme pour s’endurcir à tout jamais dans la colère.
Dieu ne se sert pas non plus de l’homme comme d’un objet de plaisir-déplaisir, pour sa gloire et celle d’un petit groupe d’élites qu’il aurait choisi, mettant les autres, les inutiles, au feu.
Toute la création lui appartient et il est venu reprendre ce qui est à lui.
Jésus a dit qu’il ne perdra personne.

Judas Iscariote sera-t-il sauvé, alors ? Oui, il sera sauvé, mais sans doute pas avec les mêmes récompenses que d’autres.
Ceux qui auront persévéré dans la foi obtiendront des récompenses; Mais… pour ceux partis trop vites n’ayant pu persévérer, qu’obtiendront ils alors?

Je crois qu’il y a toujours cette pensée orgueilleuse, qui sommeille en chacun de nous et qui demande à Dieu, en ayant déjà la réponse dans la question :
« Ne suis-je pas meilleur que ceux qui font le mal ? »

Alors ne soyons pas réducteur à notre nombril. Voyons avec le regard de l’aigle.
Il y a un seuil à franchir.
Et le seuil de la porte du ciel quant à lui c’est:
Où vont toutes ses âmes perdues?

Où vont les avortons, les mort-nés, les enfants morts jeunes, les suicidés, les criminels, les accidentés, les homosexuels, les dirigeants, tout ceux qui ont renié le Seigneur en se faisant Dieu à sa place.... cela en fait du monde, combien ? Des millions de personnes, des millions d’âmes.

Excusez-moi : mais quel gâchis, s’ils doivent disparaître à jamais !

Vont-ils pouvoir se repentir en enfer?

D’une certaine manière je dirais oui, car on peut revenir de l’enfer comme Jonas l’a fait, si l’on conçoit que le feu brûle le corps mais n’extermine pas l’âme.

Le problème est : où a-t-on placé l’enfer ?

Les ténèbres, qui sont à la surface de l’abîme ne sont-elles pas sur la terre?

La vie terrestre peut devenir un véritable enfer pour certains, ne croyez-vous pas ? (sinon regardez autour de vous, tous ces gens qui vivent des choses abominables !)

La religion, elle, condamne et brûlent définitivement ces âmes-là et c’est le cas de le dire, sans état d’âme.
Sauf que, lorsqu’elle ne sait pas quoi dire devant un enfant mort jeune, elle affirme qu’il y a sans doute un coin dans le paradis pour lui, (beau contre-pied, sans trop se mouiller et quel réconfort pour les parents, non ?)

Et comment réconforter la mère d’un suicidé ?
La religion catholique a trouvé le purgatoire et la prière pour les morts (avec autrefois des doléances payantes, ou le commerce des indulgences).
D’autres, ne s’embarrassent pas de ce détail et envoie le suicidé en enfer (pensant que c’est un lieu éternel de tourment ou un lieu d’extermination) avec le diable et ses anges.
Et pour d’autres?
Ils préfèrent la formule du prêtre qui allait massacrer une ville de croyants cathares en criant : « Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !» 

Où se trouve le cœur de Dieu dans tout cela?
Où se trouve le consolateur (le Saint-Esprit) que le Père nous a envoyé ? Est-ce une manière de consoler, d’essuyer les larmes de celles et ceux qui se trouvent dans la détresse après avoir perdu un être cher ?

En tous les cas, un Dieu qui serait comme cela est aux antipodes de celui qui vit en moi.
Eugène Marbeau dans «  Les remarques et pensées » (1901) disait  une chose très juste : « Pour connaître le fond du cœur d'un homme, il suffirait de savoir quelle idée il se fait du Paradis et comment il se représente l'Enfer ». 

Alors, c’est volontairement que je ne montre ici aucun verset biblique, pour éviter qu’encore, encore et toujours… l’interprétation vienne semer son venin, sa dose d’incrédulité ; mais la justice qui crie dans nos cœurs est-elle celle de la condamnation ou celle du pardon?

Jésus-Christ est l’opposé de la condamnation, il est la réconciliation.

Alors, si arrivé à la fin d’une vie, le cœur de l’homme ou celui de la femme demeure dur comme un cailloux, car il refuse de pardonner, eh bien : « il portera son enfer selon la mesure de sa méchanceté »…d’une manière imagée, il sera comme une fleur qui se fane et pourrit dans la terre, mais qui renaîtra au prochain printemps dans une terre beaucoup plus aride, voire désertique, (pourquoi ?) pour affronter une vie de difficultés encore plus grandes (c’est cela la graduation des coupes de la colère de Dieu) ; et s’il lui faut plusieurs vies pour reconnaître sa folie et briser son cœur dur et s’éloigner définitivement de sa propre idolâtrie, alors, c’est que cela doit se faire ainsi ; et pour moi c’est la patience de Dieu que j’y vois le plus; c’est cet amour perpétuel, qui n’a pas de limite de temps pour retrouver celui qui s’est perdu.

