Par Éric
Ruiz
Si on suit
une chronologie classiquement établie, c’est vrai que j’aurai pu commencer par
les faits historiques d’origine pour parler de réincarnation chrétienne ;
mais l’Esprit Saint décide… et il en a voulu autrement ; Et c’est par
l’enfant décédé subitement, que j’ai commencé à en parler. A croire que le vrai fondement est plutôt-là
(dès l’enfance) !
Le 25 juin
2017 (une grande date d’anniversaire pour moi) j’avais un message :
« un enfant n’est pas sauvé, c’est autre
chose »
Je disais
alors : « Tous ces enfants qui dorment vont être réveillés à
nouveau pour finir sur terre ce qu'ils ont commencé à vivre et qu'ils n'ont pas
pu terminer. Ils vont tous pouvoir légitimement vivre une expérience de
rédemption de la part de notre Seigneur ».
La semaine dernière je postais donc ma onzième vidéo
traitant du sujet, le tout rassemblé d’ailleurs sur une playlist YouTube, sous
le titre de: « la réincarnation & la foi ».
En fait, je me suis surpris à constater qu’aucun de
mes messages n’avaient traité des faits historiques montrant qu’au départ les
dés avaient été pipés.
Et là lundi matin, jour férié de la Pentecôte, je suis tombé sur les décisions des
pères de l’Eglise du deuxième concile de Constantinople en 553 après JC, qui
proclamait « anathème » les défenseurs de la réincarnation.
Ce qui
veut dire qu’à partir de 553, date historique, tout l’occident (et là c’est
aussi bien les pays catholiques que les pays orthodoxes) s’est mis à occulter
et à bannir la réincarnation comme une hérésie, alors qu’elle était communément
admise depuis bien longtemps, en tous les cas parmi les nations orientales.
Le concile
ne venait pas officialiser une tradition mais plutôt, s’y opposer.
Le texte ratifié
disait ceci : « Si
quelqu'un croit à la fabuleuse préexistence des âmes, qui a pour conséquence
l'idée monstrueuse qu'elles retournent (qu’elles reviennent comme elles
étaient); qu'il soit anathème.»
Anathème
se définis comme répudié, excommunié, maudit, hérétique.
Encore une
preuve de plus de l’intrusion du paganisme dans le christianisme… et en plus,
comme à son habitude, le paganisme passe par la grande porte : celle de l’officialisation.
Les
empereurs de l’empire Romain (Constantin en premier qui a institué le
christianisme comme seule religion d’état) ont tous été sous la double
séduction de leurs dieux païens grecs et du Christ.
Et là, c’est
le grand empereur byzantin Justinien 1er qui dirigea (en l’absence du pape) la
décision du concile et il faut le dire, sa décision fut fortement influencée
politiquement et surtout religieusement par sa femme Théodora dont la
réputation libertine lui collait à la peau. Une impératrice dont la beauté, la
ruse et l’envie de domination font obligatoirement penser à une personnalité
bien connue de la Bible dans le livre des Roi ou des Chroniques, il s’agit de Jézabel,
femme du roi d’Israël Achab.
Théodora
comme Jézabel avait coutume de prendre les grandes décisions à la place de leur
époux monarque.
Jézabel,
s’il est nécessaire de le rappeler, pourchassait la vérité et persécutait les
vrais prophètes de Dieu.
Théodora,
quant à elle, n’aimait décidément pas l’idée qu’elle soit responsable de ses
actions et qu’elle pourrait en subir les conséquences négatives dans une vie
future.
Alors,
certains pères de l’Église, allèrent dans le sens de l’empereur est
officialisèrent une décision que même les protestants par la suite n’ont pas
rétablis.
Un bémol
toutefois, je dis certains pères de l’Église, car tous n’étaient pas forcément à
priori de cet avis.
