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Par Eric Ruiz
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Alors que je
voulais répondre brièvement à une question d'une chrétienne sur la dîme,
l'Esprit Saint en décida autrement à ma grande surprise. Et je vous livre
maintenant les fruits de cette écoute, rectifions de cette communion sainte.
La dîme :
c’est une obligation, une ordonnance qui a été donnée à Moise pour les Hébreux
afin qu'ils donnent une partie (la dixième partie) de leur bétail et des
produits de leur terre pour les sacrificateurs et les Lévites qui, eux, ne
devaient pas s'occuper d'autres choses que du Temple ou du Tabernacle.
Cela se
faisait comme un impôt, une obligation légale, mais rappelons-le dans le but de
répondre aux besoins des Lévites qui n'avaient aucune rémunération de leur travail.
Il leur
fallait une aide.
Aujourd'hui
les prédicateurs, les pasteurs, les dirigeants d'Eglises se sont placés où ont
été placés par leur institution, pour recevoir non pas du bétail, mais 10% du
revenu de leurs membres.
Eh bien cette manière de faire, ce procédé est
complètement inique.
Pourquoi ?
Car ces
dirigeants se placent ou on les place comme étant les seules personnes sans
revenus et devant s'occuper du service des sacrifices.
Ces élites
ont-elles reçu une prêtrise spéciale ?
Ont-elles alors une prêtrise supérieure
?
Or
Aujourd'hui, le tabernacle tout comme le Temple de construction en dur, n’existe
plus.
Le nouveau Temple c'est le corps, l'être humain, là où règne le Saint-Esprit.
Le nouveau Temple c'est le corps, l'être humain, là où règne le Saint-Esprit.
Les
sacrifices dans l'assemblée sont faits par conséquent, par tous les membres qui
la composent, car ils sont tous des temples ; Sachant en plus que se sont
des sacrifices de cœur dont l'objectif est de faire brûler la chair, leur
propre chair.
Mais
rappelons-le, le plus grand sacrifice a été fait par Jésus-Christ notre Seigneur
pour le rachat de tous et la purification de nos pêchés.
Alors les
prédicateurs font une pirouette avec cette doctrine en disant que celui qui
donne sa dîme la donne à Dieu lui-même. Et en plus si on ne le fait pas on se
place sous la malédiction de Malachie 3:10, en n'apportant pas toutes les dîmes
à la maison de Dieu.
Mais ce sont
eux qui se placent sous une malédiction, car ils brandissent une Parole qui les
place au même rang que les prophètes.
Sont-ils
prophètes?
La preuve que
non, puisque l'obligation s'est transformée en offrande.
Ont-ils vu
cette évolution ?
L'ont-ils vu
venir ?
En
tiennent-ils comptes?
Pas du tout; Car comme ils ne sont pas morts au péché, ils sont encore esclaves de la loi.
Et par
conséquent ils ne voient que la loi, qu’ils tiennent pour vérité.
Alors oui, la
dîme existe toujours mais c'est une offrande. Un acte de cœur non déterminé,
libre. Concrètement si vous voulez donner 10% de vos revenus,
vous le pouvez, c'est juste. Mais plus aussi, si c’est
votre désir et moins aussi, si c’est votre choix. Il n'y a aucune limitation,
car tout est une affaire de cœur.
Jésus de
Nazareth n'a jamais dit que la dîme était mauvaise.
Payer la
dîme de la menthe, de l'aneth et du cumin, est une très bonne chose leur a t-il
dit.
Il a
simplement remis les choses à leur place et précisé aux religieux scribes et
pharisiens que leurs malheurs proviendraient du fait qu'ils n'auraient pas dû
sous-estimer l'intention qui
va avec.
Il n'aurait pas dû payer la dîme en ne regardant que l'obligation, mais le faire avec justice, amour et fidélité (Matthieu 23:23). En cela ils ont négligé le plus important. Obéir aux lois avec la bonne intention : celle de l’amour, de la justice et de la fidélité. Remarquez bien, ce sont toujours les trois mêmes choses qui manquent aujourd’hui encore dans les assemblées institutionnelles (l’amour, la justice et la fidélité).
