dimanche 12 mai 2019

D’OU PROVIENT L’HOMOSEXUALITE ?

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Par Eric Ruiz

Avant d’entrevoir directement ce sujet épineux, je vous propose de passer par une porte pour comprendre le processus qu’il y a derrière… Et cette porte c’est l’inquiétude.


J’ai remarqué que dans les milieux chrétiens on oppose souvent l’inquiétude au manque de foi.

« Si tu t’inquiètes, c’est que ta foi en Dieu diminue ».

Alors on a tendance à dire au croyant : « repose-toi en Dieu, croit qu’il t’aime et qu’il veut le meilleur pour toi ».
Tout cela est vrai, mais il manque une chose importante à saisir si nous voulons ne pas rester superficiels ou accrochés à des théories sans espoir de changement dans nos vies :

Nous devons creuser la chose et être pragmatique :

Quelle est la racine de l’inquiétude ?

Une citation de Paul Valéry dit : « Les hommes se distinguent par ce qu’ils montrent et se ressemblent par ce qu’ils cachent ».

Tous se ressemblent au moins sur un point et cachent la même chose, la même faiblesse : leur manque de protection ; voilà la racine de l’inquiétude, et voilà la vraie porte qu’il faut ouvrir : le manque de protection divine.

On veut se montrer à différents niveaux plus fort et plein d’assurance et pourtant on n’a du mal à cacher qu’on se sent vulnérable, petit, éphémère parce que notre protection a disparu ou qu’elle laisse entrevoir des failles importantes.

Lorsque Dieu vient nous oindre de son esprit, la première chose que nous ressentons c’est une immense sensation de protection. Plus rien ne peux nous arriver. Nous devenons d’un seul coup invulnérable. C’est comme si Dieu nous avait équipé d’un attirail de combattant digne d’un super héros d’un film Marvel.

Je me souviens, pour ma part, avoir fait un voyage au Canada quelques jours seulement après ma première conversion ; et lorsque je me suis trouvé seul faisant du stop au beau milieu d’une immense forêt la nuit tombante, en entendant les bruits d’animaux sauvages, je n’ai pas eu peur. J’étais dans la plus grande confiance. J’avais ma Bible avec moi, et je venais de lire que celui qui est dans la lumière ne bronche pas quand survient les ténèbres, et cela avait suffi à me rendre paisible.

La protection de notre Père céleste c’est la première chose que l’on retrouve et qui nous apporte cette paix, pas comme le monde donne, nous dit la Bible, mais comme notre Père est seul capable de nous donner. C’est la protection qui nous manquait réellement, celle du ciel (la protection terrestre étant tellement fragile et volatile).

La protection est un des plus grands dons de notre Dieu.

La Bible nous dit qu’il est notre protecteur, notre protection, mais aussi, c’est notre rocher, notre force, notre forteresse, notre rempart, notre refuge, notre place forte, notre abri, notre bouclier, notre haute retraite, notre étendard, notre bannière …

« Dieu protecteur » a un nom dans la Bible : c’est Jehova Nissi, (traduit par l’Eternel ma bannière)

Moïse construisit un autel qu’il appela de ce nom, après sa victoire sur les Amalécites. Le roi David en faisait souvent référence pour ses victoires aussi. Il savait que s’il ne se mettait pas sous la protection de Dieu, aucune victoire sur ses ennemis n’était possible, puisqu’il n’était plus protégé. Le Psaume 20 en est un exemple frappant. David se refusait de mettre sa confiance dans ses chars et sur ses chevaux, comme le faisait les autres nations. Sa force et ses louanges émanaient uniquement de sa protection.

En fait la protection, c’est la première caractéristique divine. Chronologiquement, ce don intervient en tout premier.

Alors, faisons attention, Dieu n’est pas en premier protecteur, puis en deuxième amour et en troisième sauveur. Il n’y a pas une hiérarchie de caractères.

