dimanche 7 janvier 2018

LE ROYAUME DE DIEU : OU EST-IL VRAIMENT?

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Par Éric Ruiz

Je voudrais tout d’abord introduire une chose primordiale au message qui suit : Si vous vous considérez comme un roi sur votre vie, que vous êtes suffisamment riche d’expérience et de connaissances pour pouvoir vous passer de conseils venant des autres ; alors arrêtez-là !
Ce message est destiné à ceux qui ont l’humilité de reconnaître qu’ils ont besoin d’un juge sur leur vie, qu’ils ont besoin de discerner leurs zones d’ombres (et là je fais bien-sûr référence au message précédent sur les prédictions de l’année 2018).

N’y a-t-il pas une grosse contradiction dans le fait suivant : On trouve malhonnête quelqu’un qui dit: « je t’aime » à une personne mais qui par son comportement ne montre rien, sinon que des actes superficiels, des gestes faussement attentionnés… et d’un autre côté, on revendique l’amour de Jésus sans montrer d’actes véritables et profonds sous prétexte que sa grâce suffit à notre salut !

LE SACRIFICE : LIEN INVISIBLE ENTRE LES CROYANTS

Vous rendez-vous compte que Jésus par amour a connu un état de sacrifice permanent, une humiliation quotidienne, celle provenant des religieux et de certains faux disciples ; et au final il a souffert, méprisé, abandonné, injurié, brutalisé sévèrement, puis il est mort crucifié sur une croix ...

Et nous, par le simple fait de prononcer son nom, de s’immerger sous l’eau et de chanter quelques Cantiques, on s’unirait à son amour.

Ce n’est pas sérieux, Il y a quelque chose qui cloche dans cette croyance-là !

Non, croire à une telle superficialité devrait nous faire poser les vraies questions.
Il est évident qu’un amour aussi profond que celui de notre Sauveur ne peut s’unir qu’avec des âmes sœurs ; Des âmes possédant la même abnégation, le même sens du sacrifice et le même dévouement pour son prochain.
J’en reviens alors à la notion de juge sur nos vies. Mettons la lumière sur nos ténèbres…
Si nous n’avons pas cet amour-là, cela juge que nous ne sommes pas nés d’en haut, tout simplement. Et que les paroles de Jésus faites au docteur pharisien, Nicodème sont aussi pour nous:

« «En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître de nouveau, personne ne peut voir le royaume de Dieu [...] En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître d'eau et d'Esprit, on ne peut entrer dans le royaume de Dieu.. Ce qui est né de parents humains est humain et ce qui est né de l'Esprit est Esprit » (Jean 3:3)

LES ACTES SPONTANÉS : UNE PREUVE DE L’ESPRIT

Les groupes chrétiens quant à eux, sont remplis de personnes assurées d’avoir cette « nouvelle naissance ».
Ils ont bien l’apparence de l’amour en parlant de l’amour de Dieu et en témoignant de leurs manies et addictions qu’ils ont laissées au placard, mais où sont leurs actes spontanés ?
Si un prédicateur ne leur dit pas d’agir pour leur frère nécessiteux, ils n’ont pas d’eux-mêmes l’envie pressante de le faire.
Ils attendent qu’une parole de Dieu ou qu’un verset biblique les y incite fortement. On dirait qu’ils attendent d’être repris pour agir.
Plutôt que de les culpabiliser, cela devrait au contraire les questionner sur leur soi-disant nouvelle naissance. Cela devrait leur faire réaliser qu’ils ont loupé une marche décisive, celle de la vraie foi.
Vous rendez-vous compte, être obligé d’avoir des actes réfléchis, calculés, prémédités pour exercer l’amour !
Quel faux Saint-Esprit !

