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Par Eric
Ruiz
Ce message a débuté le 12 avril, jour de nouvelle lune (jour de changement), une phrase prononcée par un philosophe m’a interpelé :
« L’Islam est sorti des Ebionites ».
A partir de ce nombre 12, du 12 avril (ce nombre qui révèle le mal), j’ai comme la confirmation de ce que j’ai reçu sur le mystère qui entoure les religions. (Ecoutez jusqu’au bout et ne coupez pas avant d’avoir tout entendu).
2 Pierre 2 :1 « 1Il y a eu parmi le peuple de faux prophètes, et il y aura de même parmi vous de faux docteurs, qui introduiront des sectes pernicieuses, et qui, reniant le maître qui les a rachetés, attireront sur eux une ruine soudaine… 3Par cupidité, ils trafiqueront de vous (ils vous manipuleront) au moyen de paroles trompeuses, eux que menace depuis longtemps la condamnation, et dont la ruine ne sommeille point.»
Ici, l’apôtre Pierre met en garde le peuple de Dieu au sujet de faux prophètes et de faux docteurs qui s’introduiront parmi eux et qui seront à l’origine de l’hérésie (puisque le mot « secte » en grec « hairesis » a le sens d’hérésie en français). Leur fin est déjà inscrite : la ruine soudaine.
Première
question : Est-ce un fait nouveau, l’introduction de sectes
pernicieuses (nuisibles et dangereuses)?
Pierre donne un
indice : « Il y
a eu parmi le peuple, et il y aura, (encore) de faux prophètes »
C’est une plaie permanente
apparemment… c’est même un fait perpétuel et qui date de la nuit des temps
(si on peut dire).
LES SECTES
·
LA SECTE ADAMIQUE
D’abord, premier
fait : Toutes les religions sont nées à partir de sectes, toutes, sans
exceptions.
La
secte est un mouvement groupusculaire au
départ, qui va se consolider et croître à partir d'une ou plusieurs nouvelles doctrines
hérétiques ;
Nous
l’avons lu avec Pierre, il s’agit « de faux docteurs, de faux enseignants, manipulateurs
attirés par le gain ».
Leurs membres se réclameront d’une tendance plus novatrice, réformiste et surtout (et c’est là la séduction) plus proche de l'original.
La première
secte a eu lieu (tenez-vous bien) en Eden : la secte Adamique.
Adam et Eve ont désobéi en décidant d’ouvrir les yeux sur la connaissance et ils ont introduit une nouvelle loi.
Et à partir de là, cette loi de la connaissance devenue indépendante et de surcroit supérieure (puisqu’elle va ouvrir l’intelligence) va être le grand moulin à eau des sectes.
Les sectes se
distinguent par le fait d’avoir une connaissance de la vérité que les autres
n’ont pas. Elles savent, elles…
La gnose, la
connaissance, le premier courant gnostique était dénoncé, c’est vrai là dès le
premier siècle au Moyen-Orient ; mais surtout, ce courant existait bien
avant, en Eden :
« La femme vit que l'arbre était bon à manger
et agréable à la vue, et qu'il était précieux pour ouvrir l'intelligence »
(Genèse 3 :6)
·
LA SECTE PROTESTANTE
Autre
exemple, plus près de nous : les protestants.
Ils
sont nés et sortis, comme d’une secte, du catholicisme (qui entre parenthèse est
une secte aussi sortie d’autres sectes de l’Eglise originelle).
Son
fondateur, un moine catholique Martin Luther protesta contre des dogmes, qu’ils
jugeaient hérétiques de la part du pape.
Et en
protestant, les disciples de Luther devinrent des dissidents.
Au
même moment d’autres sectes issues du protestantisme émergèrent comme celle de
Calvin, très suivi en France ou en Ecosse et en Irlande.
Et
aux yeux des catholiques, ces sectes devinrent des hérétiques. D’où les guerres
de religions qui s’en suivirent dans plusieurs pays d’Europe dès lors que la
religion s’est associée au pouvoir politique. C’est une lutte de pouvoir sans
merci pour établir une vérité, mais toujours (vous le remarquerez) à partir de
la gnose, d’une « connaissance supérieure ».
