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Par Eric Ruiz
Je vous avais parlé de l’identité que vous devez connaître : votre
propre identité en Christ. Etes-vous comme l’améthyste ? Avez-vous
l’intégrité, la transparence cristalline de cette perle ? Ou alors,
avez-vous une pierre grise et opaque dans la main qui vous permet de lapider,
de détruire des œuvres que vous voyez mauvaises chez les autres ?
La pierre comme la porte que vous voulez ouvrir montre qui vous êtes.
Daniel 9 : 26 «… Le peuple d'un chef
qui viendra, détruira la ville et le sanctuaire, et sa fin arrivera comme par
une inondation; il est arrêté que les dévastations dureront jusqu'au terme de
la guerre ».
« Le
peuple d’un chef » est traduit aussi par « le peuple d’un prince ».
Ici, nous avons toujours à faire à un homme
oint, mais bien différent du premier (je le rappelle le oint conducteur du
verset 25 c’est un presbuteros, un évêque un des 24 anciens devant le trône de
Dieu).
Celui-là au verset 26, se prend pour un chef,
un prince, un dieu.
C’est un dévastateur, un imposteur qui
rassemble autour de lui, parce qu’il aime briller ; il est lumière
(porteur de lumière = Lucifer) et il attire à lui une multitude de
croyants.
Alors, pensant faire une œuvre de justice, il
détruit le sanctuaire. Il ôte ce qui est saint et il lapide ceux qui se mettent
en travers de sa route.
Voilà l’illustration expliquant pourquoi
Jérusalem est laissée déserte ; pourquoi les prophètes sont chassés,
retranchés et que l’Esprit-saint laisse Jérusalem, sa maison, vide.
« Jérusalem,
Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés »
dit Jésus dans Matthieu.
Donc cette guerre, attention, ne se fait pas
par des païens mais par des soi-disant croyants qui s’illusionnent sur leur
identité.
Le meilleur exemple biblique : C’est
Balaam.
Balaam, homme fourbe aimant l’argent et les
honneurs, faisait la guerre à Moïse, mais craignant le Dieu d’Israël, il ne
voulait pas le maudire en face. L’attaquer par les armes se serait aller droit
dans le mur.
Non, le fils de Béor préférait agir plutôt
caché en touchant à la sainteté de son peuple.
Il pervertissait les femmes israélites, en
les poussant vers les Moabites.
II suffisait juste de leur prêcher un faux
évangile : que les Moabites aiment le même dieu et qu’ils sont, en fait,
des frères.
En poussant les israélites à l’adultère, à la
fornication, il perçait de cette façon les murailles de la ville.
Les murailles de Jérusalem: elles
représentent l’intégrité du peuple.
En touchant à la sainteté du peuple, la
muraille, les moabites affaiblissaient, par conséquent, Moïse. Ils le mettaient
même en danger de mort, puisqu’ils poussaient son peuple à la désobéissance et
à la rébellion envers lui.
Voilà comment s’y prend l’ennemi, « Le peuple d'un chef qui viendra, détruira la
ville et le sanctuaire ».
Pourtant, celui qui détruit est oint lui
aussi, il était messie. Mais un messie devenu destructeur, et il porte bien son
nom : Balaam : « qui détruit le temple, qui avale ».
Son aspect démoniaque grandissait jour après
jour, puisqu’après avoir désobéit à Dieu, résisté à sa voix en frappant son
ânesse (quelle fausse humilité et voilà aussi comment sont traités tous ceux
qui se mettent en travers de leur chemin), il devenait de plus en plus
religieux, multipliant les faux autels, les faux sanctuaires partout, en y
brûlant des sacrifices de mauvaises odeurs.
Ce persécuteur ne s’arrêta que lorsque Dieu
envoya l’armée de Moïse pour mettre fin à la guerre avec les Moabites et que
Balaam lui-même fut tué.
Donc, Balaam et les Moabites, faisaient
office déjà de chef et de peuple destructeur.
Mais disons-le, Balaam fut au bout du compte un juge pour tout ce peuple sorti d’Egypte,
afin que la frontière soit nette entre ceux qui se sanctifient davantage et
ceux qui se souillent : la malédiction pour certains fut changé en
bénédiction (Néhémie 13 :2).
La preuve étant : que Moïse pu faire le
recensement complet de la génération qui allait entrer en Canaan avec Josué.
Ceux qui ont suivi la voie de Balaam, ont
tous été exterminés ; de même ceux qui ont ensuite découragés le peuple à
continuer sa marche vers Canaan aussi, tout comme ceux auparavant qui avaient suivi
Korè dans sa rébellion. C’est pourquoi, il ne restera que Josué et Caleb de la
génération qui est sortie d’Egypte.
Je reprends la fin du verset 26 :« il est arrêté que les
dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre ».