Je vais prendre l’exemple de ma femme. Ma femme déteste faire les choses par obligation. Lorsqu’elle ne va pas bien, qu’elle ne fait plus les choses par amour mais parce qu’il faut les faire, quand elle devient bougonne et que tout devient pesant pour elle, son cœur lui dit alors stop !  (il lui dit en fait : juge-toi !) Il lui dit : « Pose tes valises. Arrêtes-toi et confie ton fardeau au Seigneur car tu te fatigues inutilement, tu ralentis ta progression, tu n’es plus sur la bonne voie…  redemande ton chemin » A ce moment-là elle sait qu’en s’arrêtant de manger et en commençant un jeûne, avec cette forte volonté de redemander  son chemin,  alors son ardeur repartira. Pourquoi ? Car l’humilité se sera accrue en elle et son regard aura changé, d’abord sur elle, et donc ensuite sur les autres.

Sa réaction de croyante est normale, elle refuse la tiédeur. Etre tiède c’est faire des actes de mauvais cœur.

L’apparence de l’amour s’est généralisée, elle s’est immiscée jusque dans l’enseignement. La doctrine théologique moderne privilégie l’obligation au détriment du ressenti.
Ecoute la voix de la sagesse : « Fais ce que te dit les règles de la communauté religieuse mais ne fais pas ce que tu ressens ; si tu ne fais que ce que tu ressens tu ne feras pas grand-chose »
Désolé, mais cette sagesse-là, c’est de la religion qui conforte le croyant sur cette idée devenue universelle : le corps, la chair est faible, paresseuse et qu’il faille la discipliner pour l’assouvir. Et l’Esprit alors ?
L’Esprit qui vivifie où est son rôle ?
Force est de constaté qu’il a été remplacé par un rappel à l’ordre régulier, (tu devrais faire plus de ceci, faire moins de cela) par un commandement humain. C’est de la moralisation.
On retombe sur les notions de bien et de mal donc sur les fuits de l’arbre de la connaissance en Eden ; Et l’arbre de vie qui est l’Esprit qui nous enseigne tout, est lui bâillonné, étouffé, réduit au silence.


De même, ce siècle voué au paganisme, a enseigné aux chrétiens, souvent à leur insu, que d’entrer dans un bâtiment de culte, comme une église, une synagogue ou une chapelle, les rapprochait de l’esprit de Dieu.
Pour certains : ils ressentent même la présence de Dieu dans ces endroits devenus sordides, qui sont de véritables repaires de démons ;  Jean l’apôtre les nomme aussi, habitations de démons,  repaire de tout esprit impur ou synagogues de Satan.
Autrefois ces lieux étaient saints, ils se nommaient Tente de la rencontre, Tabernacle, Temple, et ils étaient localisés dans des endroits bien précis comme Béthel ou Guilgal ou Jérusalem.
Puis jugeant de leur décadence, un juge comme le prophète Amos ou Esaïe ont crié :

« Ne passez plus par ces villes, pour rencontrer Dieu » « Elle est tombée, elle ne se relèvera plus, La vierge d'Israël; Elle est couchée par terre, Nul ne la relève. » (Amos 5:2)
Et Amos donne la raison de ce carnage quelques versets plus loin : «Ô vous qui changez le droit en absinthe, Et qui foulez à terre la justice! »

Si la vierge est tombée, c’est qu’on y fait dans ces endroits de culte, un acte abominable d’adultère. On y adore un faux dieu. Et c’est pourquoi, aucun prophète juge ne peut y exercer le droit, puisqu’ils ont été mis dehors ou qu’on les a bâillonné.
L’absinthe a remplacé le droit, la justice de Dieu. L’absinthe, c’est une liqueur très alcoolisée, elle rend très vite ivre. Voilà l’ambiance qui règne dans les assemblées dont la vierge est tombée. Ils sont ivres, ils ont perdu toute lucidité et ils divaguent en ne réalisant plus leur état d’adultère spirituel.

