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Par Eric Ruiz
Romains 1 :18 : « La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive ».
La vérité, un croyant la limite souvent au seul champ
religieux. Combien pensent que la révélation ne concerne que des lois ou des
principes spirituels. Mais cette vérité, cette révélation, va bien au-delà.
Paul, on vient de le lire parle de toute forme d’injustice, ou de toute forme d’impiété s’attaquant
à la vérité. Et, Dieu par sa colère révèle la vérité d’une manière générale. Il
ne s’occupe pas, comme certains théologiens voudraient le restreindre, à sa
parole ; celle écrite et contenue dans un grand livre saint comme la Bible.
Sa parole est créatrice. Elle crée bien au-delà des limites de nos sens. Les inventions, les avancées scientifiques, techniques ou technologiques proviennent d’une inspiration divine. Et des hommes ou des femmes ont reçu des dons pour les manifester, des dons qu’ils ont revendiqué au ciel sans le savoir puisque nous étions autrefois des êtres célestes missionnés. La mémoire de tout cela a été effacée.
« J’ai vu que les justes et les sages, et leurs travaux, sont dans la main de Dieu, et l'amour aussi bien que la haine; les hommes ne savent rien: tout est devant eux. » (Ecclésiaste 9 :1).
Alors, sans tomber dans la théorie du complot, les forces
du mal s’opposent constamment à la vérité. C’est un constat lui aussi général.
Il y a des vérités que l’être humain tient caché, alors qu’elles pourraient
sauver ou guérir une quantité spectaculaire de gens malades.
J’en ai pour preuve encore une fois, ce que Dieu m’a montré la semaine dernière.
Mon frère Emmanuel, m’a montré un livre bourré de références
et de témoignages surprenants, un livre que j’ai aussitôt acheté et que j’ai lu.
Ce livre traduit de l’américain et publié en 1987 par un éditeur courageux,
explique que dans les années 1930 des études et des expérimentations ont été
volontairement ignorées par un corps de scientifiques et de décideurs
américains en charge de la lutte contre le cancer. Ils ont même rejeté et
étouffé ce champ d’études pour la bonne raison qu’il rentrait en conflit avec
leurs propres croyances et leurs intérêts personnels.
Alors, en révélant une telle opposition, c’est sûr, je ne
vais pas en surprendre plusieurs d’entre vous ; comme aussi, je vais
réveiller l’incrédulité voire le déni systématique de plusieurs.
Mais la vérité est faite pour être mise en lumière. La vérité révèle malheureusement toujours la même chose : Que les intérêts de pouvoir et d’enrichissement écrasent les intérêts humanitaires ; Ou dit autrement, que l’amour de soi écrase l’autre. Ou encore qu’Abel est sacrifié au bénéfice de Caïn. Et ici, la guérison du cancer est sacrifiée sur l’autel des intérêts et profits.
Ecclésiaste 2 : 8 « Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n'a ni fils ni frère, et pourtant son travail n'a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. ».
L’homme irrégénéré, même abandonné de tous, sans personne à ses côtés, sans aucune charge sociale cherche et cherchera toujours son salut dans les richesses de ce monde.
Pour en revenir à notre sujet. Ce livre explique que la
stratégie liée à la thérapie du cancer a été décidée de longue date. Déjà la
famille Rockefeller au début du XXème siècle prenait parti pour les travaux du
savant français Louis Pasteur. Car en même temps, elle délaissait les recherches
de Pierre Béchamp qui est allé beaucoup plus loin que Pasteur. En choisissant
Pasteur, ils ont élu prématurément l’approche chimique à toute autre approche
médicale différente.
Les pontes de la médecine américaine représentés par le Rockefeller Institute (un véritable Sanhédrin, constitué d’un ensemble de scientifiques labélisés et de médecins sélectionnés) ont modélisé le dogme du traitement du cancer que l’on connait de nos jours : La chimie, les injections, etc. Le pire, c’est que les autres recherches et pratiques médicales ont été volontairement écartées, jamais reconnues, pour au final tomber dans l’oubli.
Pourtant Royal Rife,
pour ne pas le nommer, passionné par la bactériologie, les microscopes et l’électronique
avait conçu dès 1933 un microscope révolutionnaire grossissant 60 000 fois, alors que les autres microscopes
ne le faisaient que 5000 fois.
