dimanche 27 mai 2018

PETITE HISTOIRE DE LA RÉINCARNATION

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Par Éric Ruiz


Si on suit une chronologie classiquement établie, c’est vrai que j’aurai pu commencer par les faits historiques d’origine pour parler de réincarnation chrétienne ; mais l’Esprit Saint décide… et il en a voulu autrement ; Et c’est par l’enfant décédé subitement, que j’ai commencé à en parler.  A croire que le vrai fondement est plutôt-là (dès l’enfance) !
Le 25 juin 2017 (une grande date d’anniversaire pour moi) j’avais un message : « un enfant n’est pas sauvé, c’est autre chose »
https://youtu.be/gZwZx2673X0
Je disais alors : « Tous ces enfants qui dorment vont être réveillés à nouveau pour finir sur terre ce qu'ils ont commencé à vivre et qu'ils n'ont pas pu terminer. Ils vont tous pouvoir légitimement vivre une expérience de rédemption de la part de notre Seigneur ».

La semaine dernière je postais donc ma onzième vidéo traitant du sujet, le tout rassemblé d’ailleurs sur une playlist YouTube, sous le titre de: « la réincarnation & la foi ».
En fait, je me suis surpris à constater qu’aucun de mes messages n’avaient traité des faits historiques montrant qu’au départ les dés avaient été pipés.

Et là lundi matin, jour férié de la Pentecôte, je suis tombé sur les décisions des pères de l’Eglise du deuxième concile de Constantinople en 553 après JC, qui proclamait « anathème » les défenseurs de la réincarnation.

Ce qui veut dire qu’à partir de 553, date historique, tout l’occident (et là c’est aussi bien les pays catholiques que les pays orthodoxes) s’est mis à occulter et à bannir la réincarnation comme une hérésie, alors qu’elle était communément admise depuis bien longtemps, en tous les cas parmi les nations orientales.
Le concile ne venait pas officialiser une tradition mais plutôt, s’y opposer.
Le texte ratifié disait ceci : « Si quelqu'un croit à la fabuleuse préexistence des âmes, qui a pour conséquence l'idée monstrueuse qu'elles retournent (qu’elles reviennent comme elles étaient); qu'il soit anathème.»
Anathème se définis comme répudié, excommunié, maudit, hérétique.

Encore une preuve de plus de l’intrusion du paganisme dans le christianisme… et en plus, comme à son habitude, le paganisme passe par la grande porte : celle de l’officialisation.
Les empereurs de l’empire Romain (Constantin en premier qui a institué le christianisme comme seule religion d’état) ont tous été sous la double séduction de leurs dieux païens grecs et du Christ.
Et là, c’est le grand empereur byzantin Justinien 1er qui dirigea (en l’absence du pape) la décision du concile et il faut le dire, sa décision fut fortement influencée politiquement et surtout religieusement par sa femme Théodora dont la réputation libertine lui collait à la peau. Une impératrice dont la beauté, la ruse et l’envie de domination font obligatoirement penser à une personnalité bien connue de la Bible dans le livre des Roi ou des Chroniques, il s’agit de Jézabel, femme du roi d’Israël Achab.
Théodora comme Jézabel avait coutume de prendre les grandes décisions à la place de leur époux monarque.
Jézabel, s’il est nécessaire de le rappeler, pourchassait la vérité et persécutait les vrais prophètes de Dieu.
Théodora, quant à elle, n’aimait décidément pas l’idée qu’elle soit responsable de ses actions et qu’elle pourrait en subir les conséquences négatives dans une vie future.
Alors, certains pères de l’Église, allèrent dans le sens de l’empereur est officialisèrent une décision que même les protestants par la suite n’ont pas rétablis.

Un bémol toutefois, je dis certains pères de l’Église, car tous n’étaient pas forcément à priori de cet avis.

Jérôme, docteur de l’Eglise, qui vécut de 347 à 420 ap JC et à qui on doit la Vulgate, traduction de la Bible grec en latin disait dans ses écrits que : « la doctrine de la réincarnation a été dans les temps les plus anciens communiquée à un petit nombre d’élus, comme une vérité qui ne devait être répandue dans la masse du peuple »

Un peu avant lui, Grégoire de Nysse, père de l’Eglise grecque qui vécut de 335 à 395  disait que : « c’est une nécessité naturelle pour l’âme de se purifier à travers de multiples vies ».