Un croyant doit bien comprendre le sens de ce
verset, afin de ne pas contrecarrer les plans de Dieu.
Lutter contre le dévastateur ou lutter contre
la dévastation, en priant par exemple
-qu’une épidémie s’arrête,
-qu’une crise économique ne se propage pas,
-qu’une Eglise soit protégée,
-qu’un faux oint soit démasqué ;
Tous ces combats sont une manière de refuser
que se creuse les fondations de la nouvelle cité.
Les
fondations : c’est l’Eglise persécutée. « Heureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira
faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi, Réjouissez-vous et soyez dans l'allégresse,
parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c'est ainsi qu'on a
persécuté les prophètes qui ont été avant vous. » (Matthieu 5 :11-12).
Il faut à
tout prix que ces dévastations et que cette guerre aillent au bout d’elle-même ;
que ces imposteurs puissent aller au bout de ce qu’ils ont conçu et prévu dans
le péché, c’est très important. Il en va de la création même de
la nouvelle Eglise
Le verset 26 du neuvième chapitre de Daniel, insiste sur
l’aboutissement de cette guerre qui doit aller au bout de la destruction.
C’est exactement le sens de ce que dit Paul aux
Romains : « Là où le péché a
abondé, la grâce a surabondé ».
Comme je l’ai dit, un peu avant :
l’antichrist n’est pas un être unique dans chaque génération. Et ici, c’est
encore le même esprit qui agit.
L’esprit de Balaam inspire un antichrist
parmi d’autres à conduire un peuple, parmi d’autres, vers l’iniquité, la
destruction.
Que cet antéchrist soit évangélique,
protestant, mormon, catholique, orthodoxe, juif ou sans étiquette, sans nom de
religion, peu importe :
C’est
un antéchrist comme un antichrist.
Aucune différence, car ils se sont multipliés
pour venir détruire, mais pour que le nouveau temple soit construit. Ils sont "anté-christ" parce qu’ils viennent avant
et avec un peuple pour détruire le sanctuaire.
Zorobabel avait reçu la fonction de
reconstruire le deuxième temple de Jérusalem.
Et l’ange qui s’adresse à Zorobabel, nous
montre exactement comment Dieu s’y prend avec les antéchrist (c’est toujours
surprenant):
« …Ce
n'est ni par la puissance ni par la force, mais c'est par mon esprit, dit
l'Eternel des armées. Qui es-tu, grande montagne, devant Zorobabel? Tu seras
aplanie. Il posera la pierre principale au milieu des acclamations: Grâce,
grâce pour elle! » (Zacharie
4 :6-7)
Aussi grande et aussi haute que puisse être cette montagne, ce prince destructeur : il sera aplani, il sera mis à terre ; et cela n’empêchera pas le oint (presbuteros) de poser la pierre principale :Christ en nous (comme Zorobabel l’a fait avec l’Eternel des armées).
Car au final à la fin de la guerre, c’est
Christ qui célébrera le nouveau temple avec ses élus, comme il l’a fait avec
Zorobabel « Les
mains de Zorobabel ont fondé cette maison, et ses mains l'achèveront; et tu
sauras que l'Eternel des armées m'a envoyé vers vous ».
David et Saül sont
un type des 70 semaines de Daniel
Maintenant, il faut bien comprendre qu’Israël
et l’Eglise c’est la même chose ; Israël est l’ombre des choses à venir
comme nous dit Paul pour la loi Mosaïque.
Donc, l’histoire d’Israël suit de près et met
en lumière l’histoire de l’Eglise, comme l’inverse aussi.
Saül, premier roi d’Israël est l’Israël-Eglise
qui détruit le temple; Et David, deuxième roi d’Israël, c’est l’Israël-Eglise
qui rebâti le temple (ou plus simplement : nous avons l’antéchrist et
christ).
Saül, sans aucun doute, possède l’esprit de
Balaam.
Et la destruction s’est accélérée quand David
a été oint par le prophète Samuel.
Quand David reçoit l’onction, Saül perd le
sien, mais il continue à diriger en tant que roi d’Israël ; on dirait que
rien n’a changé dans les faits, mais attention, c’est en apparence seulement.
Saül perd sa relation avec Dieu.
Il n’a plus de prophète (Samuel ne le verra
plus) et plus d’inspiration divine.
Les 70 semaines de Daniel nous montre par
conséquent : Christ et antéchrist présents, en simultanés vivant dans la
même génération.
Le oint conducteur, l’évêque prend sa
fonction alors que le destructeur n’est pas encore déchu de ses droits (c’est
fait au ciel, mais pas encore sur terre), et le oint, le messie ne s’oppose jamais
au destructeur.
