dimanche 7 février 2021

LE LEVIATHAN, UN MONSTRE BIEN REEL

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Par Eric Ruiz


Dimanche dernier un grand sujet de conversation a eu lieu au sein de ma famille.

Qu’est-ce qu’un extrémiste ?

Le dictionnaire Larousse, dans un premier temps, ne nous a pas aidé : On y a lu que c’est : celui ou celle «qui manifeste des opinions, des conduites extrêmes » ;

En creusant un peu plus, on voit que c’est « celui qui est partisan d’une doctrine poussée à ses limites ».

Les gens qui considèrent que seule leur doctrine est vraie et qu’en elle, seule, se trouve les limites sont extrémistes.

Par conséquent quelqu’un qui a des œillères, qui ne pense et qui n’agit que par une doctrine est un extrémiste.

Je disais à ma fille aînée que généraliser une chose amène à être extrémiste ou l’inverse aussi : un extrémiste se dévoile parce qu’il aura tendance à généraliser les choses.

Quand on met tout le monde dans le même panier, c’est agir en extrémiste.

Par exemple :

« si j’ai remarqué que beaucoup d’hommes abusaient sexuellement de leur condition envers les femmes ». De là à généraliser et à affirmer que « Tous » les hommes abusent de leur sexualité et sont des violeurs, des pédophiles potentiels, c’est avoir un point de vue extrémiste des choses.

Une doctrine extrémiste, fait table rase de tout ce qui pourrait la relativiser, la nuancer, et pourquoi pas la contredire. Elle évince donc, toute autre doctrine.

La discussion est inutile avec celui qui l’enseigne, car il restera de toute façon sur ses idées, ses convictions et ne changera pas d’avis.

Et c’est comme cela que l’on arrive à juger un coupable, sur son faciès et non sur ses actes.

Ramené à l’échelle de notre société d’aujourd’hui : Le jugement a lieu sur ce que raconte les réseaux sociaux et non plus sur des faits. Plus besoin de preuves. Une foule qui crie à l’unissons « à mort !» cela suffit pour clamer la vérité. C’est le signe d’une société extrémiste.

Et la religion, c’est vrai pousse très fort à ce genre d’idées.

Jésus disait aux religieux : «  pourquoi vous irritez-vous contre moi de ce que j'ai guéri un homme tout entier le jour du sabbat? Ne jugez pas selon l'apparence, mais jugez selon la justice ».

Les légalistes, « la loi c’est la loi », aiment exercer leur justice. Ils ont pour armes des dogmes.

Les dogmes sont par définition des doctrines qui ne se discutent pas. Elles sont comme des lois physiques : elles s’admettent comme un absolu. C’est comme la loi de l’apesanteur, ou tout objet lâché tombe vers le sol.

Eh bien pour le religieux : Toute croyance hors de la sienne est diabolique. Toute croyance hors de la sienne tombe au sol et se brise. Ils ont leur dogme sur la foi, sur le salut, sur la repentance, sur le jugement éternel et ils brisent celui qui vient les discuter.

Qui ne pense pas alors automatiquement à l’extrémiste islamique ; ce fanatique qui se fait sauter au milieu de la foule en criant Allah Akbar. Mais là aussi, cette manière de voir est réductrice, car elle n’entrevoit pas d’autres religieux fanatiques qui poussent eux aussi leur doctrine très loin dans leurs limites même si l’issue n’est pas aussi spectaculaire .

Et Jésus, lui,  avait-il une vision élargie des choses ? Acceptait-il la discussion sur ce qu’il annonçait ? Changeait-il d’avis ?

En répondant rapidement sans trop réfléchir, l’image de Jésus correspondrait plutôt à un fils de Dieu aimant, pardonnant, miséricordieux, ne jugeant pas le pécheur, et par conséquent très ouvert au dialogue.

Jésus serait l’incarnation de la parole mesurée et aimante.