En fait, le but n’est pas d’accumuler les preuves pour savoir si la réincarnation est vrai ou pas ; puisqu’on sait qu’il existe souvent autant de preuves qui confirment une thèse que de preuves qui l’infirment.
L’unanimité n’existe, bien souvent, que par la manipulation ou la contrainte (manipuler n’est-ce pas avoir réussi à convaincre une majorité et à rendre une minorité silencieuse qui bien qu’elle ne soit pas d’accord, ne s’oppose pas ou plus).
Rappelons-nous des 450 faux prophètes opposés à Elie, ils formaient la grande majorité, face à un petit prophète seul et isolé : Mais qui détenait la vérité ?
Alors nous nous retrouvons toujours devant le même dilemme :

Révélation ou connaissance ?
Vérité ou mensonge ?

Cela vient-t-il de la chair ou de l’esprit ? Comment le savoir, comment en être sûr ?
Jésus employait des paraboles pour que ceux qui sont du bon grain comprennent et que ceux de l’ivraie restent sourds.
Le même exemple en Eden où l’arbre de la connaissance du bien et du mal était opposé à l’arbre de vie. Mais là aussi c’est aux fruits que l’on reconnait l’arbre.
Quels sont les fruits de la révélation ?
Quels sont les fruits de la connaissance ?

Pour la révélation :
Elle maintient dans l’humilité, elle procure la paix et un état de plénitude. Elle est amour, son huile est fraîche c’est la nourriture de l’heure ; alors que la connaissance, elle,  enfle, enflamme l’orgueil, procure une fausse sagesse. (1 Cor 8 :1 ; Jacques 3 :15) c’est le plus souvent une mauvaise huile, sa manne est frelatée, elle date  d’hier.
Pour la révélation : n’est-elle pas un don, une inspiration soudaine qui a l’effet de rassembler, de libérer et de justifier (Proverbes 11 :9)  (Romains 12 :6-8) ?
Alors que la connaissance  ne provient que d’un apprentissage intellectuel, qui créé des divisions, des liens et qui condamne (1 Corinthiens 2 :13 ; Jude 1 :19) ;
Pour la révélation : Elle ne se transmet que d’Esprit à Esprit, et se perd avec les âges et l’apostasie mais elle reprend ses droits dans les réveils. ; Alors que la connaissance se transmet par tradition orale, par l’écrit et l’hérédité et devient prépondérante lorsque le peuple de Dieu est infidèle et idolâtre.
Pour conclure :
Pour la révélation : Son arbre est petit, quelconque, rien pour attirer les regards, sauf ses fruits cachés, qui sont remarquables, (par un caractère qui renonce facilement). (Jacques 3 :17 ; Luc 6 :44) alors que la connaissance elle, son arbre est grand d’une beauté majestueuse, il attire les regards, exerce une séduction, mais ses fruits sont pourris, (tout est affaire d’obligations, de discipline de fer, de rites et de coutumes religieuses).(Ezéquiel 31 :3)


Pour beaucoup de ceux qui réfutent et qui rejettent, ils ne voient que la connaissance, car ils ont la crainte comme  rempart. La connaissance engendre la crainte de tout, qui bannit l’amour (1Jean 4:18).
C’est pourquoi Jésus met fin aux polémiques ; et son entrevue avec le docteur de la loi Nicodème en est une parfaite illustration. Il n’y a pas de débat religieux, ni de persuasion intellectuelle… mais sans la nouvelle naissance, le ciel reste et restera fermé.
Voilà la grande démonstration intellectuelle de Jésus, voilà sa doctrine exprimée en 350 points  (non je plaisante, en deux points seulement):
«  Si tu ne nais pas d’eau et d’esprit tu ne peux entrer dans le royaume de Dieu (tu ne peux donc le saisir, le comprendre, il t’échappe)»

Pourquoi aujourd’hui c’est un temps spécial pour de nouvelles révélations ?
Parce que c’est : « le temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes » (Actes 3 :21).

Il faut savoir que de tout temps le fondement du salut et du jugement a toujours été le point de mire des attaques de l’ennemi.
Toutes les religions quelles qu’elles soient en ont fait leur cible principale.
Le christianisme n’échappe pas à la règle.
Déjà au temps de Paul, rien n’était nouveau :
Hébreux 6 :1 « laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement […] de la résurrection des morts, et du jugement éternel ».

Regardez les dogmes catholiques ! Ils ont reposé un nouveau fondement, ils disent que le salut et le jugement ne passent que par leurs saints sacrements. Les protestants, les orthodoxes et les évangéliques ont aussi leurs rites et leurs sacrements pour authentifier la marque du salut ou pas. Ils ont leurs baptêmes,  leurs engagement de foi, leurs rites initiatiques, leurs symbole de communion,  leur vocabulaire liturgique propre.
Si on n’y adhère pas… on est comme avec les jugements des conciles catholiques : anathème !

Mais leurs discours se rejoignent tous sur un point, à tous ces mouvements religieux ;
Et là ils sont tous d’accord : Ils se permettent tous de certifier que si on ne croit pas dans leur doctrine, on ne croit pas correctement en Dieu, et alors la foi du croyant est tronquée, elle est vaine et le croyant est anathème !