Son amour est protecteur et il est sauveur. La protection est imbriquée dans l’amour divin, comme son salut l’est aussi.

Donc, s’il n’y a plus de protection divine, c’est que son amour est brisé et que son salut ne peut plus s’exercer.

Adam et Eve, lorsqu’ils se sont coupés de la protection divine, dans le jardin d’Eden, à cause du péché, sont tombés dans une terrible angoisse.
Leur première réaction fut de s’être trouvée nus et d’avoir peur de Dieu.
Mais leur peur a trahi leur état, car on n’a pas peur de quelqu’un qui nous protège.
Alors, Adam et Eve ont cherché à se protéger en se couvrant.

Mais en couvrant quoi ?

En cachant leurs organes sexuels, ce sont eux qui ont été les premiers visés. Ils ont eu honte de leur sexe. Une honte indescriptible.

La perversion sexuelle est née dans le jardin d’Eden. Il y a eu une séduction du serpent, celle d’un être animal vis-à-vis d’un être humain : Eve.

Eve a cherché à dissimuler le plus longtemps possible une relation illicite avec le serpent. (Attention un serpent qui n’avait pas du tout l’apparence de celui que nous connaissons aujourd’hui)

«  Elle conçut, et enfanta Caïn et elle dit: J'ai formé un homme avec l'aide de l'Eternel ».  Elle mentit car Dieu avait déjà rompu sa protection avec elle.

Eve a menti laissant entrer l’abomination en elle, ce côté animal du serpent, en pratiquant un acte  (il faut le dire) zoophile.

Ce qui me fait affirmer la chose suivante :

Que la perte de protection divine, la perte de son amour entraine inévitablement un problème lié au sexe.

En d’autres mots : tant que vous aurez des pensées accusatrices, ou un mal-être sur votre pratique sexuelle, vous ne serez pas protégé par Dieu.

Attention cela ne veut pas dire qu’il faille s’occuper d’abord de sa vie sexuelle, non c’est en premier : retrouver la protection de Dieu.  

L’oppression s’oppose toujours à la protection.

Donc si la protection a été chassée, vous aurez  la peur, l’angoisse, l’oppression à la place. Mais l’inverse est salutaire: Jésus-Christ chasse les démons d’oppression et répand la protection divine à la place.

On pourrait résumer tous les récits de la Bible avec ces deux mots : protection et oppression tellement leur résonnance est constante.

Alors, « cherchez le royaume de Dieu et tout vous sera donner par-dessus » Le Royaume de Dieu protège et, permet une sexualité accomplie et apaisée surtout.

Celles et ceux qui n’auront pas retrouvé la protection divine, se battront toujours avec le serpent du jardin d’Eden.
C’est leur impudicité, ils seront toujours à se battre avec la convoitise, la luxure, l’adultère, la fornication, la pédophilie, ou l’homosexualité. Ce sera toujours leur mode naturel d’oppression.

Mais je crois que l’absence de protection va encore plus loin sur terre.

La femme, comme conséquence à son acte de désobéissance, a été mordue au talon par le serpent. Ce qui veut dire que cette blessure et ce venin rattrapera toujours la femme et l’homme ; ce handicap les poursuivra toujours, il sera toujours derrière eux, empoisonnant leurs rapports humains.
Pour preuve, je crois que la grande majorité des troubles sexuels sont attisés et qu’ils prennent même des allures obsessionnelles à cause de traumatismes liés à l’enfance. 

Ces malheurs sont causés par un manque de protection ou une surprotection parentale.

Quels sont ces malheurs ?  

L’éloignement, physique ou affectif d’un des deux parents, ou des actes d’abandon, de la maltraitance ; à l’inverse , un décès d’un parent dont le lien affectif était si fort, qu’il liait ses enfants par un sentiment de possession démesuré,(c’est souvent le cas de la mère), des parents qui projettent sur leurs enfants un « moi idéal » qu’eux n’ont jamais atteint et qui  étouffe l’enfant et crée en lui des névroses…(ce désir fou : je veux que mon enfant soit mieux que moi, on rêve alors d’une perfection irréaliste)

Le trouble sexuel d’origine, lié à la rupture avec Dieu est par conséquent surdimensionné avec un problème parental. Ce problème fait alors l’effet d’un véritable démon.