Une preuve : lors de sa rencontre avec le jeune homme riche qui avait de grands bien et qui se confiait dans ses richesses. La réaction de Jésus n’a pas été de le condamner, mais d’avoir compassion ; le texte nous dit « qu’il l’aima ».

 

Jésus est aimant, c’est vrai, pourtant…


Jésus annonce une doctrine qui ne se discute pas : « la saine doctrine ».  C’est le « ainsi dit le Seigneur », le « amen » le ainsi soit-il.

Sa doctrine vient du Père et toute autre doctrine vient du malin, de l’esprit menteur.

Et l’apôtre Paul confirme qu’on ne discute pas avec la saine doctrine.  Galates 1:9  : « et je le répète à cette heure: si quelqu'un vous annonce un autre Evangile que celui que vous avez reçu, qu'il soit anathème! ».

Alors Jésus serait-il extrémiste dans ses propos en rejetant toutes les doctrines des hommes ?

Oui Jésus est extrémiste comme son Père l’est.

Mais, et c’est là la nuance, il ne l’est pas comme l’homme.

Le fanatique, lui, cherche à se placer au-dessus. Il veut incarner la vérité. Il prend une autorité par la force en se plaçant juge et partie.

Alors que Jésus place un absolu comme une limite à ne pas franchir pour le bien de l’autre.

Sa frontière n’est pas faite de bombe à retardement mais elle sert de révélateur.

Elle rétablit ce qui est juste.

Alors, oui, Jésus-Christ est un extrémiste qui cherche le bien, alors que l’homme extrémiste cherche le mal en cherchant sa propre gloire.

Il repoussera le pécheur comme le péché sans faire de distinction.

Le commandement de Dieu est  sans équivoque c’est : celui d’aimer Dieu de toutes ses forces, de toute son âme, de tout son cœur, ou d’aimer son prochain comme lui-même.

L’homme devrait se juger, en se remettant en question à partir du fait qu’il ne parvient pas à aimer son prochain comme lui-même.

Jean 7 :16-18

« Jésus leur répondit: Ma doctrine n'est pas de moi, mais de celui qui m'a envoyé. Si quelqu'un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon chef. Celui qui parle de son chef (en son nom) cherche sa propre gloire; mais celui qui cherche la gloire de celui qui l'a envoyé, celui-là est vrai, et il n'y a point d'injustice en lui. »

Jésus dévoile ici une chose très intéressante, une autre partie de sa doctrine. Il y a une partie qui est basée sur l’amour, certes, mais il manque un complément.

Alors quel est ce complément ?

Dans ce passage de Jean chapitre 7, Jésus nous dit clairement que si quelqu’un veut faire sa volonté, eh bien il saura que sa doctrine ne vient pas de Dieu ; Pourquoi ?

Parce qu’il aura forcément recours à l’injustice, parce que le mensonge sera son allié de chaque jour.

Quand on parle en son propre nom, quand on cherche sa propre gloire, à mettre son chef, sa tête en avant, on cherche à convaincre par ses propos ou par sa situation sociale.

C’est ce que Jésus dit.

L’extrémiste cherchera coûte que coûte à séduire, à mettre la lumière sur lui.

Mais Jésus lui ne cherchait pas sa propre gloire. Aussi, il n’a jamais essayé par ses discours de convaincre ou de rassembler.

Il savait une chose essentielle : c’est le Saint-Esprit qui convainc seul. Et le Saint-Esprit n’a pas besoin de la sagesse des sages pour convaincre.

Il a juste besoin d’avoir des croyants ayant foi que le Père parlera en eux au moment voulu par le Saint-Esprit.

Lorsque Jésus vit Pierre et son frère André qui jetaient leur filet pour la pêche, il ne leur a pas fait un discours ou un sermon pour les convaincre de le suivre « Il leur dit: «Suivez-moi et je ferai de vous des pêcheurs d'hommes. Aussitôt, ils laissèrent les filets et le suivirent. »

Ils n’ont pas posé de question ou ils n’ont pas demandé : « Où nous emmènes-tu ? Quelle est ta doctrine du salut ? ».