David, vous pouvez le constater en lisant son
histoire, aplanit la montagne (Saül) sans devoir le combattre, sans être obligé
d’utiliser la force et la puissance ; c’est de cette même manière que Dieu
à parler à Zorobabel.
Le prophète Samuel, fait comme Jésus, il
annonce la destruction et la reconstruction d’un temple en 70 heures ; (1
Samuel 15 :28) « L’Eternel
déchire aujourd’hui de dessus toi la royauté d’Israël et la donne à un autre
qui est meilleur que toi ».
Toujours dans la chronologie des événements, Samuel
reçoit alors l’ordre de Dieu de se rendre à Bethléem chez Isaïe.
Et Dieu l’inspire à y partager un
sacrifice ; un jeune bœuf.
Nous savons par la loi que c’est au huitième
jour que le sacrifice a lieu, après sept jours de consécration ; tout
comme la circoncision de la chair avait lieu au huitième jour, après 7 jours de
préparation. La grâce, elle aussi vient après 7 jours de repentance.
Il y a
toujours ce chiffre 7 qui sépare l’annonce d’une onction avec sa confirmation.
Dans 1 Samuel 16 :10, nous apprenons que
Samuel, après avoir passé en revue les 7 frères de David désespère de trouver
le oint de l’Eternel.
Vous voyez, 7 frères comme 7 semaines, avant
d’oindre David le huitième frère, le plus petit, celui auquel personne ne
s’attendait, jeune, chétif, blondinet, berger, rien qui ferait penser à l’élu
de Dieu.
Samuel, dès son arrivée, d’ailleurs, a les
yeux sur un autre que lui dans la fratrie : Eliab, l’aîné, qui est
très impressionnant par sa carrure et sa taille.
Combien de croyants font en majorité la même
erreur, puisqu’ils idolâtrent Jésus de Nazareth, et qu’ils attendent son retour
en chair et en gloire, alors que les clés du royaume sont données…et elles sont
données à un autre, à celui qui contestera le sacrifice de la croix, celui qui
le reniera trois fois, et qui prendra l’épée contre les romains, ne voyant pas
à ce moment-là la destinée universelle de Jésus, qui va l’affranchir et le
placer dans sa position grâce à la croix, lui-aussi.
Alors, contre toute attente, Dieu choisit
David, un enfant ; et c’est quand David fut oint qu’il manifesta l’esprit
de Dieu et qu’il alla affronter le terrifiant philistin Goliath.
A partir du moment où l’onction est sur
David, Dieu n’est plus avec Saül, qui est alors animé d’un mauvais esprit :
c’est une corne de la bête (cet esprit qui chasse les prophètes). Il est alors rendu
comme fou, par une jalousie démesurée et sans limite envers le nouvel élu.
Il le
pourchasse alors à mort ; c’est à ce moment-là que les fondations de la
nouvelle Israël commencent à être creusées.
Saül le persécuteur et David persécuté à mort,
creusent ensemble les fondations de la nouvelle assemblée. Et je le crois
profondément, le fils d’Isaï est retranché pour cela.
L’alliance qu’il reçoit de Dieu le fait
passer par ce creuset.
Il apprend l’humilité en passant pour un
lâche et un fuyard aux yeux des hommes de Saül ; car Saül devait bien se
moquer de David, lui le grand vainqueur de Goliath, le voilà maintenant à fuir
et à se cacher jusqu’en territoire philistins.
Pour Saül ce genre de comportement est
pitoyable et indigne d’un oint qui devrait défendre son honneur et son
territoire comme lui le fait.
David se retrouve exilé à Tsiklag chez les
Philistins lui et sa famille et six cents combattants avec leur famille,
dispersés avec lui, dans le territoire de l’ennemi.
Mais Tsiklag, par la suite deviendra une
ville de Juda. Elle ralliera la cause de David. On nous dit aussi dans 1 Samuel
27 :7 que David restera 70 semaines (1 an et 4 mois) chez les Philistins.
Donc,« les
dévastations dureront jusqu'au terme de la guerre » (jusqu’à la fin des 70 semaines).
Cette fin de guerre, sonne la mort de Saül, et
le départ de David pour Israël, qui n’aura pas pris part au combat final, ni en
faveur d’Israël, ni pour les Philistins.
Le roi des philistins, Akish, le voyant comme
un ange de Dieu, et se comportant lui-même comme un ange protecteur refusera
qu’il prenne les armes. David et ses combattants resteront toujours en retrait,
sans combattre.
Ce récit est important pour nous, car,
d’abord, si nous nous sommes sanctifiés au préalablement, nous n’aurons jamais
à prendre part à une cause injuste;
Ensuite, l’exemple de David est la voie à
suivre en période de tribulation et de persécution ; et si nous sommes cachés,
mis à l’écart en petit nombre, c’est sans doute Dieu qui le fait pour nous
édifier.