Le démon met littéralement le feu dans un désordre affectif.

Je trouvais, il y a pas si longtemps que Freud, le père de la psychanalyse exagérait l’importance de la sexualité dans la nature humaine, en affirmant qu’elle était à l’origine de toutes nos névroses,  que les problèmes sexuelles était le nœud de tous les conflits de la vie psychique.

Je trouvais qu’il y allait plutôt fort avec sa notion de complexe d’Œdipe, ou avec le sentiment de castration chez l’homme.

Je sais aujourd’hui que j’avais tort et que la sexualité remonte à la genèse de nos maladies.

Mais que le point de départ c’est quand même et avant tout: la protection divine d’abord, puis celle de l’homme et de la femme ensuite.

Les homosexuels ont aussi ce problème de protection à la base, c’est évident.

Développons un peu:

La femme est une aide pour l’homme, dans le sens où l’homme peut exercer son instinct de protection auprès de sa femme (il a besoin de la protéger). La femme, elle, aime se sentir protégée par un homme et elle est elle-même protectrice envers ses enfants.

Tout est une affaire de protection, de chaîne de protection.

A la tête de cette chaine, il y a Dieu le Père, puis le père terrestre, la mère et enfin leurs enfants.
L’homosexualité nait à défaut de pouvoir rentrer dans cette chaine naturelle de protection.

Pourquoi ?

Parce que le scénario classique : s’est altérée ; et que beaucoup se sentent attirés en fait par des êtres du même sexe correspondant à l’image qu’ils se font de la protection.

Ils ont remplacé la réalité par une image (une idole).  
Une nouvelle image s’est formée devant eux manifestant des gens qu’ils vont pouvoir protéger ou cajoler, chouchouter (c’est un moyen très important pour expliquer l’attirance pour le même sexe).

S’il n’en trouve pas ou s’ils n’ont plus d’image, ils vont alors se réfugier sur d’autres êtres vivants, comme les animaux, par exemple.

Aujourd’hui de plus en plus de gens ne vivent qu’avec des animaux domestiques.
Ils sont devenus les seuls êtres leur permettant d’assouvir leur besoin de protection.
Or, quand le fil protecteur est rompu, quand la chaîne de protection se casse, il s’ensuit alors un vide et l’homosexualité comme d’autres déviances sexuelles vont servir alors à combler ce vide.

Alors bien-sûr à l’origine de ce problème, il y a très souvent les parents géniteurs.

Les parents n’ont pas pu ou pas réussit à transmettre correctement le lien de protection à leurs enfants qui vont alors se sentir comme angoissé à l’idée de perdre ce lien à nouveau dans leur vie.

Il peut aussi y a avoir un problème qui vient se surajouter comme celui des femmes devenues trop viriles, trop masculines et qui veulent protéger plutôt que d’être protégée, elles sont alors trop entreprenantes et décideurs dans le sens où elles empêchent l’homme d’exercer son rôle protecteur, elles l’inhibent donc dans cette fonction naturelle.

Enfin, il peut y avoir et c’est une cause très répandue aussi, des pulsions sexuelles exacerbée par la drogue ou par une sexualité libérée, donnant lieu à une recherche effrénée de plaisirs sexuels. Ce sont les fameux phantasmes sexuels de « l’homme animal ».

Ces phénomènes sont complexes, car ils se combinent  bien souvent ensemble. Mais force est de constater que dans une société dégénérée comme la nôtre, où le couple n’est plus à sa place, où les femmes et les hommes non plus ; bref, puisque tout le monde n’est plus dans une relation « naturelle » de protection, eh bien ce n’est pas étonnant que cela se traduisent par un taux d’homosexualité en hausse, et que toutes les déviances sexuelles prolifèrent de manière exponentielle.