Il n'aurait pas dû payer la dîme en ne regardant que l'obligation, mais le faire avec justice, amour et fidélité (Matthieu 23:23). En cela ils ont négligé le plus important. Obéir aux lois avec la bonne intention : celle de l’amour, de la justice et de la fidélité. Remarquez bien, ce sont toujours les trois mêmes choses qui manquent aujourd’hui encore dans les assemblées institutionnelles (l’amour, la justice et la fidélité).
Donc les
religieux d'aujourd'hui se trompent.
Ce sont des conducteurs aveugles comme Jésus le
disait, Ils sont aveuglés par leurs désirs charnels, qui là encore, ont
remplacé la révélation.
Les Lévites
ne remplaçaient pas Dieu, ils avaient le rôle et ils tenaient la place qu'on
leur avait assignée de par leur famille et leur tribu. C'était une
consécration. Ils étaient oints pour cela.
Aujourd'hui
qui est consacré, qui est oint ?
Chaque
membre d'une Eglise qui souhaite combattre sa chair (ou circoncire sa chair) et
donner la plus grande place à l'Esprit : est un Lévite, un sacrificateur, un
prêtre; Puisqu'il a été oint par le Seigneur.
Comment
a-t-il été oint ?
Par son
baptême de repentance. J’ai bien dit de repentance, pour ne pas employer le
baptême d'eau qui n'est que la confirmation de ce qui existe dans le cœur du
repenti.
Et le
souverain sacrificateur, le grand prêtre c'est Jésus-Christ.
Si on suit
donc cette logique: chacun, chaque repenti, devrait donc recevoir légitimement
une partie de la dîme.
Mais si le
sacrificateur (le repenti) travaille cela n'est pas juste non plus.
Alors
admettons que personne ne travaille autrement que par le fait de passer son
temps à se purifier soi et les autres ; Eh bien tous devraient recevoir une
partie de la dîme des autres.
C'est à dire
: RIEN ;
Ou sinon
cela voudrait dire que tous les chômeurs de l'Eglise reçoivent la dîme de tous
ceux qui travaillent.
C'est pire,
c'est l'apologie du chômage et de l'assistanat.
On en
reviendrait à la même aberration que pour le prédicateur qui se fait payer pour
les messages qu'il amène à ses membres.
C'est comme
s'il se mettait volontairement au chômage afin de bénéficier de l'aide de ses
membres.
C'est la
même logique convenez-en.
Une logique
d'assistanat.
Au fait
(petit aparté): Moïse , le grand pasteur du peuple Hébreu, qui annonçait la
Parole de Dieu recevait-il une partie de la dîme?
De quoi vivait-il,
lui qui était un Lévite ? Mais qui n'était pas consacré comme l'étaient les
fils d'Aaron?
Réfléchissez,
méditez avec la Bible.
Alors
maintenant, passons à la fameuse loi d'obligation de payer la dîme.
Aujourd'hui
la théologie nous donnerait un exemple irréfutable avec Abraham et Melchisédek,
pour expliquer l'obligation de la dîme !
Dans le
livre de la Genèse chapitre 14:18 et dans l'épître aux Hébreux chapitres 6-7,
nous y lisons qu'Abraham ou plutôt Abram donna à Melchisédek la dîme de tout
son butin gagné contre les rois ennemis ( au passage les 4 rois ennemis font
penser forcément aux 4 sauterelles qui ont dévoré la sainteté au chapitre 1 du
livre de Joël).
Et Melchisédek a une double couronne: il est le roi de Salem, le roi de paix et le roi de justice. Paul en fait mention
pour expliquer qu'il était "
sacrificateur du Dieu Très-Haut ".
Etait-ce notre grand prêtre Jésus-Christ ?
Oui et Non.
Oui car il
est Dieu venu en chair mais Non, car il ne venait pas sauver, mais purifier. Il
n’était pas Jéschua (L’Eternel est salut) le Fils unique qui allait se
sacrifier pour les fautes de tous, mais Hébreux 7 nous dit "qu'il est rendu semblable au Fils de Dieu".