Jérôme,
docteur de l’Eglise, qui vécut de 347 à 420 ap JC et à qui on doit la Vulgate,
traduction de la Bible grec en latin disait dans ses écrits que :
« la doctrine de la réincarnation a été dans les temps les plus anciens
communiquée à un petit nombre d’élus, comme une vérité qui ne devait être
répandue dans la masse du peuple »
Un peu
avant lui, Grégoire de Nysse, père de l’Eglise grecque qui vécut de 335 à
395 disait que : « c’est
une nécessité naturelle pour l’âme de se purifier à travers de multiples
vies ».
En fait,
le but n’est pas d’accumuler les preuves pour savoir si la réincarnation est
vrai ou pas ; puisqu’on sait qu’il existe souvent autant de preuves qui
confirment une thèse que de preuves qui l’infirment.
L’unanimité
n’existe, bien souvent, que par la manipulation ou la contrainte (manipuler
n’est-ce pas avoir réussi à convaincre une majorité et à rendre une minorité
silencieuse qui bien qu’elle ne soit pas d’accord, ne s’oppose pas ou plus).
Rappelons-nous
des 450 faux prophètes opposés à Elie, ils formaient la grande majorité, face à
un petit prophète seul et isolé : Mais qui détenait la vérité ?
Alors nous
nous retrouvons toujours devant le même dilemme :
Révélation
ou connaissance ?
Vérité ou
mensonge ?
Cela
vient-t-il de la chair ou de l’esprit ? Comment le savoir, comment en être
sûr ?
Jésus
employait des paraboles pour que ceux qui sont du bon grain comprennent et que
ceux de l’ivraie restent sourds.
Le même
exemple en Eden où l’arbre de la connaissance du bien et du mal était opposé à
l’arbre de vie. Mais là aussi c’est aux fruits que l’on reconnait l’arbre.
Quels sont
les fruits de la révélation ?
Quels sont
les fruits de la connaissance ?
Pour la
révélation :
Elle maintient dans l’humilité, elle procure la paix et un état de
plénitude. Elle est amour, son huile est fraîche
c’est la nourriture de l’heure ; alors que la connaissance, elle, enfle, enflamme l’orgueil, procure une fausse
sagesse. (1 Cor 8 :1 ; Jacques 3 :15) c’est
le plus souvent une mauvaise huile, sa manne est frelatée, elle date d’hier.
Pour la
révélation : n’est-elle pas un don, une inspiration soudaine qui a l’effet
de rassembler, de libérer et de justifier
(Proverbes 11 :9) (Romains
12 :6-8) ?
Alors que la connaissance ne provient que d’un apprentissage
intellectuel, qui créé des divisions, des liens et qui condamne (1 Corinthiens 2 :13 ; Jude
1 :19) ;
Pour la révélation : Elle ne se transmet que
d’Esprit à Esprit, et se perd avec les âges et l’apostasie mais elle reprend
ses droits dans les réveils. ; Alors que la connaissance se transmet par
tradition orale, par l’écrit et l’hérédité et devient prépondérante lorsque le
peuple de Dieu est infidèle et idolâtre.
Pour conclure :
Pour la révélation : Son arbre est petit, quelconque, rien pour
attirer les regards, sauf ses fruits cachés, qui sont remarquables, (par un
caractère qui renonce facilement). (Jacques 3 :17 ; Luc 6 :44) alors
que la connaissance elle, son arbre
est grand d’une beauté majestueuse, il attire les regards, exerce une
séduction, mais ses fruits sont pourris, (tout est affaire d’obligations, de
discipline de fer, de rites et de coutumes religieuses).(Ezéquiel 31 :3)
Pour
beaucoup de ceux qui réfutent et qui rejettent, ils ne voient que la
connaissance, car ils ont la crainte comme
rempart. La connaissance engendre
la crainte de tout, qui bannit l’amour (1Jean 4:18).
C’est
pourquoi Jésus met fin aux polémiques ; et son entrevue avec le docteur de
la loi Nicodème en est une parfaite illustration. Il n’y a pas de débat
religieux, ni de persuasion intellectuelle… mais sans la nouvelle naissance, le
ciel reste et restera fermé.