Et cette ivresse, cette débauche touche même la ville Sainte nommée Jérusalem, on n’y exercera plus un saint sacrifice, c’est terminé… et fixer encore son regard sur ce faux royaume est stérile. La preuve, Jean dans le livre de l’Apocalypse parle d’une « nouvelle Jérusalem »; Pas une cité uniquement céleste comme on aime nous le faire comprendre ; non Jean parle d’une ville sainte qui descend du ciel et qui est « préparée comme une épouse qui s’est parée pour son époux ».
Donc si cette ville descend du ciel, c’est déjà qu’elle n’y est plus ; et si elle descend c’est pour venir où ?
Sur terre bien-sûr.
En plus elle ne ressemble plus à une ville mais à une épouse, à un groupe de croyants préparé par Dieu. Là les choses prennent une tout autre tournure vous ne croyez pas ?
Donc il est impossible que ces endroits du passé abritent à nouveau le royaume de Dieu.
En plus on vient de le lire avec Jean 3:3, on sait ce qu’il faut faire maintenant pour voir ou pour entrer dans le royaume de Dieu.
La clé, elle n’ouvre pas la porte d’une église ou la porte du ciel, la clé, Jésus l’a donné à Nicodème, elle ouvre l’âme : « il faut que tu naisses de nouveau, que tu naisses d’eau et d’esprit ». Et le bâtiment faisant office de temple n’est pas en dur, le royaume de Dieu alors sera en toi, bien en toi.

« Car le royaume de Dieu, ce n'est pas le manger et le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit. » (Romains 14:17).
Pour résumer, c’est le Saint-Esprit ayant fait son tabernacle en nous qui forment ensemble le royaume de Dieu. L’âme régénérée par l’Esprit, c’est le royaume de Dieu.

LA JUSTICE EST LA CLÉ QUI OUVRE LE ROYAUME DE DIEU

Maintenant avez-vous remarqué pourquoi le royaume de Dieu est très souvent (pour ne pas dire toujours) lié à la justice?

Ici dans le verset que nous venons de lire l’apôtre Paul le pointe en premier et Jésus dans les Évangiles nous le présente ainsi
Matthieu 6:33: « Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. »
Un constat : le royaume ne se trouve pas sans la justice.
La justice c’est la clé qui ouvre le royaume de Dieu.
Le premier tour de clé, la première œuvre de justice à faire c’est: (je ne cesserai de le répéter) de se repentir ; « Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche» disait aussi Jean-Baptiste prêchant dans le désert de Judée.

Ça y est la boucle est enfin bouclée.

Nos œuvres, une fois que nous nous sommes repentis, se voient alors naturellement puisque le royaume de Dieu en nous produit du fruit, un fruit de justice. (Un fruit digne de la repentance disait Jean-Baptiste aux faux convertis)

Quelles sortes de fruits justes ?

Des actes d’amour, oui…mais ce n’est pas suffisant, des actes spontanés d’amour pour les autres.

J’insiste sur le mot clé : SPONTANÉ
Un acte spontané c’est un acte qui se fait de soi-même, sans avoir été provoqué, sans cause apparente, non déterminé, sans contrainte, et qui peut même, nous dit le dictionnaire, échapper aux règles établies.
J’aime cette partie de définition qui nous montre que dans la spontanéité, il y a ce côté rebelle qui échappe même à tout contrôle, et par conséquent  qui échappent aussi aux règles sociales ou religieuses établies.
Dieu aime être surpris par nos actes d’amour spontanés.
Il est à la fois surpris mais réjoui car lui, sait qui en est l’instigateur. Jésus ne faisait jamais rien sans le voir chez son Père.

Alors nous avons bien entendu cette équivalence avec la nature. Un arbre fruitier porte naturellement et spontanément du fruit.
Pour nous c’est la même chose, on ne se force pas à produire du fruit, on en produit naturellement car nous portons l’arbre en nous.
Nous avons été greffés au cep de la vigne royale.

Alors me direz-vous, mais à quoi sert d’aller chaque dimanche ou chaque samedi à une messe, à un culte, à un office ou à un rendez-vous hebdomadaire pour y être enseigner?