Ah, ils se réclament tous du même Dieu, du même livre mais attention, chaque groupe identifie l’autre comme la vierge folle de la parabole des 10 vierges de Jésus. Chaque groupe détiendrait la vérité et le salut. L’autre serait anathème.
Ah, mais aujourd’hui les choses ont changé, il y aurait un consensus général.
Il y a un accord commun ; et cet accord c’est  Marc 16 :16 : « Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné».

Le salut est accordé à celui qui croit.
Croire comment ? Croire dans leur « sainte doctrine » où les œuvres sont abolies. Il n’y a rien à faire sinon de croire et de recevoir un baptême d’eau de la part de son groupe religieux pour être sauvé.
Voilà la base de l’œcuménisme : la tiédeur de la foi, l’absence de tout sacrifice et de tout effort visant la purification; ils ne veulent pas acheter de l’or éprouvé par le feu ; ils veulent être riche en ne faisait rien. Et ils se croient riche de connaissances et ne veulent surtout rien d’autres.
Mais la vraie richesse (l’Esprit-Saint) s’obtient autrement. (Apocalypse 3 :17-18)

En fait, comme je le disais, ils ont tous un purgatoire qui se ressemblent.
Ils pensent qu’il y a de gros et petits péchés, des péchés mortels et d’autres véniels. Peu tombent dans les gros (comme le meurtre) ils font juste de petits écarts en mentant ou en fraudant parfois. Ils pensent que là-haut dans le ciel il y a un pardon fait pour cela par Jésus-Christ.  Mais il n’y a pas deux poids deux mesures. Le péché montre la séparation d’avec Dieu et la réparation se fera dans ce siècle ou dans un autre.

J’en reviens à Marc 16 :16 :« celui qui ne croira pas sera condamné».
Le fait par exemple de croire que « condamné » ne veut pas dire « condamné de toute éternité », mais que cette condamnation est provisoire, car l’enfer n’est pas éternel… cela vous excommuniera de beaucoup d’assemblées chrétiennes qui penseront que votre égarement vous fermera la porte du salut.
Le fait de ne pas croire qu’après la mort vient le jugement dernier et qu’il y a deux résurrections et non une seule, vous fermerait pareillement la porte de la foi, donc du Salut.
Si vous ne croyez pas à la résurrection unique et définitive qui vous changera en un éclair pour entrer dans le royaume de Dieu vous êtes pour beaucoup : sataniste ; vous rajouter à la « sainte parole de Dieu ». Attention, La Bible est devenue un objet d’adoration...

Jésus juste après sa mort a repris les clés de l’enfer ; il est descendu pendant trois jours en enfer pour qu’après avoir prêché la repentance, il ouvre la porte et prenne avec lui des esprits.
A quels esprits a-t-il prêché ?
Aux esprits qui autrefois avaient été incrédules (1 Pierre 3 :19)
Qu’en a-t-il fait, des esprits?
« L´heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu ; et ceux qui l´auront entendue vivront » (Jn 5 : 25)
« 28…car l'heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement »

Tiens, deux résurrections !…
De quel jugement parle Jésus ?  N’est-ce pas d’un châtiment ressemblant à la souffrance de la brûlure et à la réparation?
Et si ceux qui auront fait le mal, Jésus les avait fait revivre sur terre dans d’autres corps pour qu’ils réparent leurs fautes d’avant ?

Cette vision est plus que possible et probable…même si elle gêne tant par ses rapprochements avec certaines doctrines fausses et certaines religions apostâtes.
Je l’ai dit déjà : c’est la tradition de Christ, la tradition de l’agneau et elle dérange beaucoup.

Nous avons aujourd’hui des assemblées qui (excusez-moi l’expression, mais) bêlent comme des moutons derrière leur berger acceptant tout ce qu’ils proclament.
Ils sont sûrs d’avoir la sainte et unique vérité et regardent les autres troupeaux avec un certain dédain, comme des moutons perdus qui bêlent eux aussi derrière leur berger idolâtre.

Même les dissidents ne sont pas plus novateurs. Ils ont eux-aussi formé une nouvelle religion chrétienne ou une nouvelle secte qui fonctionne sur le même principe rigide et exclusif que les autres.

J’en ai pour preuve que face aux nouvelles révélations que j’annonce, je me fais traiter d’anathème, de sataniste, de faux prophète, de non baptisé, par toutes sortes de religieux comme par des dissidents d’ailleurs.

Où se trouve la douceur de l’Esprit qui prend son temps, prie, s’interroge et respecte celui qui dit que Dieu lui a parlé ?
Beaucoup de dissidents ne sont pas sortis de leur système, ils en ont créé un autre, tout aussi méchant et sectaire et parfois pire encore.

