Par Eric Ruiz
La cène, (du latin cena) est la traduction du repas du soir ou du dîner du Seigneur. Elle doit être prise en discernant son sens profond.
La cène, (du latin cena) est la traduction du repas du soir ou du dîner du Seigneur. Elle doit être prise en discernant son sens profond.
Il faut la prendre dignement ; non pas comme un repas
ordinaire et non pas avec légèreté.
Discerner, c'est littéralement : percevoir quelque chose plus nettement, par un effort d'attention.
C'est aussi percevoir autrement que par la vue. C'est séparer dans le sens de discriminer. Séparer ce qui est vrai du faux, ce qui est bon de ce qui est mauvais, ce qui est juste de ce qui ne l'est pas.
Paul dit que chacun doit s'examiner et se juger soi-même, (1Corinthiens11:28) ; Afin de ne pas prendre un jugement contre soi même. Si l'on se juge indigne de le prendre, alors il vaut mieux se mettre en ordre auparavant.
Quoi discerner dans le corps ?
Le repas du Seigneur doit être pris en discernant le corps de Christ.
Paul reproche aux Corinthiens de ne rien discerner et c'est ce manque qui leur rapporte un jugement contre eux-mêmes.
Discerner, pris dans ce sens, signifie que nous devons voir Christ comme la tête.
Discerner, c'est littéralement : percevoir quelque chose plus nettement, par un effort d'attention.
C'est aussi percevoir autrement que par la vue. C'est séparer dans le sens de discriminer. Séparer ce qui est vrai du faux, ce qui est bon de ce qui est mauvais, ce qui est juste de ce qui ne l'est pas.
Paul dit que chacun doit s'examiner et se juger soi-même, (1Corinthiens11:28) ; Afin de ne pas prendre un jugement contre soi même. Si l'on se juge indigne de le prendre, alors il vaut mieux se mettre en ordre auparavant.
Quoi discerner dans le corps ?
Le repas du Seigneur doit être pris en discernant le corps de Christ.
Paul reproche aux Corinthiens de ne rien discerner et c'est ce manque qui leur rapporte un jugement contre eux-mêmes.
Discerner, pris dans ce sens, signifie que nous devons voir Christ comme la tête.
Christ est la seule tête de notre corps, régnante sur nos vies
respectives et il est la seule tête chef de l'église.
Le prédicateur, le ministre de l'évangile n'est pas la tête, il
est comme chacun : un des membres du corps.
Attention, ce membre est en position de faiblesse, surtout s’il est seul, surtout s’il s’est placé ou si le groupe l’a placé en situation d’autorité.
Attention, ce membre est en position de faiblesse, surtout s’il est seul, surtout s’il s’est placé ou si le groupe l’a placé en situation d’autorité.
Car il peut à tout moment vouloir être autre chose.
C'est la chair qui est faible et qui est une proie facile pour les
démons.
L'orgueil est une porte qui s'ouvre et les démons n'hésitent pas à
s'y engouffrer.
Le démon "Nicolaïte" (qui sévit dans l’église Éphèse)
rentre avec une œuvre (le produit d’un travail) qui se transforme rapidement
en nouvelle doctrine.
Ce démon fait briller celui qui le reçoit dans un premier temps.
Il le met en lumière pour qu'il force l'admiration et provoque l'idolâtrie.
Dans un deuxième temps, il va contrôler et enchaîner le corps de
Christ en l'asservissant à lui.
C'est pourquoi Jésus insiste tant pendant son dernier repas, sur
le fait que celui qui est le plus grand, est le plus humble parmi vous et c'est
celui qui vous sert.
Examinez-vous dit Paul, pour voir si vous êtes dans l'orgueil au point de vous prendre pour le Seigneur et si vous voyez les autres croyants comme plus petits que vous. Examinez-vous aussi pour voir si vous n'idolâtrez pas une personne en la plaçant trop haut, prenant la place du Seigneur.
C'est là, qu'il faut redoubler de vigilance et de clairvoyance.
Aucune influence étrangère ne doit rentrer dans le corps, ni aucune hiérarchie, mise à part celle de Jésus-Christ le fils de Dieu.
Les institutions religieuses sont le plus souvent organisées selon un modèle pyramidale à sens unique. La tête est usurpée par un évêque, un pasteur, un prêtre, un abbé, un apôtre, un révérend. Bref, cette forme d'organisation autocratique est babylonienne. Elle entraîne inévitablement un corps de Christ brisé et ligoté. La tête (Jésus-Christ) est coupée, sans relation avec son corps.