· LA SECTE ISLAMIQUE
L'islam,
elle, n’a rien à voir apparemment avec le christianisme (c’est ce qu’on
nous a toujours dit). Mais récemment des faits historiques, nous révèlent
quelle serait apparue progressivement à partir de mouvements sectaires judéo-chrétiens :
Une secte très reconnue sous le nom de judéonazaréens et une autre sous le nom d’Ebionites.
Ça veut dire que des chrétiens, juifs d’origines,
des nazaréens, se sont pris de passion pour un nouvel évangile qui allait
donner les fondements spirituels à l’Islam. Un évangile qui allait réfuter la
divinité au fils de Marie et aussi rejeter sa résurrection ; et qui laissera
à Jésus de Nazareth le titre de grand prophète et non de fils de Dieu. Donc un
Dieu le Père, l’Eternel, sans fils, sans rédempteur.
Mais
aussi leur gnose allait développer l’idée que le temple à Jérusalem est à
reconstruire et que les juifs rabbiniques comme aussi les romains et leur
christianisme constituent le mal à combattre ; D’où ce combat général pour
conquérir Jérusalem, le lieu mythique de « terre promise », et
rebâtir un temple (puisque le Messie ne viendra qu’une fois le temple rebâti).
Aujourd’hui,
rien d’étonnant que Jérusalem abrite les 3 religions monothéistes qui
revendiquent la même terre sainte. Pourquoi ?
Parce
qu’ils ont de nombreux liens historiques et spirituels qui les rassemblent. Le
lien spirituel le plus évident est ce que Pierre a annoncé : ils ont renié Christ et préféré les préceptes de la
loi.
DE LA SECTE A LA RELIGION
Maintenant,
il manque d’autres ingrédients pour que la secte grossisse et passe à un nouveau
stade, celui de système religieux.
Un
historien français avait vu juste, il disait : « une religion, c’est une secte qui a réussi »
Comment faire concrètement pour qu’un nombre important d’adeptes rejoigne ce mouvement, afin qu’il passe d’un simple mouvement isolé à un grand mouvement religieux populaire, montrant sa réussite?
Pierre continuant à parler des « sectes pernicieuses » dira au chapitre 2 verset 2 : « 2Plusieurs les suivront dans leurs dissolutions, et la voie de la vérité sera calomniée à cause d'eux. »
Pierre
montre bien ici cette séduction religieuse qui s’établit sournoisement par le glissement
progressif de la vérité.
Cette
vérité enseignée par Jésus et les apôtres a glissé petit à petit vers une
vérité calomniée, mensongère ; et qui donnera naissance à la fin, à un
nouvel évangile.
LA CULTURE DES NATIONS
ET LE CHEF
Elle
doit se mélanger avec une autre culture.
C’est
le scénario qu’a choisi de prendre bien avant, le roi d’Israël Salomon, fils de
David.
« L’Eternel avait dit aux enfants d'Israël: Vous n'irez point chez elles, et elles ne viendront point chez vous; elles tourneraient certainement vos cœurs du côté de leurs dieux. Ce fut à ces nations que s'attacha Salomon, entraîné par l'amour ».
La désobéissance amène à faire des alliances avec les
nations ; et les meilleurs intentions (même celles de l’amour) sont de très
mauvaises excuses. Faire le mal au nom de l’amour n’excuse en rien les actes.
Eh
bien, c’est de cette façon-là que l’Islam va apparaître.
Des chrétiens au nom de
l’amour de Dieu vont évangéliser et faire alliance avec les arabes de Perse et
se mêler à leur culture.
La culture Perse
zoroastrienne associée à la pensée Judéo-chrétienne va donner une nouvelle civilisation :
l'islam… et
plus tard avec Mahomet, le Coran comme nouvel évangile.
D’où vient cette nouvelle lumière que je vous apporte ?