Après ce que je viens de vous dire, je répondrais : cela ne sert à rien si le royaume de Dieu est en vous.
Mais, pourquoi Dieu a-t-il dès le début alors instauré une telle pratique habituelle ? Pourquoi souhaite-t-il une rencontre hebdomadaire ?

Souvenez-vous, chaque septième jour de la semaine, les hébreux ne faisaient aucun ouvrage, ils se reposaient (et ce n’est pas assez souligné), mais ils humiliaient leurs âmes (Lévitique 16 :31).
Par conséquent, c’est un jour ou l’on devait être purifié de ses péchés, où l’on devait s’examiner pour que personne ne soit tenté par des idoles.

Quel sens avec notre pratique hebdomadaire ?

Je pense que les cultes de louange ont remplacé la vraie adoration qui se fait au moyen d’une réflexion sainte et honnête sur soi-même.

Cette pratique est indispensable pour rentrer dans les parvis du Seigneur. Elle devrait être comme un jour de Sabbat, donc un jour de jugement.
Peu importe le jour, (samedi, dimanche, lundi mercredi, peu importe) mais le plus important c’est que cela soit un jour où l’on passe du temps à faire un inventaire, à dresser la liste des actions qui ont plu et surtout celles qui ont déplus au Seigneur ; bref nous devons estimer objectivement où nous en sommes avec Dieu.

Sommes-nous réellement agréés de lui ?

Alors le plus important c’est que l’on se purifie en jugeant ses fautes.
·       Juger si nous n’attristons pas l’esprit par notre manque d’ardeur.
·       Juger, si notre pardon devient difficile.
·       Juger, si nos choix sont des sacrifices qui plaisent au Seigneur.
·       Juger, si nous sommes encore investis d’actes d’amour spontanés.
·       Donc, juger si nous ne tombons pas dans l’adultère en nous forçant à faire des actes de justice (on force à ce moment-là notre nature qui n’est pas la vraie).

·       Par exemple ; se dire : « Comme il est écrit que je dois pardonner,(« pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ») donc je pardonne ».


Eh bien en faisant ainsi votre objet du pardon, ce pour quoi vous pardonnez, ne sera jamais brûlé définitivement sur l’autel, il reviendra toujours vous remettre en mémoire le souvenir désagréable de l’injustice ; et avec le temps, ce souvenir désagréable créera en vous de l’amertume. Vous finirez alors par être un éternel offensé.

·       Autre exemple ; « je donne parce que la Bible dit que celui qui sème récolte au centuple ».

Qui ne connais pas ce verset si utilisé dans les églises : « Donnez, et il vous sera donné: on versera dans votre sein une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde; car on vous mesurera avec la mesure dont vous vous serez servis » ?
Oui on insiste beaucoup sur la première partie pour montrer l’abondance, la bénédiction en retour…mais attention on vous mesurera, ce qui signifie qu’on jugera votre cœur dans la situation. On devrait comprendre le verset de la manière suivante : On vous donnera une bonne mesure en retour pour pouvoir redonner ensuite. Si vous donner en espérant recevoir pour vous-mêmes…
Vous jugez alors que votre cœur ne donne pas puisqu’il attend un retour. Vous ne donnez pas, vous investissez c’est différent. Quand je vais donner mon argent à la banque pour y recevoir un intérêt, je ne le donne pas, j’investis à la banque. Si votre cœur est dans l’investissement, il n’est pas dans un don libéral. Vous ne donnez plus sans rien attendre en retour. Votre droite sait ce que fait votre main gauche. Vous n’exercez plus l’aumône, ni la justice de Dieu à ce moment-là.