Voilà la
grande démonstration intellectuelle de Jésus, voilà sa doctrine exprimée en 350
points (non je plaisante, en deux points seulement):
« Si
tu ne nais pas d’eau et d’esprit tu ne peux entrer dans le royaume de
Dieu (tu ne peux donc le saisir, le comprendre, il t’échappe)»
Pourquoi
aujourd’hui c’est un temps spécial pour de nouvelles révélations ?
Parce que
c’est : « le temps du rétablissement de toutes
choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints
prophètes » (Actes
3 :21).
Il faut
savoir que de tout temps le fondement du salut et du jugement a toujours été le
point de mire des attaques de l’ennemi.
Toutes les
religions quelles qu’elles soient en ont fait leur cible principale.
Le
christianisme n’échappe pas à la règle.
Déjà au
temps de Paul, rien n’était nouveau :
Hébreux
6 :1 « laissant les éléments de la parole de
Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement […] de
la résurrection des morts, et du jugement éternel ».
Regardez
les dogmes catholiques ! Ils ont reposé un nouveau fondement, ils disent
que le salut et le jugement ne passent que par leurs saints sacrements. Les
protestants, les orthodoxes et les évangéliques ont aussi leurs rites et leurs
sacrements pour authentifier la marque du salut ou pas. Ils ont leurs baptêmes,
leurs engagement de foi, leurs rites
initiatiques, leurs symbole de communion, leur vocabulaire liturgique propre.
Si on n’y
adhère pas… on est comme avec les jugements des conciles catholiques :
anathème !
Mais leurs
discours se rejoignent tous sur un point, à tous ces mouvements religieux ;
Et là ils
sont tous d’accord : Ils se permettent tous de certifier que si on ne
croit pas dans leur doctrine, on ne croit pas correctement en Dieu, et alors la
foi du croyant est tronquée, elle est vaine et le croyant est anathème !
Ah, ils se
réclament tous du même Dieu, du même livre mais attention, chaque groupe identifie
l’autre comme la vierge folle de la parabole des 10 vierges de Jésus. Chaque
groupe détiendrait la vérité et le salut. L’autre serait anathème.
Ah, mais aujourd’hui
les choses ont changé, il y aurait un consensus général.
Il y a un
accord commun ; et cet accord c’est Marc 16 :16 : « Celui
qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera
condamné».
Le salut
est accordé à celui qui croit.
Croire
comment ? Croire dans leur « sainte doctrine » où les œuvres
sont abolies. Il n’y a rien à faire sinon de croire et de recevoir un baptême
d’eau de la part de son groupe religieux pour être sauvé.
Voilà la
base de l’œcuménisme : la tiédeur de la foi, l’absence de tout sacrifice
et de tout effort visant la purification; ils ne veulent pas acheter de
l’or éprouvé par le feu ; ils veulent être riche en ne faisait rien. Et
ils se croient riche de connaissances et ne veulent surtout rien d’autres.
Mais la vraie
richesse (l’Esprit-Saint) s’obtient autrement. (Apocalypse 3 :17-18)
En fait,
comme je le disais, ils ont tous un
purgatoire qui se ressemblent.
Ils
pensent qu’il y a de gros et petits péchés, des péchés mortels et d’autres
véniels. Peu tombent dans les gros (comme le meurtre) ils font juste de petits
écarts en mentant ou en fraudant parfois. Ils pensent que là-haut dans le ciel
il y a un pardon fait pour cela par Jésus-Christ. Mais il n’y a pas deux poids deux mesures. Le
péché montre la séparation d’avec Dieu et la réparation se fera dans ce siècle
ou dans un autre.
J’en reviens
à Marc 16 :16 :« celui qui ne croira pas sera condamné».