Il était une
théophanie. C’était une forme très élevée de Dieu, ou plutôt pour employer un
mot familier maintenant : Dieu était " transfiguré " pour venir
purifier.
Il est venu
avec du pain et du vin, pour célébrer une sainte communion.
Il est venu
montrer ce qui est pur et ce qui apporte la paix et la justice, c’est la
fonction de tout souverain sacrificateur. Il montrait alors les prémices de ce
que ferait le sacrificateur.
Il est venu
montrer l’ordre des choses ; C’était l’ombre des choses à venir puisqu’après
lui, viendrait une purification plus excellente par le sacrifice du Fils de
Dieu.
Mais ces
versets de l’épître aux Hébreux ont servi à asseoir de mauvaises
doctrines:
Je
m’explique :
Abraham a, c’est vrai, reçu l'inspiration de donner sa dîme bien avant la loi du
Lévitique.
Je le crois.
Et cela démontre qu’il avait conscience
de ses fautes. Abraham n'était pas en paix. Il avait conscience
d'une justice passant par le rachat des fautes commises.
En Melchisédek,
Abram voit le sacrificateur envoyé de Dieu, pouvant brûler ses péchés.
Mais certaines
doctrines vont trop loin. Elles affirment,
que parce que nous sommes Fils d'Abraham il y aurait toujours une dîme à verser
à Dieu, aujourd'hui ;
Et comme Melchisédek
représente une figure de Jésus-Christ donc de Dieu, cela confirmerait que cet acte est perpétuel.
Ainsi donc tous
les fils d’Abraham devraient payer leur dîme chaque mois !
Alors là,
croire comme cela c'est une hérésie. ET MÊME BIEN PLUS , BEAUCOUP
PLUS !
Pourquoi ?
C'est se
servir de la Parole et détourner les croyants de la vraie sainte doctrine.
D'abord,
nous lisons : "Jésus a été fait
souverain sacrificateur selon l'ordre de Melchisédek ".
Cela ne
signifie pas que Melchisédek, bien qu’il possède tous les attributs de Jésus,
ne les a pas tous manifestés. Est-il venu sauver l’homme du péché ? Il est
venu montrer et manifester surtout un attribut spécifique de Dieu : la
purification, il va bénir Abram en le purifiant de ses fautes, pour qu’il
devienne Abraham, mais le souverain sacrificateur ne vient pour aucun autre
homme.
L‘ordre de
Melchisédek montre un ordre chronologique et une classification, mais pas
seulement.
Chronologiquement,
le premier souverain sacrificateur c’est Melchisédech parce qu’il est l’homme parfait,
sans généalogie, sans défaut, c’est-à- dire né de Dieu sans passer par la chute
et le péché. Il fallait quelqu'un de pur pour pouvoir purifier dés le départ.
L'ordre de
Melchisédek n'est pas supérieur à celui d'Aaron. Il est le point de départ et
montre le chemin du sacerdoce lévitique d’Aaron. Ils font partis de la même
famille, de la même classification des souverains sacrificateurs, tout comme
Jésus d’ailleurs, en fait partie.
Pour prendre
un autre exemple :
Jésus
n’étais pas supérieur à Elie, il faisait partie de l’ordre des prophètes comme
Elie.
Mais ici la
dîme a un rôle bien précis : elle sert de monnaie d’échange pour le rachat
des fautes d’Abram.
Puis elle servira pour le rachat des fautes du peuple Hébreu sous la loi qui a été donnée à Moïse.
Puis elle servira pour le rachat des fautes du peuple Hébreu sous la loi qui a été donnée à Moïse.
Et voyez-vous :
Pourquoi vouloir la perpétuité de la dîme, c’est grave ?
J’insiste : c’est même d’une gravité
extrême !
Car avec une
telle conception des choses, on a complètement occulté la notion de rachat, Alors qu'elle est fondamentale.
Il y a un prix de rachat très élevé. Et ce
prix a été payé au prix fort !
