dimanche 18 juillet 2021

PAIX A CEUX QUI SE SOUMETTENT

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Par Eric Ruiz

Ce vendredi soir 9 juillet, très tard, alors que je décidais d’aller me coucher, j’ai repris mon ordinateur car une phrase me trottait dans la tête : «  tu as la paix si tu te soumets ».

Ces mots résonnaient comme un slogan.

LE SLOGAN ISLAMIQUE

En fait, j’ai réalisé que c’était un slogan islamique.

Le mot Islam est dérivé de Salam, la paix en arabe ; mais il veut dire aussi soumission. L’un ne va pas sans l’autre : C’est la paix par la soumission.

Le Dieu de la Bible pourrait-il nous parler de cette façon : « soumettez-vous à moi et vous aurez la paix » ?

Oui, il pourrait le formuler ainsi, mais comme Dieu préfère la profondeur de nos actes à leurs apparences, il parle différemment. Il sait qu’un orgueilleux peut se mettre à genoux sans changer d’attitude de cœur.

Et puis, Dieu ne veut pas d’un peuple qui se soumette par obligation, mais par amour, il préfère la circoncision de cœur à celle de la chair.

« Tu as la paix si tu te soumets », n’est pas le premier commandement.

Le premier commandement et le même que celui donné à Moïse, il est celui-ci : « Tu aimeras l'Eternel, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. 6Et ces commandements, que je te donne aujourd'hui, seront dans ton cœur.. »

La paix comme la soumission s’octroient par amour, par la grâce.

Se soumettre autrement c’est se placer sous la loi. Et le salaire de la loi, c’est la mort.

Alors, aujourd’hui, il est triste de constater que la soumission n’est pas l’apanage que des islamistes mais qu’elle est l’objectif inavoué des plus forts.  

Leurs dieux est là dans la crainte mais pas dans l’amour.

C’est pourquoi, nombreuses sont les religions qui ont ce fondement principal : qui consiste à être soumis à un Dieu envers qui on craint sa colère.

Le christianisme n’échappe évidemment pas à cette crainte. Il s’est paganisé dans les rites et les coutumes, mais il s’est aussi islamisé dans l’idéologie.

Et concrètement, si tu ne te soumets pas à un mouvement qu’il soit : catholique, protestant, méthodiste, baptiste, évangélique, mormon ou autre, tu ne peux avoir la paix avec eux et être accepté d’eux.


L’ISLAM et LA REPUBLIQUE


Elargissons le débat : l’idéologie islamique a-t-elle touchée aussi la république ?

Sommes-nous aujourd’hui dans une république laïque, en France ?

J’en doute.

La laïcité, contrairement à sa fonction première d’accepter toutes les religions, a permis l’émergence et la proéminence d’une nouvelle religion : L’islam.

En tous les cas l’Islam est devenue la première religion en Europe.

Un fait révélateur en France : les budgets vont beaucoup plus pour la construction de mosquées que pour la rénovation des Eglises, puisque les Eglises se vident alors que les musulmans, de plus en plus nombreux, réclament des lieux pour se réunir ; Et on leur en donne ; la tendance va même, (comme à Lille ou à Clermont-Ferrand), dans le sens de transformer des chapelles inoccupées en mosquées.

Mais l’idéologie de l’Islam, va plus loin, puisqu’elle s’est ancrée dans les cœurs de personnes croyantes ou non.

Dans le concret : notre président nous disait, juste avant de confiner le pays pour plusieurs semaines, le 16 mars 2020 : « Nous sommes en guerre ». 

Cette guerre n’a rien à voir avec une autre. Cette guerre nous montre plutôt une dictature.

Et curieusement le slogan implicite de cette dictature serait : « paix, à ceux qui se soumettent ».

En tous les cas déjà avant, avec les gilets jaunes, la guerre était bien visible contre les insoumis, les contestataires.

 

 SE SOUMETTRE ou AVOIR LA GUERRE

 

Se soumettre à quoi, à qui ?

A-t-on de nouveau une guerre sainte en perspective ? Non, c’est plus caché, plus subtil, c’est une guerre sous couvert sanitaire.

Si tu obéis aux consignes sanitaires, aux lois qu’elle va t’obliger d’accepter tu auras la paix, si tu désobéis tu auras la guerre (et par « guerre », c’est avant tout l’opposition violente venant des soumis eux-mêmes, de ceux qui se sentent sécuriser et en paix dans un système coercitif).

Celles et ceux qui sont convaincus du bien-fondé des lois sanitaires (la majorité) deviennent violent avec les opposants (la minorité) qui eux-mêmes réagissent violemment.

Cette Islamisation politique est bien une réalité.

Le port du masque, les gestes barrières, le couvre-feu, le confinement, la vaccination, en fait toutes ces restrictions ne sont que des moyens pour t’obliger à obéir.

Les dirigeants n’ont pas cherché d’autres alternatives, ni cherché à ouvrir le débat…Pourquoi ?

Parce que soigner n’est pas l’objectif numéro 1. Le but c’est la recherche de la soumission du plus grand nombre possible.