Le fait
par exemple de croire que « condamné » ne veut pas dire « condamné
de toute éternité », mais que cette condamnation est provisoire, car l’enfer
n’est pas éternel… cela vous excommuniera de beaucoup d’assemblées chrétiennes
qui penseront que votre égarement vous fermera la porte du salut.
Le fait de
ne pas croire qu’après la mort vient le jugement dernier et qu’il y a deux
résurrections et non une seule, vous fermerait pareillement la porte de la foi,
donc du Salut.
Si vous ne
croyez pas à la résurrection unique et définitive qui vous changera en un
éclair pour entrer dans le royaume de Dieu vous êtes pour beaucoup :
sataniste ; vous rajouter à la « sainte parole de Dieu ». Attention,
La Bible est devenue un objet d’adoration...
Jésus
juste après sa mort a repris les clés de l’enfer ; il est descendu pendant
trois jours en enfer pour qu’après avoir prêché la repentance, il ouvre la porte
et prenne avec lui des esprits.
A quels
esprits a-t-il prêché ?
Aux
esprits qui autrefois avaient été incrédules (1 Pierre 3 :19)
Qu’en
a-t-il fait, des esprits?
« L´heure
vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu
; et ceux qui l´auront entendue vivront » (Jn 5 : 25)
« 28…car
l'heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront.
Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront
fait le mal ressusciteront pour le jugement »
Tiens, deux résurrections !…
De
quel jugement parle Jésus ?
N’est-ce pas d’un châtiment ressemblant à la souffrance de la brûlure et
à la réparation?
Et si ceux
qui auront fait le mal, Jésus les avait fait revivre sur terre dans d’autres
corps pour qu’ils réparent leurs fautes d’avant ?
Cette
vision est plus que possible et probable…même si elle gêne tant par ses
rapprochements avec certaines doctrines fausses et certaines religions
apostâtes.
Je l’ai
dit déjà : c’est la tradition de Christ, la tradition de l’agneau et elle
dérange beaucoup.
Nous avons
aujourd’hui des assemblées qui (excusez-moi l’expression, mais) bêlent comme
des moutons derrière leur berger acceptant tout ce qu’ils proclament.
Ils sont sûrs
d’avoir la sainte et unique vérité et regardent les autres troupeaux avec un
certain dédain, comme des moutons perdus qui bêlent eux aussi derrière leur
berger idolâtre.
Même les
dissidents ne sont pas plus novateurs. Ils ont eux-aussi formé une nouvelle
religion chrétienne ou une nouvelle secte qui fonctionne sur le même principe
rigide et exclusif que les autres.
J’en ai
pour preuve que face aux nouvelles révélations que j’annonce, je me fais
traiter d’anathème, de sataniste, de faux prophète, de non baptisé, par toutes sortes
de religieux comme par des dissidents d’ailleurs.
Où se
trouve la douceur de l’Esprit qui prend son temps, prie, s’interroge et
respecte celui qui dit que Dieu lui a parlé ?
Beaucoup
de dissidents ne sont pas sortis de leur système, ils en ont créé un autre,
tout aussi méchant et sectaire et parfois pire encore.
Moi, pour
ma part je refuse une doctrine qui me lie, qui enferme les autres dans des
identités construites et toutes faites, finissant par élever un peuple
au-dessus d’un autre.
Ils
pensent se libérer, mais ils ont cassé des anciens murs en construisant de
nouveaux murs autour d’eux ; et en plus, leur fondement est différent de celui de
Jésus-Christ, car ils utilisent les mêmes matériaux qu’ils avaient, du chaume,
du foin et du bois : que des matériaux inflammables, qui se consument.
Paul dit
que l’œuvre de chacun se révèlera dans le feu (dans 1 Corinthiens 3 :12).
Les œuvres de l’esprit bâties avec l’or, l’argent et les pierres précieuses se
révèleront elles-aussi.
L’or :
le Saint-Esprit, l’argent : la repentance, les pierres précieuses :
les actes d’amour.
Je
comprends l’expression « ce sont des dures à cuire », qui veut dire
que leurs péchés sont difficilement brûlés car ils réapparaissent aussitôt.