(1Corinthiens
6 :19-20) " Ne savez-vous pas que votre corps est le
temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous
ne vous appartenez point à vous-mêmes? Car vous avez été rachetés à un grand
prix. "
Revenons à
l’origine de la dîme :
En versant
sa dîme à Mechisédek, Abram a fait comme s'il la versait à un Lévite.
Mais cela
montrait aussi et surtout que le rachat total n'était pas dans une dîme, ou
même dans l'addition des dîmes versées ; tout rachat resterait toujours
incomplet.
Cette forme
de rachat n’avait aucune évolution possible, elle resterait périodique et
perpétuelle.
Melchisédek,
roi de paix et de justice, permettait à Abram, par ce rachat des fautes qu'il
avait commises, de recevoir la paix, mais une paix provisoire qui
disparaîtrait dès que d'autres fautes seraient commises par la suite.
Pour
recevoir une paix durable, il fallait une nouvelle alliance.
Melchisedek
bien que parfait montra alors que le rachat qu'il permit était une
alliance imparfaite et que la nouvelle alliance ne pourrait se faire que dans un sacrifice
parfait, celui bien sûr de notre Seigneur Jésus-Christ, qui a racheté notre vie
à grand prix; Au prix de sa propre vie.
Car sans effusion de sang le salut ne restait que partiel et non éternel.
"Jésus est pour cela même le garant d'une
alliance plus excellente" (Hébreux 7:22)
Donc
maintenant avec le sacrifice de rachat de notre Seigneur, nous savons que la
dîme de rachat n'est plus nécessaire.
Si une dîme
existe je le rappelle, elle est faite en toute libéralité, mais pour aucun
rachat, juste pour une offrande.
Nous n'avons
rien à racheter, Jésus-Christ l’a fait pour nous.
Donc nous
pouvons dire adieu à toute forme d'offrande obligatoire ou toute forme
d'offrande déguisée en impôt.
Nous n'avons pas à racheter ce qui a déjà
été acheté.
Nous ne nous appartenons plus nous-mêmes, (1
Corinthiens 7 :22-23) " l'homme libre qui a été appelé est un esclave
de Christ. Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des
hommes. "
Paul parle
de la perfection du souverain sacrificateur parfait qu’était Christ sur terre
au chapitre 5 de l’Epitre aux Hébreux avant de dénoncer la forme de blasphème
contre l'Esprit du chapitre 6. Ce n'est pas un hasard.
Paul suivait
sa logique d'argumentation pour annoncer un rachat qui avait commencé par
Melchisédek et qui finirait par le sacrifice de Jésus-Christ.
Mais Paul
voulait aussi montrer qu’au milieu se joindrait l’HOMME IMPIE qui voudrait
annuler ce rachat ; c’est ce fameux blasphème contre l’Esprit.
Mes frères
et sœurs, derrière l'obligation de la dîme se cache quelque chose de grave, de
très grave. Et bien plus qu’un esclavage par l’argent et fait par des hommes
oints en plus.
C'est le sacrifice de notre Seigneur qui est
annulé en pratiquant cet impôt.
Les Lévites
étaient payés pour immoler les viandes destinées au rachat des péchés du peuple
Hébreu.
Cela revient
de nos jours, à continuer de payer pour le sacrifice de nos péchés.
LE PLUS
GRAND BLASPHÈME N’EST-IL PAS LA !
Le Seigneur
n'aurait-il pas TOUT payé ?
La dîme dans
ces conditions n’est pas une hérésie, C’EST UNE ABOMINATION .
C'est Jésus le vrai et unique sacrifice
perpétuel ; et aujourd'hui, son sacrifice n'est plus reconnu par une grande
majorité de chrétiens.
La preuve tous
les chrétiens disent oui bien sûr, Jésus m’a racheté, mais pourtant presque
tous payent la dîme à des élites CORROMPUES, exerçant les fonctions de
souverain sacrificateur. Eux, êtres impurs se sont placés au côté de
Melchisedek qui lui était pur, et ils se vantent d'exercer un sacerdoce
supérieur. "Malheur à eux", c'est ce que dirait Jésus, "Ils profanent
mon sacrifice sacré"!