Rife et ses partenaires (médecins et scientifiques) confirmèrent grâce à cette avancée technologique les travaux d’autres chercheurs ; et ils virent que le cancer se développait autrement. Le cancer évoluait à partir d’une bactérie qui mutait ensuite en virus. Après maintes expérimentations, Rife conçut une fréquence électrique indolore capable de détruire ce virus très rapidement, sans toucher aux tissus vivants.
C’est une évidence d’affirmer que cela fait longtemps que
le cancer intéresse la médecine, mais pas qu’elle. Or, tout comme en religion, les dogmes sont imposés par une
intelligentsia.
L’intelligentsia c’est
quoi ?
Elle proviendrait d’un mot russe qui désigne une classe
sociale avant-gardiste, prête à conquérir le pouvoir. Bref une élite
d’intellectuels de tous genres. Ses experts ainsi élus rentrent dans un jeu
très lucratif où leurs subventions ne cessent de s’accroitre, où les
conférences, les essais cliniques, les thérapies leur rapportent toujours plus
d’argent et de notoriété.
Si bien que la thérapie du cancer s’est mondialement
limitée à des formes agressives que nous connaissons dans nos hôpitaux, à
savoir : la chimiothérapie, la chirurgie et la prescription
médicamenteuse.
Pourtant plusieurs petits groupes de chercheurs ont
expérimenté une autre forme de thérapie, celle-ci moins couteuse, beaucoup plus
efficace, plus rapide et moins dévastatrice, sans souffrance et sans séquelle.
Une thérapie qui ne touche pas une zone malade mais la bactérie elle-même.
Cette thérapie a été étouffée dans l’œuf. Pourquoi ?
Car elle concurrençait les intérêts financiers d’un milliardaire, Rockefeller, et du lobby pharmaceutique. Elle pourrait mettre en péril l’éclosion de Big Pharma, mais aussi de tout un système médical très lucratif ; Bref une manne financière synonyme d’enrichissement perpétuel.
Pourtant, la méthode développée par Rife a elle aussi des résultats
concluants. Des guérisons rapides, complètes et spectaculaires ont eu lieu. Des
guérisons ont mêmes eut lieu là où la chimiothérapie avait échouée chez des
patients en phase terminale. Parce que des médecins se sont portés garants. Ils ont
en toute honnêteté, essayé de faire valoir et d’appliquer les travaux de Rife.
Mais
leurs avancées comme leurs succès spectaculaires ont été dissimulés.
D’abord, on leur a gentiment prié de renoncer. Puis voyant
leur persévérance, le mal s’est déchaîné contre eux. Injures, mépris, filature,
censure, intimidations, vols de matériel, tentative de meurtre, tout a été
tenté pour les dissuader de stopper leur évolution. La même stratégie de combat
et de persécution qu’avec Jésus-Christ ou ses prophètes.
Et aujourd’hui, cette autre médecine agit toujours, mais
dans un anonymat quasi constant. Les médias ne font pratiquement aucun relais
de ses succès. Ou elle relate les effets de quelques faussaires qui ont refait une
machine inadaptée.
Le mal suit toujours cette même voie. Plutôt que de venir
constater visuellement le succès de cette autre méthode, l’intelligentsia s’est
toujours acharnée sur des détails concernant l’aspect théorique. Royal Rife devait expliquer les
choses comme un élève de première année qui passe un examen. Il devait prouver
sa légitimité en répondant à des questions subsidiaires. Retarder, perdre du
temps, repousser les visites, tout allait dans le sens de le contraindre à l’isolement.
Dans tous les domaines, la révélation est attaquée de cette
même manière là.
Avec Jésus qui guérissait les malades, on venait sans cesse
l’interrompre pour le reprendre sur les détails de la loi mosaïque.
Les chefs pharisiens venaient pinailler sur sa légitimité.
Lui, le fils du charpentier, quel rapport pouvait-il avoir avec son pouvoir divin
de guérison ?
Pourquoi Jésus faisait-il des œuvres le jour du sabbat, ces mêmes œuvres
interdites par la Tora.
Les choses n’ont pas changées. Ceux qui aiment le mensonge
ont leurs propres intérêts charnels qui les renvoient à leur père. Ils ont pour
père le diable qui est meurtrier dès le commencement, dès le départ. Si bien que ce choix opéré par la médecine entre
guillemet « officielle » qui
détermine comment guérir du cancer est un choix d’abord diabolique. Il est
diabolique parce que ce choix sert d’abord d’autres intérêts que la santé.