Par conséquent : juger (et vous aurez fait le lien avec discerner), c’est discerner si notre marche est toujours orientée dans la bonne direction.
C’est pourquoi le sacrificateur ou le juge (le prophète) dans l’Ancienne Alliance avait autant d’importance.
Et aujourd’hui, eh bien nous avons besoin comme d’hier, d’un juge pour confirmer que notre marche est juste ou au contraire qu’elle nécessite un retour en arrière, comme le montrerait une conversion (une conversion, c’est un demi-tour, un changement radical à 180°).

Attention, le modèle biblique du départ est bien différent de ce que nous connaissons aujourd’hui avec les assemblées chrétiennes. Le juge est devenu un roi imposteur. Il règne comme un loup règne sur sa proie et pas comme un berger.
Le pasteur berger juge parce qu’il se fait lui-même jugé par Dieu.

Comment Dieu juge-t-il son peuple ?

Elohim Dieu pluriel, Elohim Dieu uni à ses fils et filles, annonce sa justice (à qui ? à une seule personne ?…non) au milieu de son peuple. C’est pourquoi tout se fait en accord les uns avec les autres et que la confirmation est collective et non individuelle.: Vous ne pouvez, vous seul, décider si le royaume de Dieu est en vous.
Il se voit de l’extérieur, ce royaume. Mais pas dans l’apparence, seulement dans la profondeur de nos actions. Donc une tierce personne sacrificateur, (aujourd’hui une personne convertie) doit pouvoir elle-même le constater et le confirmer.

Par conséquent, vous aurez sans doute compris la double nécessité de se rassembler entre croyants : afin que vous jugiez les uns les autres de votre consécration. Et tout cela autour d’une manne, d’une nourriture apportée par un juge. Et cette nourriture doit être récente.
C’est une nourriture qui est reçue par l’Esprit comme la manne mangée le jour du sabbat qui datait de moins de 2 jours ; et qui a comme objet principal d’éclairer l’assemblée.
La lumière du Saint-Esprit éclairera les habits de chacun.
Dans quel But ?
Jésus le dit à ses disciples
Car : « Il n'y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu »

Les tâches cachées seront révélées de toute manière ; même si des choses ont été dites en secret et faites dans le noir le plus absolu, sans aucun témoin (Luc 12 :3).
Jésus savait très bien que le levain hypocrite rentrerait dans l’assemblée et en plus de manière cachée ou dissimulée.
Mais Dieu avait institué le sabbat pour dévoiler l’hypocrisie.
D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si des religieux hypocrites viennent accuser Jésus le jour du sabbat de violer la loi.  Ils ne réalisent pas qu’ils se mettent à découvert en s’accusant eux-mêmes de ce péché.

Dans quel but vouloir s’attaquer à ce venin qu’est l’hypocrisie ?

Bien-sûr pour démasquer les menteurs, mais ce n’est pas que dans le seul but de démasquer les menteurs.
C’est parce qu’au départ ce venin aide aussi dans la préparation de l’Epouse de l’Agneau. Le poison l’aide à se purifier pour devenir comme l’Agneau immolé ; et dans la pratique hebdomadaire ou sabbatique,  le venin hypocrite sert pour juger de l’état de notre vêtement de vierge.

Car le royaume de Dieu s’établit dans une nouvelle Jérusalem, c’est vrai, mais aussi dans un nouveau sabbat.
Un sabbat qui permettra de juger de la blancheur du vêtement de l’Epouse, d’apprécier cet éclat, qui contrairement aux autres est comme son Epoux, sans péché.

Pour terminer rappelons que le vrai culte, ce qui touche le plus le cœur de Dieu c’est tout ce qui est fait dans son royaume, c’est ce qui est authentique, et vrai.
Beaucoup plus fort que de longues prières, ce sont nos actes d’amour spontanés, et nos retours à lui, faits aussitôt que l’on s’est jugé sali.

PROFITONS DE CE JOUR DE SABBAT POUR SE METTRE EN ORDRE AVEC NOTRE SEIGNEUR :
SOMMES-NOUS TOUJOURS AGRÉÉS DE LUI ?

Amen

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