Ils font le
lit du dévastateur par leur abomination.
Maintenant
le sacerdoce de payer sa dîme étant exclue, cela n'empêche pas la possibilité
au conducteur de troupeau de percevoir un salaire ou une rémunération.
L'assemblée
en connaissance de cause peut librement consentir à verser un salaire au
pasteur, ou à l’enseignant.
Paul avait refusé
d'être à la charge de l'assemblée des Corinthiens et préférait continuer à
vendre ses tentes, quitte à manquer pour lui même.
Mais si une
assemblée conçoit l'importance de le faire pour soulager le conducteur, et lui
donner plus de temps dans sa fonction, elle est libre de le faire, en cela la
justice est respectée.
Mais
personne ne doit imposer une quelconque donation.
Il n'y a pas
de loi, ni de texte biblique le mentionnant comme un précepte.
Ceux qui
tordent les Écritures et l'exigent des autres s'exposent à un jugement
terrible.
Dans
l'assemblée, comme je l'ai développé dans un ancien message sur "L'argent dans l'Eglise", tout doit être fait collégialement, décidé avec les anciens et l'Eglise. Rien ne doit être la décision unique d'un seul
membre.
Ce qui
compte est de pourvoir aux besoins de tous, en donnant des priorités pour ceux
qui sont le plus touché par le manque.
Dans la première
assemblée de Jérusalem, on mettait tout aux pieds des apôtres et les biens
étaient repartis en fonction des besoins. Et cela constamment (pas une seule fois) pour qu'il n'y ait aucun pauvre ou
aucun délaissé. (Actes 2 :42)
Personne
n'avait de passe droit ou de privilèges.
La dîme
conçue comme un sacerdoce Lévitique bannit l'offrande aujourd'hui.
Le don fait
dans l'amour est étouffé dans l'œuf et les vrais besoins sont exclus.
Mes frères
et sœurs soyons de ceux qui considèrent le don de l'amour au-dessus des lois et
des temps.
Le Seigneur
juge son peuple. Le suivre en le louant de sa bouche ne suffit pas. Louons-le
de tout notre cœur, de toutes nos forces et de toute notre âme.
Le pain et
le vin amené par Melchisèdek, n’était pas innocent.
Il montrait
que la purification se trouvait dans la communion fraternelle et que la Pâque
et le sacrifice parfait figurait déjà dans le plan de Dieu (Melchisèdek a fêté
la Pâque avec Abram avant qu’elle soit vécue et qu’elle devienne une loi par
Moïse).
La dernière
chose c’est que l’ordre de Melchisèdek a un mystère :
NOUS, SES
ELUS, NOUS SERONT TRANSFIGURES AU SON DE LA DERNIÈRE TROMPETTE ; NOUS SERONT
CHANGES COMME MELCHISEDEK, PUR, PARFAIT SANS PÉCHÉ, possédant les attributs de ROI
DE JUSTICE ET ROI DE PAIX ;
C’est ce que
Jésus répond à Pierre pour ceux qui ont tout quitté et qui l’ont suivi dans
Matthieu 19 : 28
" …quand le Fils de l’homme au renouvellement de toute chose sera assis
sur le trône de sa gloire, vous qui m’avez suivi, vous serez de même assis sur
douze trônes et vous jugerez les douze tribus d’Israël ".
Nous exercerons bien les attributs royaux de paix et de justice.
Nous exercerons bien les attributs royaux de paix et de justice.
L’ordre
n’est-il pas de revenir dans l’état du départ ? dans le même état que nous
montrait le premier sacrificateur ?
Car nous,
ses élus, nous-sommes aussi sacrificateur du Très-Haut selon l’ordre de
Melchisèdek.
Amen
Il y a un.point important. La Dîme limite le dons de soi ...1 Thessaloniciens. Nous exortent à être irreprochable Corps Âmes Et Esprit...tous notre être doit appartenir au Seigneur notre tête...et non 1 /10 . Shalom
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