Alors, ensuite il y a la confirmation par l’Esprit.
J’ai reçu, sans m’y attendre du tout, la révélation des deux résurrections. La deuxième résurrection est loin d’être aussi heureuse que la première résurrection, puisqu’elle est en Christ.
Ceux qui ont part à la deuxième mort on part bien-sûr à la réincarnation....mais voilà, je ne convaincrais personne, car même ceux qui sont déjà convaincus, doivent l’être, non par un homme mais par l’Esprit saint qui seul convainc de péché de justice et de jugement.

Dernier point : suis-je un disciple qui cherche à faire d’autres disciples ?

J’enseigne simplement ceux qui veulent m’entendre.
Mon Père, Dieu, lui, rassemble ceux qui font sa volonté.
Alors, à quoi servirait-il que je me perde en amenant la lumière sur moi ?
C’est plutôt éclairer les autres (et leurs zones d’ombre) le plus important; et je n’ai par conséquent aucune vocation à vouloir créer un nouveau mouvement, un nouveau modèle doctrinal.
Je dis ce que le Saint-Esprit a mis dans le cœur du croyant, qui est : soit déjà convaincu, soit en questionnement puisque c’est ce qu’il a refoulé, ce qu’il a enterré en lui.

Pourquoi la vérité se présente-t-elle ainsi ?

Combien de croyants ont vécu selon les convictions des autres au lieu des leurs ?
Combien d’intuitions spirituelles vraies ont dues être piétinées, enfouies dans le subconscient d’enfants de Dieu ? Des dogmes religieux dressés comme des montagnes de vérité sont venus remplacer par la loi, la liberté en Christ.
Il n'y a rien de pire que l'esclavage religieux ! 

La dernière question que chacun doit se poser de manière urgente est:

« Suis-je suffisamment humble pour entendre les paroles de mon Père? Suffisamment courageux pour préférer les pensées de Dieu aux traditions des hommes ? »

Je prie que le Saint-Esprit parle dans le cœur de ceux qui ont besoin d’être éclairé.

Mais, le problème de la réincarnation (qui je le rappelle et la deuxième manière de ressusciter, la première étant glorieuse, puisqu’elle est en Christ) cache un problème plus profond : celui de l’esprit religieux.

Je le répète, COMMENT SAVOIR SI NOUS SOMMES CONDUITS PAR UN ESPRIT RELIGIEUX plutôt que par Dieu ?

Il faut savoir que le problème nº1 de toutes les religions sans exception : c’est le péché.
Pourquoi les religions pullulent, partout ; et pourquoi elles ne régressent pas en nombre ?

C’est parce qu’elles cherchent chacune un moyen de cacher le péché.
Comme elles ne peuvent s’en débarrasser, elle le dissimule.
Qui n’a pas eu, ou qui n’a pas encore eu ce comportement récurrent ? (écoutez-bien !)
« Je cherche à faire le bien; mais le mal que je ne veux pas revient sans cesse à moi ».
La religion n’a jamais réussi à se débarrasser du problème du péché et c’est pourquoi on trouve partout cette particularité du caractère religieux qui cherche non pas la lumière, la clairvoyance et la vérité, mais la dissimulation.

C’est comme une tâche sur un vêtement, il n’y a que deux solutions : Soit vous arrivez à la faire disparaître, soit vous y ajouter un morceau de tissu supplémentaire pour la dissimuler.

Les bouddhistes ont trouvé une solution, leur morceau de tissu ressemble à des résurrections infinies sous forme de réincarnation. Ils veulent s’amender par un meilleur karma en rachetant leurs fautes au moyen de réincarnations à plusieurs étages : végétal, animal humain.
Mais ils oublient une chose : c’est que l’animal et le végétal n’ont pas péché car ils n’ont pas désobéi, mais ils sont soumis et gardés par l’homme et ne sont pas créés à l’image de Dieu.
Seul l’homme est créé à l’image de Dieu.
Donc l’âme d’un animal ne peut renaître humain, alors qu’au contraire l’âme d’un humain pécheur en renaissant humain toujours pécheur a encore le moyen de changer de nature en se repentant.

Alors, les religions chrétiennes ont toutes les mêmes particularités : elles cachent les fautes de leurs croyants dans des rituels qui se ressemblent tellement :

Quels sont ces rituels ?