Se nourrir de connaissance, mais laquelle ?
Examinez-vous dit Paul, pour voir si vous êtes dans l'orgueil au point de vous prendre pour le Seigneur et si vous voyez les autres croyants comme plus petits que vous. Examinez-vous aussi pour voir si vous n'idolâtrez pas une personne en la plaçant trop haut, prenant la place du Seigneur.
C'est là, qu'il faut redoubler de vigilance et de clairvoyance.
Aucune influence étrangère ne doit rentrer dans le corps, ni aucune hiérarchie, mise à part celle de Jésus-Christ le fils de Dieu.
Les institutions religieuses sont le plus souvent organisées selon un modèle pyramidale à sens unique. La tête est usurpée par un évêque, un pasteur, un prêtre, un abbé, un apôtre, un révérend. Bref, cette forme d'organisation autocratique est babylonienne. Elle entraîne inévitablement un corps de Christ brisé et ligoté. La tête (Jésus-Christ) est coupée, sans relation avec son corps.
Se nourrir de connaissance, mais laquelle ?
La nourriture c'est la connaissance. La connaissance solide est celle qui provient du Saint-Esprit.
Nous ne devons manger que de sa chair (Jean 6:54). Cela signifie recevoir notre nourriture spirituelle, notre connaissance, que du Saint-Esprit seul et éprouver tout ce qui vient de l'extérieur, avant de le manger et donc de l'accepter.
C'est cela la signification profonde du "sang de l'alliance" de Matthieu 26:28.
Si nous mangeons d'autres aliments, nous rompons cette alliance et
nos péchés ne sont plus couverts, ils ne pourront plus être remis, car nous ne
sommes plus alors sous ce sang qui nous purifie de tous péchés.
Nous avons pour cela, à bannir l'adultère, à bannir la fornication spirituelle autour de nous.
Si à votre insu, il vous arrive d’avoir pris de la connaissance impure, n’oubliez pas que ce n’est pas ce qui rentre en vous qui est impur, mais ce qui en sort (Matthieu 15 :11). En d’autres termes : si vous ne basez pas votre croyance, votre foi sur cette nourriture, elle ne vous fera rien de mal. Le sang, vous purifie alors de tout ce qui aurait pu rentrer en vous d'impur et de souillé.
Nous avons pour cela, à bannir l'adultère, à bannir la fornication spirituelle autour de nous.
Si à votre insu, il vous arrive d’avoir pris de la connaissance impure, n’oubliez pas que ce n’est pas ce qui rentre en vous qui est impur, mais ce qui en sort (Matthieu 15 :11). En d’autres termes : si vous ne basez pas votre croyance, votre foi sur cette nourriture, elle ne vous fera rien de mal. Le sang, vous purifie alors de tout ce qui aurait pu rentrer en vous d'impur et de souillé.
Par contre, soyez intransigeant et impartial. Débarrassez-vous en,
car si elle vous procure du plaisir, une satisfaction même intellectuelle, cela
devient de la fornication.
Les 5 discernements du corps
1-Discerner le corps : c’est supprimer toute forme de hiérarchie et n’accepter
que Jésus-Christ comme seul autorité.
2-Discerner le corps : c'est aussi voir ses frères et sœurs au même niveau que
soi-même. Personne n'a plus d'importance qu'une autre. Nous formons tous les
membres d'un seul corps. Comme le soulignait si fortement Paul dans son épître aux
Corinthiens : "Vous êtes le corps de Christ, et vous êtes
ses membres, chacun pour sa part. " (1 Corinthiens
12 :27).
C’est celui qui est le plus faible d’entre
vous qui doit être le plus honoré et qui demande le plus d’attention de votre
part.
3-Discerner le corps: c'est accepter d'être repris dans l'amour par n'importe quel
autre membre du corps.
4-Discerner le corps : c'est aimer ses frères et sœurs comme Christ nous a aimé,
celui qui hait son frère est un meurtrier, la réconciliation est une relation
normale et redonne au corps sa fonction et sa vigueur.
5-Discerner le corps: c'est respecter les fonctions et les responsabilités de
chacun.
(Apôtre, prophète, pasteur, évangéliste, docteur), c'est reconnaître les
anciens (non des jeunes qui pourraient tomber dans l'orgueil) comme des conducteurs.