Je vous raconte toute cette histoire parce
qu’elle suit parfaitement la trame des 70 semaines de Daniel. C’est une même
trame qui se répète, car il n’y a rien de nouveau sous le soleil.
Pourquoi ces exemples sont-ils si
importants ? Et cette trame à quoi nous sert-elle réellement?
A voir en premier, que nous apprenons
l’humilité et la dépendance à Dieu, en exil, en passant pour un lâche, un
fuyard aux yeux de ceux qui nous persécutent.
Mais aussi afin que nous évaluons nos
choix : de quel côté nous trouvons nous ?
Dieu fait en sorte que les deux oints (le
vrai et le déchu, christ et antichrist) restent en activité pour un but :afin
que nos choix reflètent ce qui nous tient à cœur.
Chacun se juge alors par ses choix.
Un des derniers versets de la Bible
dit :
« Que
celui qui est injuste soit encore injuste, que celui qui est souillé se souille
encore; et que le juste pratique encore la justice, et que celui qui est saint
se sanctifie encore.
Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi » (Apocalypse 22 :11-12)
Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi » (Apocalypse 22 :11-12)
Maintenant nous savons quelle est la
rétribution pour ceux qui suivent la voie de Balaam.
Sommes-nous derrière le destructeur du temple?
Avons-nous à cœur de suivre un peuple
hautain, sûr de son élection, se moquant et méprisant les choix des autres
croyants, cherchant le nombre, cherchant la gloire, recherchant la bénédiction ?
Ou bien, avons-nous à cœur de suivre, ceux
qui sont à genoux, dans l’humilité, dispersés, critiqués, calomniés, méprisés
et emmenés loin des assemblés, mais unis par le même esprit, non revanchard ?
Il n’y a pas trois possibilités, mais
seulement deux.
Il n’y a toujours eu que deux possibilités.
Je sais que beaucoup s’inventent une troisième voie pour fuir leur
responsabilité ; mais cette troisième voie : c’est encore celle du
destructeur, celle de Balaam, elle est tortueuse.
Pour reprendre mon message précédent : Avons-nous dans les mains
des pierres pour lapider, ou une pierre précieuse servant à la porte de la
nouvelle Eglise, de la nouvelle Jérusalem ?
Car ici, Daniel au chapitre 9 a la même
vision que celle de Jean dans Apocalypse 21 ;
Jean voit descendre du ciel une nouvelle
cité, « la nouvelle Jérusalem,
préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux » ;
Daniel, lui, voit que Jérusalem sera rebâtie,
et que le saint des saints sera oint.
Les deux visions concordent parfaitement à ce
niveau.
Ce qui est fait au ciel et ce qui vient d’en
haut se réalisent sur terre.
Et même plus ; toujours dans Apocalypse
21 : le tabernacle de Dieu habitera parmi les hommes. Mais il n’habite pas
au milieu d’un peuple qui se croit sanctifié, qui se croit en vie, qui
s’illusionne sur sa condition (qui continue à se souiller pensant être saint).
L’esprit souffle d’abord sur des ossements
morts.
C’est pourquoi, au verset 4, le consolateur,
le Saint-Esprit vient essuyer toutes les larmes des yeux, parce que les temps
étaient devenus si difficiles pendant la destruction du temple : le deuil,
les cris, la douleur, ces premières choses vont disparaître… pour laisser place
au nouveau tabernacle verset 5 : « Et celui qui était assis sur le
trône dit : « voici je
fais toutes choses nouvelles : Et il dit : Ecris, car ces choses sont
certaines et véritables. Et il me dit : c’est fait ! Je suis l’Alpha
et l’Omega, le commencement et la fin ».
Ces choses nouvelles ont été faite au
commencement avec Israël, et à la fin avec l’Eglise.
Elles ont été faites 12 fois avec l’un et 12
fois avec l’autre ; et à chaque fois
Comme au verset 7 : Dieu oint le saint
des saints : « Celui qui
vaincra héritera ces choses, je serai son Dieu, et il sera mon fils. »
C’est un constat : la loi perpétuelle de
la nouvelle Jérusalem a déjà été 11 fois révélées sur terre, et l’Eglise se
prépare à sa douzième et dernière naissance. La dernière pierre, l’améthyste va
venir coiffée ce douzième fondement. Elle suit une loi de la vie :
La naissance de la nouvelle Eglise est semblable
à celle d’une femme qui se prépare à donner naissance à un nouvel enfant ;
Et la venue d’un nouveau-né s’est fait et se fera toujours dans la douleur et
les cris, qui commencent souvent plusieurs mois avant l’accouchement. Mais
après les cris, les contractions douloureuses, viennent la joie et
l’allégresse.
Toutes choses seront devenues nouvelles, et les douleurs
anciennes seront du passé.
Amen
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