Voilà pourquoi ils ont la tête dure et qu’ils sont endurcis.
Moi, je me
complais que dans ce qui rend libre et aimant.
Mais
examinons le mobile qu’il y a dans le fait de s’attribuer la compétence à juger
du salut.
1°) cette
compétence permet de rassembler et de
contrôler un troupeau de brebis qui craignent pour leur salut. Ils misent sur
le fait que la foi dans leur credo leur donnera le ciel en héritage.
2°) La peur d’un enfer éternel maintient les
croyants sous une crainte vigilante. Ils pensent que l’infidélité concerne
justement à ne plus être soumis aux traditions et aux lois de leur groupe.
3°) Cela
permet aussi de rassurer le groupe concernant la mort, sachant qu’un non-retour
n’est possible que pour les immondes, les meurtriers, elle ne concerne que des êtres
méchants par nature. Mais pour soi, même si les écarts existent, la religion
efface et atténue les points noirs.
Pourquoi
le jugement de la résurrection des morts et du jugement éternel est-il faux
dans le christianisme ?
Parce
qu’il sert à les lier à lui et à exclure les autres. Ce sont des dogmes
castrateurs, qui ne créent aucune émancipation, qui interdisent la relation
avec l’étranger, qui montre l’autre du doigt comme un ennemi. Et par contre qui
montre le groupe d’initié comme un groupe de croyants intelligents qui ont
compris qu’ils étaient sauvés sans effort, Dieu ayant tout fait pour eux.
Mais
alors, pourquoi le fondement de la résurrection des morts serait si facile
à comprendre?
Parce que
contrairement à tous ces dogmes il ne va pas à l’encontre de lois naturelles.
Ils ont
oublié qu’Adam, le premier homme signifie le glébeux, (selon la Bible Chouraqui),
la terre rouge en grec, « adamah » en hébreu : le sol celui qui
vient de la terre.
Nous
sommes comme la terre, nous fonctionnons comme elle ; nous ne sommes pas
des extraterrestres ; mais plutôt des intra terrestre, car nous venons de
la terre et notre vie est associée à elle.
Une terre
se fertilise plusieurs fois. Un germe pousse vit et meurt plusieurs fois,
indéfiniment, presque éternellement.
Quand je désherbe et que j’arrache les pissenlits
ou les mauvaises herbes pour les bruler, l’année d’après aux mêmes endroits ils
ont repoussés, c’est un cycle infini.
Si ma
terre est brûlée, elle sera beaucoup plus fertile ensuite. Savez-vous que
beaucoup d’agriculteurs s’installent près des volcans ?
Quand
Jésus prend exemple du champ où se trouvent le blé et l’ivraie, parle-t-il
d’une seule récolte, d’un seul tri qui se fera juste à la fin? Que
devrait-il se passer une fois son champ récolté et l’ivraie brûlée, est-ce que
cela va recommencer et recommencer ?
Et l’homme
lui, le glébeux échapperait-il à cette loi naturelle, sous prétexte que c’est
aussi un être spirituel ?
Je conçois
que la doctrine de la réincarnation puisse choquer et plus encore celle du
purgatoire terrestre, mais nous devons dépasser les clivages religieux ;
nous devons regarder derrière ces murs dressés par ce poison qu’est le
christianisme, il y a la puissance de la
résurrection qui libère. Jésus-Christ
est la résurrection et la vie, Avez-vous
pensé qu’il est la première résurrection et la réincarnation. c’est beaucoup plus qu’une phrase et qu’un
nom, c’est un sauveur avec un grand S ; et nous devons peut-être reconnaître que notre image de lui était
différente, étriquée, réduite parce qu’elle ne sauvait pas tout le monde et que
cette image rejetait des peuples étrangers avec qui nous n’avons pas encore fait
la paix, nous-mêmes avec eux.
Brisons nos idoles pour voir
Dieu !
Amen !
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