La
première chose dont nous enseigne l’histoire, c’est qu’elle est racontée le
plus souvent par les fondateurs eux-mêmes ou par leurs adeptes convertis et
c’est pourquoi elle est si empreinte d’idéologie.
En
1944, le journaliste et écrivain Robert Brassilhac remettait en cause
l’objectivité de l’histoire. Ce n’est pas une science exacte parce que,
disait-il : «l’histoire est écrite par les vainqueurs».
Alors
le politique se mêlant au religieux, les catholiques racontent comment les
papes, les rois ont suivi le saint évangile. Un exemple frappant c’est aussi
celui de Jeanne d’Arc.
Son
histoire a servi le pouvoir politique et religieux de l’époque, c’est eux qui
l’ont instrumentalisée pour en faire une idole.
Les
protestants ont participé aussi étroitement à leur histoire et un nombre non
négligeable de protestants sont aussi des historiens très réputés. Et pour
l’Islam, c’est la même chose. Nos manuels scolaires racontent l’Islam écrite
par des historiens sympathisants de l’Islam.
Connaître
ces choses, permet non seulement de relativiser les connaissances mais aussi et
surtout de lire et d’écouter d’autres historiens, d’autres passionnés
d’histoire écrivant une contre histoire de l’histoire officielle…
Et aussi
et surtout d’arrêter de croire ce mensonge : « la majorité qui a tort dit la vérité parce que c’est
la majorité »
Donc
l’histoire des religions est bien différente de celle racontée par une majorité
de sympathisants.
Et
l’idée même de secte religieuse rebute un adepte. Lui, il cherchera un chemin
différent pour expliquer la grandeur de sa religion ou la décadence des autres.
Alors,
prenons un chemin de traverse...
Il
existe un autre ingrédient indispensable pour qu’une religion nouvelle naisse
et croisse à partir d’une secte.
Un homme puissant des
nations, un homme de pouvoir doit s’intéresser à cette secte au point même de se convertir à elle pour en faire
une religion d’Etat.
Quelle puissance pour un chef que d’agir « au non
de Dieu » ou au non d’un dieu, parce qu’à ce moment-là le politique et le religieux
auront le même objectif : la conquête des territoires Cette conquête aura
beaucoup plus de crédibilité et de poids aux yeux du peuple.
·
Chez les Perses, cet homme, ce chef n’est pas un roi,
mais un calife (le lieutenant de Dieu sur terre).
Abd al Malik au 7ème siècle, va construire les grandes
fondations du futur Islam. Il se
présentera alors comme la nouvelle figure messianique, l’égal de Jésus-Christ.
Ce 1er
calife rassemblera les Arabes autour de
la nouvelle religion en répandant son pouvoir de Damas en Syrie jusqu’à l’Egypte,
en passant par Jérusalem (où il y fera faire construire la mosquée du dôme du
rocher, appelée mosquée d’Omar, pour remplacer le temple juif détruit) et il
s’empara même de la Mecque.
Et il est a noté qu’il reste des vestiges autre que des écrits de ce passage du judéo-christianisme à l’islam, notamment par un curieux changement sur les pièces de monnaie de l’époque.
Les symboles chrétiens avec la croix vont alors disparaitre au profit de l’étoile et du croissant de lune (qui étaient au départ des symboles Perse et non musulmans.)
·
Auparavant au 4ème siècle, il s'est fait la
même chose avec la civilisation grecque païenne ;
Elle s’est
mélangée, elle aussi à une secte judéo-chrétienne pour donner la religion
universelle : le catholicisme ; avec comme chef puissant, l'empereur romain
Constantin 1er, converti au christianisme ; mais qui au passage
a mélangé la culture grecque païenne avec les valeurs et les symboles judéo-chrétiens.
Le
Chrisme, ce médaillon que portait l’empereur autour de son cou en était l’illustration
parfaite, un mélange de la croix chrétienne avec deux lettres grecques X et P.