Historiquement, le confinement a été instauré en premier par la république de Chine (un pays totalitaire et sanguinaire).

Qu’ont fait les autres pays ?

 Ils ont confiné la population ; ils appliquent la même mesure sanitaire que celle d’un pays totalitaire sans que cela les gènes et sans que pas grand monde ne réagisse.

Mais quoi dire à la réplique : « c’est pour la santé de chacun, c’est pour la survie de nos aînés » ?

Le message non seulement est bien passé mais plus, il est venu comme une loi juste et enrobée de bienveillance.

Il sécurise la majorité et créé de la haine à l’égard des opposants, des contestataires, qui passent pour des criminels, des parias envers leurs concitoyens.

Et maintenant que se passe-t-il ?

L’obligation se durcit : Ce qui était annoncé comme impensable hier, immoral même devient obligatoire aujourd’hui.

En ce 12 juillet (nombre de la révélation du mal) : La vaccination est obligatoire en France.

Elle a été décidée par le chef de l’état qui s’est octroyé d’une certaine manière les pleins pouvoirs.

C’est un véritable dicktat que nous subissons.

Un dicktat c’est un traité imposé par le plus fort au plus faible, justifié uniquement par la force.

Dans une dictature l’obligation à la loi est sans appel et la répression des rebelles et elle aussi sans appel.

Les rebelles sont mis en avant pour servir d’alibi au durcissement de la répression.

Car n’oublions pas la règle d’or : se soumettre et avoir la paix ou se rebeller et avoir la guerre.

Et le système autoritaire, arbitraire tel qu’il est, engendre automatiquement des rebelles. D’où, les actes de violence et de répression qui vont déferlées à tous les niveaux.

Maintenant, cette situation n’est pas unique à la France, elle se voit partout en Europe mais aussi ailleurs sur les autres continents. Et le pire c’est que nous fonctionnons comme les modèles fascistes.  Le refus de se vacciner pour un professionnel de la santé équivaut  (à partir du 15 septembre) à perdre son salaire puis son emploi, comme à Cuba (autre pays totalitaire); en Indonésie ils finissent en prison, ça viendra…

 

LE CROYANT SOUMIS A LA DICTATURE

 

Alors face à cette injustice : toujours la même question : un croyant doit-il se soumettre ou devenir un « rebelle » au nom de sa foi ?

Je crois surtout qu’il s’agit de comprendre ce qui se trame en haut-lieu.

Le monde s’en va vers une dictature planétaire, et rien ni personne ne fera changer cet état de fait.

Le Léviathan, ce montre marin, ce dragon, que l’on retrouve dans le livre de Job, veut le pouvoir absolu, la domination sur toute la mer et la terre.

Les discours qui rendent les choix obligatoires ressemblent au Léviathan, au dragon avec sa gueule enflammée d’où sortent des paroles extrêmes, elles brûlent, enflamment, consument, tel un chef dictateur imposant à tout un peuple, la soumission.

Que se passe-t-il au juste ?


LA MARQUE DE LA BETE OU PLUTOT L’IMAGE DE LA BETE

 

C’est vraie, la question brûle les lèvres : Est-ce la marque de la bête, le fait d’accepter la vaccination, d’accepter le passeport sanitaire?

Ce passepartout n’est-il pas le 666 que tout le monde va accepter pour pouvoir se déplacer, mais aussi plus tard pour acheter et vendre ?

D’abord, j’en avais parlé, dans un message sur le 666 cette « marque » de la bête montre plutôt des traits profonds de caractère de la personne, donc sa personnalité.

Ensuite parce cette empreinte révèle une identité, qui n’est pas une acceptation forcée pour adorer la bête et son image.

La marque sur le front et la main, c’est : sur le front ; celle ou celui qui n’a pas honte de ses péchés, et sur la main droite, la marque : c’est l’alliance avec tout ce qui séduit et détourne son propre cœur vers d’autres dieux.

Ensuite, Pierre, l’apôtre, inspiré par l’esprit saint, ne nous a pas enseigné à devenir rebelles aux lois des institutions de notre pays.

« Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme souverain, soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les gens de bien. 17Honorez tout le monde; aimez les frères; craignez Dieu; honorez le roi. ». (1Pierre 2 :13-17)

 

LA CRISE SANITAIRE PROVIDENTIELLE

 

Pour finir, la crise sanitaire n’est pas un objectif. Elle a été accueillie comme une vraie providence, par le haut de la pyramide. C’est la situation idéale pour arriver à leurs fins attendus.

En effet, en crise sanitaire, l’économie a été chahutée, mais au final, elle a été préservée ; mieux que cela, elle s’est accrue dans les domaines que nos élites souhaitaient rendre plus performant.

Regardez les plus riches, les milliardaires, ils auraient augmenté leurs fortunes de plus de 30%. A qui profite la crise ? Tient un heureux hasard, c’est aux plus riches. Non ce n’est pas un hasard, tout est sous contrôle.

L’objectif est clair, les grands lobbyistes veulent s’enrichir encore plus. Ils ont des projets de plus en plus couteux ; Les voyages dans l’espace et la cyber technologie coutent très chers.