Mais, face à toute cette corruption médicale, judiciaire,
médiatique, scientifique etc, faisons aussi attention à ne pas tout « surdiabolisé »,
car cela revient à chercher à tout prix à s’exclure soi-même de cette «diabolisation».
C’est encore se nourrir du lait
spirituel que de croire qu’il faille repousser tout ce qui vient du monde et de
ses inventions. Ce n’est pas parce que des choix médicaux ou scientifiques
ont été décidés sans que nous le sachions que nous sommes forcément sous la
domination du mal. Là aussi il est
triste de constater que la sanctification a été mélangée avec des choix que
Dieu ne nous demande pas de faire ou d’avoir fait.
Concrètement eh bien, avoir guéri d’un cancer par la chimiothérapie ne fait pas de la personne, un faux témoin de Christ ou un fils du démon, loin de là. C’était pareil avec la vaccination contre le Covid 19. Combien de croyants ont cru se sanctifier en s’opposant systématiquement à la vaccination ? Et combien ont-été jugés parce qu’ils se sont fait vaccinés ? Ceux qui ont commis le mal ne sont-ils pas justement ceux qui ont jugés leurs frères et leurs sœurs d’une manière comme d’une autre ?
Alors le constat est le même avec Jésus. Face au miracle
médical, s’oppose Mammon, le filtre de l’argent et du pouvoir. C’est lui, ce
filtre, le persécuteur de la vérité. Et c’est ce filtre du mensonge qui fait dire
à Jésus : « Ils m’ont haï sans cause » (Jean 15 : 25).
Ce qui me fait dire que la vérité est sans cesse sacrifiée au profit du profit.
Mais mes frères et sœurs de foi, ne soyez pas amer ou
désabusé face à tant d’injustices et de corruption. Elohim a décidé d’un jour
ou au temps du soir la lumière pointe. Sa colère se manifeste par la vérité qui
chasse le mensonge ; un mensonge si longtemps et si honteusement
dissimulé. Ce mensonge réapparait alors sous ses vrais habits noirs.
Il en est de même pour tous. Et ce fameux romancier Shakespeare l’a lui aussi bien compris, lorsqu’il affirme que « La vérité se montrera au grand jour : un meurtre ne peut rester longtemps caché ». Tout comme l’Ecclésiaste qui dit à la fin de son livre : « Dieu amènera toute œuvre en jugement, au sujet de tout ce qui est caché, soit bien, soit mal. ».
Ce livre dont je vous parle depuis le début de ce massage, a
pour titre : « l’homme qui
savait guérir le cancer ». Cet ouvrage amène en jugement un mode de guérison
tenu longtemps caché. C’est un témoignage « du vin de Babylone » cité
ainsi dans le livre de l’Apocalypse. Ce vin qui enivre les nations ; ce vin, c’est cette vérité cachée. Une vérité
qui montre l’abomination de leurs actes.
Nombreux sont les livres d’histoire qui insistent sur des grands personnages réputés par leurs crimes et leurs nombreux meurtres. Adolf Hitler, ou Joseph Staline en sont des figures emblématiques. Mais d’autres personnages méconnus (parce que agissant dans l’ombre ou sous une fausse identité de bienfaiteur) ont comme eux des millions de morts à leur actif, par leur acharnement à dissimuler la vérité sur la guérison. Pourquoi autant de morts ? Parce que les décès dus au cancer n’ont cessé de croitre au fil des ans. Beaucoup ont été guéris certes avec la chimiothérapie, mais beaucoup auraient pu être guéri autrement.
Les nombreux meurtres causés par cette ivresse abominable de
cacher la vérité, point en pleine lumière. Dans le but surtout de nous montrer
que mettre sa confiance en l’homme est une cause perdue d’avance.
Si nous lisons la page Wikipédia de Royal Rife, c’est évident,
tout va dans le même sens, celui d’un charlatan sans scrupule et sans
légitimité. Il n’y a pas à essayer, alors de prouver quoi que ce soit car toute
ténèbres sera mise en lumière. Que faut-il faire alors pour nous disciples de
Christ ?
« si nous marchons dans la lumière,
comme Dieu le Père est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en
communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché ».
Loin de nous congratuler de ne pas suivre de tels dérives,
veillons plutôt dans nos intentions à ne laisser aucune corruption nous faire
dévier de l’amour pour notre prochain.
Que notre lumière soit celle de notre Dieu et non le reflet
d’une quelconque vanité pleine de convoitise. La lumière de notre Dieu montre
et chasse l’iniquité. Qu’il en soit ainsi.
Amen
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