Mais c’est
tout le catholicisme dans son ensemble qui est originaire du culte païens des
grecs : le jour de la messe, la messe elle-même, la liturgie, la rhétorique, jusqu’au bâtiment de l’Eglise,
(puisque la basilique était construite sous le modèle du temple païen grec).
·
Pour le protestantisme, rien de bien nouveau, la liturgie de Luther n'était rien de
moins qu'une version tronquée de la messe catholique.
Et ce
« catholicisme réformée » a vu le jour grâce à l’appui et l’adhésion
sans bornes de Fréderic III de Saxe. Sans ce grand dirigeant de la Bavière converti
à sa doctrine, Martin Luther n’aurait pas pu répandre ses 95 thèses et il
aurait été incontestablement même mis à mort par le pape ou exterminé par
Charles Quint.
LA SECTE BABYLONIENE : la stratégie
universelle
Les religions, les sectes en premier, sont un
mélange de culture avec comme constituant : la civilisation abrahamique, hébraïque ou chrétienne.
Babylone : c'est le concept même d’assimilation qui n'a jamais cessé d'être
dupliqué, de siècles en siècles, de nation en nation.
Posons-nous
la question des faits (cela aide à comprendre l’histoire).
Quels
sens donner aussi aux faits religieux historiques ?
Les
faits relatent que la prière des juifs en génuflexion, sur un tapis, récitant
des psaumes est la même pour les nazaréens, est la même aussi pour les
musulmans… Un hasard ?
Pas
du tout.
Un
mouvement spirituel nouveau-né ne nait jamais seul et surtout pas « in
nihilo », à partir de rien.
L’Islam
n’est pas né à partir des révélations de Mahomet, le Coran non plus, ses
racines étaient bien antérieures et ailleurs. Nous l’avons vu rapidement, avec
l’idéologie dominante de la secte judéonazaréenne.
Le mouvement spirituel dès
sa naissance cherchera à s'entremêler avec la culture d’une nation (ses rites,
ses superstitions, ses symboles) …pour donner ensuite, poussé par des hommes de
pouvoir, une autre civilisation.
Et aujourd'hui qu’en est-il ?
LA SECTE PROTESTANTE EVANGELIQUE
Il y
a une grande civilisation chrétienne, un grand mouvement religieux qui s’est s'étendu
à travers le monde : les protestants évangéliques (il rassemble une
quantité faramineuse de sectes : méthodistes, pentecôtistes, baptistes,
charismatiques...) plus de 660 millions d’adeptes à travers le monde ; et
là l’influence grecque païenne n’est plus aussi dominante, c’est l'influence de
la culture anglo-saxonne qui a pris le dessus.
Avec
des symboles forts comme l’argent, les miracles ou les dons spirituels, la
toute-puissance américaine a su imposée sa culture (le miracle américain s’associant au miracle
chrétien).
Et de
grandes personnalités portent ses valeurs.
Des
présidents américains ont été personnellement impliqués avec des pasteurs
réputés, comme Georges Bush avec Billy Graham, Barak Obama avec Rick Warren, et
plus près de nous Donald Trump avec Paula White, une télévangéliste
multimillionnaire.
BABYLONE LA PROSTITUEE
Mais ne regardons pas que ce qui frappe
le regard, car Tous les mouvements religieux quel qu’ils soient sont des
impostures ; et il ne s’agit pas de designer un moins pire qu'un autre,
car ils mangent tous dans le même plat
babylonien : Le plat de la grande prostituée.
Ils
boivent tous le même vin qui enivrent toute la terre.
En s’associant aux nations à leurs coutumes, en s’associant à leurs chefs, la loi parfaite de Christ s’est liquéfiée. Et la nourriture sainte est devenue un poison.
Mon
propos, ici a surtout un but : celui de
montrer les principaux rouages qui ont permis la naissance et la
croissance des religions babyloniennes.
Jésus dans Luc chapitre 12 disait : « Il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. ».
Maintenant,
que faire face à ses sectes pernicieuses devenues les grandes références de nos
civilisations ?