- Premier grand rituel : LE LIVRE SACRE 
Toutes les religions ont un livre sacré et surtout elles le font savoir : il est plus saint que celui des autres.
Les juifs se réfère à la Torah et pour les plus érudits à la Kabbale ; les musulmans au Coran et les catholiques ont leur missel et leurs livre des saints dont la Bible fait partie ;
Les protestants ont leur Bible et les autres courants ont des versions différentes : la Bible version Segond pour les uns, version Darby pour les autres, etc. ; ils ont des versions révisées, dont certaines traductions linguistiques « seraient » plus proche de l’original ;
Les mormons, eux, ont en plus leur propre livre, (le livre des Mormons). Les témoins de Jéhovah possèdent une Bible bien à part avec la « traduction du nouveau monde ».
Les différents courants évangéliques ont trouvé une astuce : Ils ont quasiment la même Bible, mais c’est l’interprétation des écritures qui évolue. Ce sont leurs grands théologiens qui fondent leur croyance biblique. Autant de courants, autant d’inspirations et d’interprétations différentes.
Il y en a pour tout le monde et pour tous les goûts.

Et on continue à chercher la vérité dans ce venin diabolique ??!!

Il n’y a qu’à voir comment chacun entrevoit les temps de la fin pour s’en apercevoir.
Tous les scénarios de l’apocalypse annonciatrice de la fin des temps sont évoqués.
On est attiré inconsciemment, en fait, par l’explication reflétant le plus ce que nos passions charnelles préfèrent ; et par voie de conséquences nous réfutons ce qui nous fait peur et ce qui montre nos fautes.

Donc, l’interprétation c’est un moyen astucieux, subtil et séducteur pour dissimuler les fautes.

2- ce qui nous amène au deuxième rituel :
Comment effacer nos péchés ?
Ce qui revient à la question suivante : Qui est l’animal de sacrifice ?
1- l’animal unique envoyé par le Père c’est l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. C’est le Fils de Dieu envoyé sur terre. C’est Jésus-Christ qui l’a fait, lui, pour tous ceux qui croient en lui et qui naissent alors par le don de repentance puis par le don de l’Esprit-Saint venant du Père ;

Mais on le sait ce sacrifice est galvaudé par un sacrifice sans eau c’est-à-dire sans vrai repentance.

Si Elie le prophète n’aurait pas recouvert son sacrifice à trois reprises de 4 cruches d’eau, jamais il n’aurait été agréé de Dieu et donc jamais le feu du ciel serait descendu sur son sacrifice.
Pas de repentance, pas d’esprit saint ; Pas de don de repentance, pas de don du Saint-Esprit.
Et je ne sais pas si vous avez bien fait attention à ce passage du livre des Rois, mais ce n’est pas Elie qui versa l’eau, c’est le peuple. C’est Elie qui demande au peuple de le faire ; Ce qui est très intéressant, puisque là, c’est le peuple qui se repent fortement ; (ce n’est pas une petite partie des Israélites, non, ce sont toutes les tribus car 3 fois 4 cruches d’eau cela fait 12 cruches d’eau, comme les 12 tribus)
Et c’est le peuple qui ensuite chassera et exterminera les faux prophètes.
La lumière ne brille pas sur Elie, elle brille sur le peuple.
C’est le peuple qui reçoit la lumière.
Tout le monde a les yeux rivés sur Élie ; Mais c’est le peuple qu’Elie est en train d’enseigner pour l’amener à la conversion.

2- Deuxième animal de sacrifice : (Puisque le sacrifice de l’agneau de Dieu a été occulté, alors nous avons un autre sacrifice)
L’animal immolé va être un jeune agneau d’un an, sans défaut ; (c’est-à-dire ?) celui des plaisirs de la chair. 
Se purifier en se soumettant à une vie austère de privation en tout genre (Nous tombons là dans les fameux interdits, le légalisme : « Tu ne feras pas ceci, tu ne feras pas cela ; Tu n’auras pas de loisirs, tu t’abstiendras de vin, de mariage, de sexe, de fréquentations qui souillent, Tu auras une vie quasi monastique.... »
Ce sont les vœux de chasteté, de pauvreté et d’obéissance des catholiques qui pensent, par leurs actes, atteindre la sainteté ; qui pensent  inconsciemment que leur jeune agneau immolé, sans défaut, va remplacer l’agneau de Dieu.

Mais quelle est la religion qui n’a pas son jeune agneau à brûler avec leur listing d’actes obligatoires à pratiquer, pour montrer l’obéissance de leurs disciples ? (montrez-la moi, cette religion qui n’a pas d’actes obligatoires?)