Le péché : c’est une fausse intention, (nous l’avons vu).

Pécher de l’hébreu Chattah [khat-taw-aw’] « c’est manquer le but, se perdre, s’égarer ».
En se séparant de la protection divine, nous avons tous péché en manquant ce but.
Là aussi, le péché détruit la relation normale et équilibré des êtres humains entre eux et il provoque l’excès d’homosexualité.

Cette déviance sexuelle est provoquée par le péché. Ce n’est pas l’inverse. L’homosexualité n’est pas le péché en lui-même (puisque le péché : c’est manqué le but). Mais c’est un des fruits du péché chez l’homme.

Maintenant dire que les comportements homosexuels ou déviants sexuels ne sont pas naturels, là aussi, c’est faux.

Tout existe dans la nature.

Bien-sûr que l’homosexualité existe dans le règne animal. Mais il n’est pas péché pour lui, car l’animal est soumis à des règles naturelles (reliées à son instinct), alors que l’homme doit l’être à Dieu. 

N’importe quel éthologue (spécialiste des animaux) aujourd’hui vous dira que ces pratiques sexuelles existent et qu’ils ont été observés dans plus de 450 espèces de vertébrés, et ils ont des rapports sexuels et érotiques très divers et variés.
Leur intention ne cache rien, Ils ne recherchent que le plaisir, ou l’apaisement des tensions provoquées par l’excitation. Ils ne veulent qu’assouvir un besoin naturel.

(ce besoin c’est celui que l’on retrouve bien-sûr chez l’homme déchu, l’homme animal qui ne cherche qu’à assouvir ses pulsions).

Lorsque les hormones sexuelles sont à leurs apogées de sécrétion, bref quand l’animal est en rut, tous les sens de l’animal sont en effervescence pour qu’il trouve un objet de plaisir et d’apaisement. Et le rapport peut être masturbatoire, hétérosexuel ou homosexuel et même inter espèces.

Alors oui ce phénomène est contre nature. (Pas « contre-nature » animal mais « contre-nature » humaine, car l’homme est fait à la ressemblance de Dieu et son projet est différent du projet de l’animal).

C’est vrai que l’homme « est semé corps animal, mais (le projet c’est qu’il) ressuscite corps spirituel » (1Corinthiens 15 :44)

L’animal et le spirituel ne peuvent pas cohabiter dans un même corps. On ne peut pas se dire : je suis homosexuel mais j’aime Dieu. C’est se mentir à soi-même. L’un inévitablement bannit l’autre.

Cette pulsion sexuelle a été semée et provient de la relation avec le serpent, l’animal le plus rusé des champs.

Jude aussi parle de cette relation Jude 1 : 18-19 «  il y aurait des moqueurs marchant selon leur convoitise impies, ce sont ceux qui provoquent des divisions, hommes sensuels, n'ayant pas l'esprit. » dans les versets bibliques, on aurait dû employer « hommes animal » plutôt que « hommes sensuels », le mot grec que l’on retrouve dans de nombreux versets est psuchikos [ psoo-khee-kos]  qui signifie animal, principe de la vie animale.

Donc la convoitise provoque des divisions par l’homme animal n’ayant pas l’esprit de Dieu en lui.
Il n’y a que la protection divine retrouvée qui permet d’éliminer l’homme animal qu’il y a en soi, et de retrouver le véritable amour bienveillant, du grec agapè, celui de notre Père céleste.

Paul le cite dans la lettre aux Corinthiens encore : « l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. »

Alors maintenant que l’explication est faite et que la boucle est bouclée : Revenons au jugement.

Dieu est venu pour un jugement, c’est-à-dire qu’il souhaite que nous ouvrions les yeux sur notre réalité.