La dictature sanitaire cachait une autre dictature plus forte encore la dictature économique (dictée par Mammon, l’esprit de richesse).

Nous avons franchi un autre cap avec la Covid, nous ne sommes plus dans l’incitation, mais dans l’obligation, nous ne sommes plus dans la proposition mais dans la soumission.

On incite plus les gens à consommer, on les oblige à consommer les produits que l’on souhaite qu’ils achètent, et ça va jusqu’à rendre obligatoire le type de commerce.

Un exemple : On veut rendre encore plus prospère l’industrie informatique :

Rien de tel qu’une obligation pour les entreprises et les employés de télétravailler. Et au passage d’acheter en ligne, parce le confinement à réduits les stocks des commerces.

Aujourd’hui on voit se dessiner nettement les buts de cette dictature :

Obliger les gens à changer tout leur mode de vie ; leur manière de consommer, de travailler, d’accéder au transport, au loisir, à la culture.

Tout cela est régi par une dictature spirituelle qui se voit à vue d’œil : La pensée unique.

 

LA PENSEE UNIQUE

 

D’abord qu’entend-on par PENSEE UNIQUE ?

C’est une pensée qui définit de manière universelle ce qui est bien de ce qui est mal.

On connait aujourd’hui les mots à bannir de notre vocabulaire : Tout ce qui est discriminant, sectaire, sexiste, raciste, homophobe, transphobe, islamophobe….

Cela parait une bonne intention certes, sauf que montrer du doigt les coupables engendre une société de délateurs et d’hypocrites puisque qu’on ne fait que de cacher le mal plutôt que de l’anéantir. Et le mal grossira de toute manière.

Le vrai but est ailleurs :

Le but est  pour un petit nombre d’élites (des milliardaires, des assoiffés de pouvoir) régner sur un grand groupe de citoyens, dépendant entièrement de leur intérêt personnel.

Et comment servir leurs intérêts en premier ?

 

L’EUGENISME

 

En bâtissant UNE RACE SUPERIEURE comme le nazisme le voulait. Mais il a échoué.

Ces élites veulent une ère nouvelle : l’ère de l’eugénisme :

- L’avènement d’un être unique, bisexuel, libre de choisir son sexe, libre de choisir son type de procréation, libre dans la débauche, libre dans ce qu’appelle la Bible l’impudicité (qui est de transgresser sans honte, mais avec fierté) ; Cependant cet être libéré reste assujetti à un système de contrôle strict ;  un être sans religion, sans racine, sans référence culturelle.

Une espèce de citoyen du monde, préoccupé par des futilités, baignant le plus souvent dans un monde virtuel, désinformé et par conséquent manipulable à souhait, qui obéit au doigt et à l’œil de ses dirigeants ; un consommateur nombriliste et hédoniste qui n’a de cesse de s’occuper que de sa personne ; mais aussi un être prêt à pouvoir quitter sa région, son pays d’attache, pour devenir comme les réfugiés une main d’œuvre facile à payer et à déplacer, corvéable à merci.

Voilà le but de la dictature : l’homme créé sa propre race à l’image de la bête.

Nos élites veulent régner sur un peuple qui obéit comme un animal domestique le ferait.

Ils veulent que vous adoriez l’image de la bête : cette nouvelle race d’hommes et de femmes « supérieures ».

Pourquoi cette image sera tant aimée du monde ?

Parce qu’elle flatte tous les penchants de la chair (un royaume où peuvent s’exprimer pleinement la convoitise, l’orgueil et l’idolâtrie) et parce qu’elle est protégée par un système de contrôle des libertés très strict. Ce qui fait que ceux qui n’adoreront pas l’image de la bête, cette nouvelle race, seront en grande partie dénoncés et agressés par tous ceux qui se sont soumis à elle.

Alors voilà où se trouve l’engagement du croyant.

Bien que soumis aux autorités, IL N’ADOREA PAS L’IMAGE DE LA BÊTE. IL NE DEVIENDRA PAS CETTE RACE SUPERIEURE.

Comment le peut-il ? Sans une foi inébranlable…cela est impossible.

Il est là notre combat. Il est dans le fait de rester saint, malgré les tentations à devenir idolâtre de cette image de race supérieure (qui ne devient une réalité que si nous y adhérons)

Dieu, nous a dispersés dans les nations parce que, comme Israël, nous avions servis des dieux humains qui n’ont aucun pouvoir divin. Mais qui se sont servi de l’idolâtrie pour établir d’un côté un régime dur, dictatorial, très coercitif, et d’un autre côté très incitatif à la débauche ; Or, dans la détresse, les saints se tourneront vers celui qu’ils ont percés et crucifiés. Parce que Dieu n’oublie jamais l’alliance qu’il a jurée à Abraham, à Isaac, à Jacob, alors il ne nous détruira malgré nos infidélités, pas mais usera d’amour et de compassion à notre égard, par l’Esprit saint, Jésus-Christ notre sauveur (Deutéronome 4 :27 à 31).

Amen

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