3- Troisième animal de sacrifice : l’animal sacrifié est du gros et du menu bétail, sans défaut (toujours); c’est un jour de la semaine : se soumettre à un jour plus saint, qu’un autre (le Sabbat, le jour du Seigneur, le jour de la prière collective pour l’islam.. ou chaque jour un bouddha différent ; et ce septième jour de la semaine est spécial car on y fait des actes ritualisées et agréés.

4- Quatrième animal de sacrifice : l’animal sacrifié est ici, n’est pas un animal, mais c’est un gâteau cuit de fleur de farine et d’huile, le tout cuisiné sans levain (sans levain, pour signifier que cette offrande n’est pas pour soi, pour se mettre en valeur); c’est son temps et son argent que l’on dépense alors, ce sont des actions de générosité visibles 
(Dons d’argent, œuvres de charité…  On soutient des associations caritatives et humanitaires, on visite les malades dans les hôpitaux, on évangélise tout le monde, partout et à tour de bras...)

5- Cinquième animal de sacrifice : l’animal que l’on brûle ici c’est du gros bétail comme le bœuf symbole de force et de communion ; c’est celui qui est choisi par le collectif, par la communion des « saints » (représenté par des fêtes purificatrices (jeûnes, le ramadan, les pèlerinages, les regroupements de masse, les processions, les congrégations, les célébrations, les séminaires, etc.).

Pour finir avec tous ces rituels : (que l’on a vu au travers du livre sacré et des offrandes d’animaux) Ce sont bien sûr des sacrifices réels, mais la question est: sont-ils agréables à Dieu?
La réponse est dure : Non !
Pourquoi ?
Parce que ces sacrifices, ces offrandes dissimulent toujours le péché.
Il n’y a toujours pas de repentance. Et sans repentance on manque le but.
Le religieux qui a créé ou rejoint sa religion s’applique à suivre scrupuleusement les rituels de son mouvement qui ne peut faire autrement que de faire ses œuvres dans les ténèbres.
Ces sacrifices sont bons et agréables, s’ils sont faits uniquement avec un cœur purifié.
Le problème c’est toujours celui de la profondeur de nos actes.
Nos réelles intentions.

Alors, ceux qui se disent athée, non croyants, ou encore ceux qui voient Dieu partout dans la nature (un Dieu uniquement créateur) pensent être protégé et sauvé de la religion.
Mais le sont-ils vraiment ?

N’ont-ils pas eux-aussi créé une autre religion à leur niveau ?

Derrière la religion il y a surtout l’esprit religieux ; et on ne peut pas y échapper autrement que par une vraie relation divine.
Regardez : j’en avais parlé dans un précédent message sur les TOC (troubles obsessionnels compulsifs qui deviennent évident chez la plupart des gens) mais avoir ce trouble obsessionnel montre qu’il y a déjà un esprit religieux derrière.
Quand on s’active à laver sans cesse ses vêtements, son corps, sa maison...c’est qu’inconsciemment on s’empresse à vouloir enlever ses péchés.

Les athées recherchent un livre sacré dans une philosophie de vie, dans la croyance aveugle de la science.
Ils partent en vacances comme en pèlerinage pour se laver dans les eaux chaudes, croyant pour un moment s’être purifié.
Ils ont aussi leurs œuvres de charité (les restos du cœur, le téléthon etc).
Ils ont de bonnes raisons morales pour respecter des valeurs qu’ils estiment eux, avoir du sens.
Alors parfois quand cela les arrange, ils s’abstiennent de voler, de mentir ou de tricher. Ils s’occupent du besoin des autres tant que cela correspondent à leur besoin.
Non, je ne suis pas amer, je n’ai de ressentiment, ni de jalousie pour aucun religieux.
L’homme est par définition un animal religieux, à partir de sa désobéissance.
Donc je ne m’illusionne pas sur ma vielle nature, je sais d’où je viens, moi aussi.
Mais maintenant que je connais le Père au travers du Saint-Esprit, je ne regarde plus en arrière. Et donc je ne prends pas ce qui est bon dans une religion et dans une autre et dans une autre encore… pour construire un nouveau mouvement qui reviendrait à une nouvelle religion.
Je ne prends pas un tissu neuf pour le raccommoder à un vieux tissu, la déchirure serait pire.
Jésus reconstruit le temple en 3 jours.
Alors que faire ?
Faire ce que l’Esprit Saint nous inspire. Pratiquer ses œuvres.
Est-ce faire des choses compliquées ?
Non, c’est tout simple : faire ce qui nous semble vrai, juste, bon, pur, honorable et digne de louange pour notre bien aimé Seigneur et non pour nous-mêmes.
Amen

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