Le rite et le symbole
La "Sainte-Cène" n’est pas un rite, mais c’est le fait
de vivre en discernant le corps du Seigneur qui est la vraie sainteté.
Croire que le symbole représente une valeur sainte, revient à
croire que la coupe et le plat sont des ustensiles de cuisine sanctifiée par l’usage
religieux.
C’est choquant et c’est un affront fait à Dieu.
C'est comme si on assimilait le drapeau français, à la France,
alors qu’il n’est qu’un symbole. Porter le drapeau ne signifie en rien que l’on
est français.
Aussi, il est plus juste de dire : Prenons "le repas du Seigneur", que prenons
la "Sainte-Cène".
La Cène, pris comme un rite, est une mise en garde perpétuelle.
Nous avons comme beaucoup de croyants, jusqu'à ce jour, pris le
repas du Seigneur en étant aveuglé, sans discerner son corps.
Maintenant nous voyons clair. Dieu ne tient pas compte du temps
d'ignorance.
Le rite est la, pour nous rappeler qu'il faut sans cesse avoir les
cinq discernements du corps de notre
Seigneur, dans tout ce que nous faisons.
Ce rite n'a qu'un pouvoir : celui de se rappeler, de se souvenir ;
c'est une mise en garde perpétuelle. Ce rite n’a aucun pouvoir purificateur ou
préjudiciable. Il n’y a aucune malédiction ou bénédiction qui lui est associée.
Par contre, celui qui ne discerne pas le corps mais qui, par
hypocrisie, par calcul, ou par lâcheté préfère la passivité, la tiédeur, subira
les mêmes conséquences que celles attachées aux faux prophètes, aux faux
docteurs, aux faux apôtres, qui brisent le corps du Christ.
Quand prendre la Cène du Seigneur ?
En fait, Jésus a pris ce repas le soir de la Pâque juive. Mais il n'y a aucune obligation sous la grâce. Le souper du Seigneur doit être pris lorsque les croyants se retrouvent assemblés ; et surtout pour rappeler ce qu'est le corps de Christ parmi eux ; et renouveler l'alliance faite en son sang.
S'il n'y a pas une prise de conscience véritable et générale, ce symbole ne sert à rien.
S’examiner soi-même en même temps que le corps, donne toute la
signification au rite.
Peut-on refuser de la prendre ?
Peut-on refuser de la prendre ?
Le fait de refuser le repas du Seigneur, se fait lorsque dans une
assemblée, on n'y discerne plus le corps de Christ. Si vous constatez de
l'idolâtrie, un jugement sur les croyants, une autorité abusive mettant des
liens, ou une soumission injuste, Alors abstenez-vous de prendre le repas du
Seigneur avec cette assemblée.
On ne peut communier avec ceux qui ont des dieux étrangers et une
fausse nourriture. Le seigneur n’a pas communié avec Judas. Ne communiez pas
avec ceux que vous discerner comme traîtres qui ont rompu l’alliance
faite avec son sang.
La nouvelle Cène
C’est la raison principale, pour expliquer qu’aujourd’hui, le
Seigneur ne communie plus dans les églises. Il a été mis dehors. Il va maintenant au domicile des
croyants pour souper avec ceux qui lui ouvrent leur porte (Apocalypse 3 :
20).
La Cène familiale, est significative du dernier réveil de l’église. Elle n’aura plus lieu dans les églises, car aucune dénomination ne
discerne plus le corps du Seigneur.
Nous sommes dans l’ultime jugement de l’église.
Ce temps est suffisamment solennel et sérieux pour se garder de toute occasion de chute.
Nous sommes dans l’ultime jugement de l’église.
Ce temps est suffisamment solennel et sérieux pour se garder de toute occasion de chute.
L’unique
référence du croyant
La Bible EST LA SEULE REFERENCE POUR UN CHRETIEN.
Toutes connaissances QUI RAJOUTE, ENLEVE ou INTERPRETE faussement les Ecritures Saintes est à détruire (méfiez-vous des commentaires bibliques).
TOUTE PAROLE est confirmée par l’ECRITURE.
Les LIVRES APOCRYPHES doivent restés cachés pour vous. Les
évangiles autres que ceux de Matthieu, Marc, Luc et Jean sont à bannir de vos
lectures. La pensée positive, les livres théologiques, les ouvrages de
psychologie appliquée ou moralisateurs sont à proscrire complètement.
La Parole se suffit à elle seule avec l'aide du Saint-Esprit.
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