Les questions que chacun doit se poser se résument dans :

1.     Sommes-nous inquiets ?

2.     Avons-nous peur que nos pratiques sexuelles soient dévoilées ?

3.     Pourquoi attachons-nous autant d’importance et d’amour à certains humains, à certains êtres vivants, à certains animaux ?

4.     En cachant nos réelles intentions, et ce que nous convoitons, n’avons-nous pas perdu notre protection divine?

Lisons Genèse 3 : 15 : « Je mettrai inimitié entre toi (le serpent) et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. »

Ecraser la tête du serpent, c’est ce que fera Eve et sa descendance, pour retrouver une nouvelle descendance, autre que celle du serpent.
C’est de cette manière qu’elle retrouvera la protection divine et qu’elle trouvera le salut.

Concrètement, écraser la tête du serpent, c’est crier à Dieu sa détresse puis reconnaître ses fautes et se séparer d’elles. C’est cela mettre inimitié entre la race du serpent et la race de l’esprit de Dieu (l’inimitié, ce n’est pas un écart, c’est un fossé entre les deux).
Jésus est venu nous sauver du serpent (c’est-à-dire : de l’homme animal) et nous rendre la protection du Père.

Concrètement quelle est la protection de Dieu pour nous ?

Les armes d’Ephésiens 6 : la cuirasse de la justice, le casque du salut et le bouclier de la foi. La Justice, le Salut, et la foi voilà ce qui nous protège.

1 Samuel 12:18 : « Samuel invoqua l’Eternel, et l’Eternel envoya ce même jour du tonnerre et de la pluie. Tout le peuple eut une grande crainte de l’Eternel et de Samuel ».

Les tonnerres de Dieu se manifestent aujourd’hui (autour de nous et en nous). Le tonnerre gronde pour nous faire peur, mais aussi pour nous avertir qu’il va falloir nous protéger, si nous ne sommes pas à l’abri. 

Ces moments, sont des mains tendues de Dieu faits pour que nous réalisions notre solitude et cette fausse croyance de s’être imaginer protéger par le ciel. Une grande crainte doit s’emparer de chacun de nous pour que nous invoquions notre Dieu, pour que nous recherchions intérieurement sa protection, car c’est lui et lui seul notre abri. Et cet abri n’est pas à l’extérieur, il est en nous, là où doit résider son temple.

Amen

2 commentaires:

  1. Tous les passages que vous indiquez parlent de rapports sexuels. A aucun moment il est indiqué que d'aimer ou être en couple avec un homme est un péché. Ce sont des passages de la bible qui correspondent à des moments de l'histoire et à leurs contextes et non pas à notre quotidien actuel.
    Autre erreur de votre part, les scientifiques ont mis aussi en lumière que certains animaux de même sexe était en couple alors qu'il y avait des femelles disponibles dans leur environnement. Ils avaient des comportements amoureux et restaient en couple jusqu'à la fin de leurs vies. Cela montre bien le caractère naturel de l'homosexualité. Ce serait bien de faire un travail de recherche complet s'il vous plait et non biaisé.

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    1. "Tous les passages que vous indiquez parlent de rapports sexuels. A aucun moment il est indiqué que d'aimer ou être en couple avec un homme est un péché. Ce sont des passages de la bible qui correspondent à des moments de l'histoire et à leurs contextes et non pas à notre quotidien actuel." Ainsi vous pensez que Dieu qui a clairement condamné l'homosexualité comme un péché aurait évolué ? 🤔 De plus, vous confondez Homosexualité (relations sexuelles avec une personne du même sexe) et amitié ou philanthropie .... Aimer quelqu'un du même sexe ne nécessite pas forcément avoir des relations sexuelles avec (David/Jonathan ou Jésus/Jean)... être en couple sans relations sexuelles ou autres actes sensuels expressifs (bisous, câlins...), ça s'appelle au mieux de la très forte amitié, mais pas de l'homosexualité. Navré d'insister mais on ne chercher pas d'excuses pour pratiquer un péché en travestissement la pensée de Dieu. Merci. Bien cordialement.

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