Que
faire face à ces grandes traditions religieuses juives, chrétiennes ou
islamistes ?
Les
combattre ?
La réponse : les combattre serait de faire le même jeu que celui de la religion et engendrer par voie de conséquences une nouvelle secte.
Non,
le prophète Jérémie, lui, annonçait « un
vent destructeur » venant de l’Eternel : « Fuyez de Babylone, et que chacun sauve sa vie, de peur que vous ne
périssiez dans sa ruine ! Car c'est un temps de vengeance pour l'Éternel ; Il
va lui rendre selon ses œuvres ».
(Jérémie
51 :6)
On en revient à ce que disait aussi en début de message l’apôtre Pierre sur les sectes pernicieuses, dangereuses, elles attireront forcément sur elles une ruine soudaine, pour avoir renier Christ.
Jérémie 51: 9 : « Abandonnons-la, et allons chacun dans son pays ; Car son châtiment atteint jusqu'aux cieux, Et s'élève jusqu'aux nues ».
Retourner dans son pays n’est pas forcément revenir vers sa nation de naissance ; c’est revenir au début de sa naissance spirituelle. Revenir à sa terre natale, retrouver son âme (sa terre), celle qui avait été régénérée, celle qui avait connu l’Esprit-Saint.
Le
faire par ses propres forces ne sert à rien, c’est une cause perdue d’avance,
la pensée séductrice de la secte est trop forte ;
Et
vous trouverez des circonstances atténuantes à votre religion.
Les pasteurs, les évêques, les rabbins, les Imams seront même capable de vous attendrir en montrant un mea-culpa, en dénonçant même des erreurs de leur part, des hérésies qu’ils regrettent amèrement.
Même
le prophète Jérémie pointe cet attendrissement stérile (Jérémie 51 :9)
« Nous avons voulu guérir Babylone, mais elle n'a pas guéri. »
Alors voilà, c’est un fait perpétuel, rien ni personne ne pourra sauver Babylone.
Faites attention à vous-même aussi.
Il
y a toujours cette peur d’être les rebelles de Korè, ces fils de Lévi qui se
sont rebellés contre Moïse en revendiquant leur sainteté et qui tous, ont été
engloutis.
Les dirigeants religieux aiment prendre exemple sur ce passage biblique pour susciter la crainte de leurs adeptes et anéantir toute rébellion.
Et puis, n’écoutons pas cet esprit de survie qui nous dit à l’intérieur de nous de rester avec ses références humaines sociales et religieuses, comme si on restait avec un partenaire qu’on n’aime plus, mais qu’on supporte parce qu’on ne peut pas avoir vécu toutes ces années pour rien… et tant pis si c’est déraisonnable, et tant pis si on n’a pas atteint avec lui nos objectifs. Cette forme de résignation qui accepte le mal est beaucoup plus répandue qu’on le croit.
De
même on préfèrera continuer dans ses erreurs, parce qu’on a ce sentiment fort
que la décision venait de nous, et qu’on ne veut pas trahir cette bonne image
de nous-mêmes qui va au bout de ses convictions « j’ai trop investi pour
abandonner maintenant ».
Alors, on se lie, on se rend prisonnier de nos décisions parce qu’ils sont nos engagements.
Il faut donc se détourner d’une violence que l’on se ferait à soi pour ne pas voir que le bateau sur lequel on vogue est en train irrémédiablement de sombrer avec tous ses gens à bord.
« Que la violence envers moi et ma chair déchirée retombent sur Babylone ! Dit l'habitante de Sion. Que mon sang retombe sur les habitants de la Chaldée ! Dit Jérusalem » (Jérémie 51 :35)
Un croyant véritable, donc repenti animé par la fidélité avec son
Dieu, n’a pas à se sacrifier pour Babylone, mais il a à sortir d’elle car la
violence qu’il a subi doit retombée sur elle et l’exterminer ; c’est son jugement et ne l’oublions jamais,
pas le nôtre.
Amen
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