Moi, pour ma part je refuse une doctrine qui me lie, qui enferme les autres dans des identités construites et toutes faites, finissant par élever un peuple au-dessus d’un autre.
Ils pensent se libérer, mais ils ont cassé des anciens murs en construisant de nouveaux murs autour d’eux ; et en plus,  leur fondement est différent de celui de Jésus-Christ, car ils utilisent les mêmes matériaux qu’ils avaient, du chaume, du foin et du bois : que des matériaux inflammables, qui se consument.
Paul dit que l’œuvre de chacun se révèlera dans le feu (dans 1 Corinthiens 3 :12). Les œuvres de l’esprit bâties avec l’or, l’argent et les pierres précieuses se révèleront elles-aussi.
L’or : le Saint-Esprit, l’argent : la repentance, les pierres précieuses : les actes d’amour.
Je comprends l’expression «  ce sont des dures à cuire », qui veut dire que leurs péchés sont difficilement brûlés car ils réapparaissent aussitôt. Voilà pourquoi ils ont la tête dure et qu’ils sont endurcis.
Moi, je me complais que dans ce qui rend libre et aimant.

Mais examinons le mobile qu’il y a dans le fait de s’attribuer la compétence à juger du salut.

1°) cette compétence  permet de rassembler et de contrôler un troupeau de brebis qui craignent pour leur salut. Ils misent sur le fait que la foi dans leur credo leur donnera le ciel en héritage.

2°)  La peur d’un enfer éternel maintient les croyants sous une crainte vigilante. Ils pensent que l’infidélité concerne justement à ne plus être soumis aux traditions et aux lois de leur groupe.

3°) Cela permet aussi de rassurer le groupe concernant la mort, sachant qu’un non-retour n’est possible que pour les immondes, les meurtriers, elle ne concerne que des êtres méchants par nature. Mais pour soi, même si les écarts existent, la religion efface et atténue les points noirs.


Pourquoi le jugement de la résurrection des morts et du jugement éternel est-il faux dans le christianisme ?
Parce qu’il sert à les lier à lui et à exclure les autres. Ce sont des dogmes castrateurs, qui ne créent aucune émancipation, qui interdisent la relation avec l’étranger, qui montre l’autre du doigt comme un ennemi. Et par contre qui montre le groupe d’initié comme un groupe de croyants intelligents qui ont compris qu’ils étaient sauvés sans effort, Dieu ayant tout fait pour eux.

Mais alors, pourquoi le fondement de la résurrection des morts serait si facile à comprendre?

Parce que contrairement à tous ces dogmes il ne va pas à l’encontre de lois naturelles.
Ils ont oublié qu’Adam, le premier homme signifie le glébeux, (selon la Bible Chouraqui), la terre rouge en grec, « adamah » en hébreu : le sol celui qui vient de la terre.
Nous sommes comme la terre, nous fonctionnons comme elle ; nous ne sommes pas des extraterrestres ; mais plutôt des intra terrestre, car nous venons de la terre et notre vie est associée à elle.
Une terre se fertilise plusieurs fois. Un germe pousse vit et meurt plusieurs fois, indéfiniment, presque éternellement.
 Quand je désherbe et que j’arrache les pissenlits ou les mauvaises herbes pour les bruler, l’année d’après aux mêmes endroits ils ont repoussés, c’est un cycle infini.
Si ma terre est brûlée, elle sera beaucoup plus fertile ensuite. Savez-vous que beaucoup d’agriculteurs s’installent près des volcans ?
Quand Jésus prend exemple du champ où se trouvent le blé et l’ivraie, parle-t-il d’une seule récolte, d’un seul tri qui se fera juste à la fin? Que devrait-il se passer une fois son champ récolté et l’ivraie brûlée, est-ce que cela va recommencer et recommencer ?
Et l’homme lui, le glébeux échapperait-il à cette loi naturelle, sous prétexte que c’est aussi un être spirituel ?

Je conçois que la doctrine de la réincarnation puisse choquer et plus encore celle du purgatoire terrestre, mais nous devons dépasser les clivages religieux ; nous devons regarder derrière ces murs dressés par ce poison qu’est le christianisme, il y a la puissance de la résurrection qui libère. Jésus-Christ est la résurrection et la vie, Avez-vous pensé qu’il est la première résurrection et la réincarnation. c’est beaucoup plus qu’une phrase et qu’un nom, c’est un sauveur avec un grand S ; et nous devons peut-être reconnaître que notre image de lui était différente, étriquée, réduite parce qu’elle ne sauvait pas tout le monde et que cette image rejetait des peuples étrangers avec qui nous n’avons pas encore fait la paix, nous-mêmes avec eux.
Brisons nos idoles pour voir Dieu !
Amen !

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