Paul l’a très bien compris pour l’avoir vécu. Et dans le premier chapitre de l’épître aux Galates aux versets 11 et 12 il s’en explique : «  l'Evangile qui a été annoncé par moi n'est pas de l'homme; car je ne l'ai ni reçu ni appris d'un homme, mais par une révélation de Jésus-Christ ».

Vous savez, beaucoup de ceux qui parlent pour convaincre se trahissent.

Puisque ceux qui parlent de la part de Dieu, par exemple décident, eux, du moment où Dieu leur parle. Ils décident de se mettre à part pour l'écouter.

Ils ne se posent pas la question si c’est le moment de Dieu… Mais là encore ils dévoilent leur imposture.

Car c'est Dieu qui décide de tout.

C'est lui qui nous parle quand il l'a décidé. C'est lui qui nous rend disponible. Il l'a toujours fait ainsi, il ne va pas changer parce que certains ont décidé qu'avec eux les choses changeraient.

Si Dieu a décidé de nous parler en plein brouhaha, il le fera. Il ne va pas attendre forcément que vous soyez en réunion de prière, dans le calme où que votre Bible soit ouverte.


Là encore c'est parler de son propre chef que de décider du moment divin, c'est être extrémiste.


Nous sommes dans un moment très particulier où les extrémistes sont très nombreux. Et cela ne présage pas des temps de paix mais plutôt de temps d'oppression.
Et ce n'est pas que les gens soient devenus ainsi : extrémistes.

Personne ne les a poussés à l’être. Ils le sont déjà par nature.

C’est pourquoi je pense que beaucoup tomberont de haut face à l’imposture de ces personnes.

Il y a tant de gens connus pour leurs idées larges, revendiquant sans cesse une huile de sainteté, faisant étalage de leur caractère pacifiste, démocrate, égalitaire, luttant pour de grandes causes humaines, comme le droit à la différence ; tout cela n’était qu'une couverture.

Ils ne montraient que la meilleure partie, celle qui séduit : Un masque, pour parler dans l'air du temps.

Ils sont en fait bien animés par des envies de dictature, d'autoritarisme, d’actes arbitraires, de tyrannie et de violence.

Je ne dis pas de regarder uniquement en direction de ceux qui nous gouvernent. Regardez autour de vous et regardez-vous aussi, nous dirait Jésus.

Mais notre fin horloger : Dieu le Père, a tout prévu dans sa création ; Et les animaux sont de véritables révélateurs pour nous les humains.

Comme nous l’avons vu avec la colombe, correspondant au Saint-Esprit, les vautours, les oiseaux charognards correspondants aux mauvais esprits, il y a bien sûr la bête et le dragon décrit par Jean dans le livre de l’Apocalypse.

Mais ce dragon qu’a vu Jean n’aurait-il pas des similitudes avec ce même monstre dépeint dans le livre de Job aux chapitres 40 et 41?

Car cet animal-là correspond tellement bien à l’extrémiste dans sa nature et dans sa manifestation, qui ne se fixe aucune limite.

Cet animal c’est le Léviathan.

Un monstre marin, qui a traversé les temps, les époques et les légendes.

Ce prédateur redoutable par sa manière de se comporter et de vivre nous rappelle étrangement le caractère de l’extrémiste.

Oh, vous me direz :  « on ne peut pas croire à des légendes, sorties de contes pour enfants !  Le Léviathan, le dragon des mers, c’était pour autrefois, pour des gens incultes ou pour ceux qui ne jurent que par les films Disney »

Et pourtant, c’est ce que veut nous montrer le Saint-Esprit.

Ce géant, ce dragon au caractère dominateur et destructeur est intemporel.

Il traverse les temps, les époques et les histoires pour rester dans la mémoire collective…Parce qu’il a une fonction.

Et je ne suis pas surpris qu’il figure dans le livre de Job qui lui aussi est intemporel.

Certaines versions ont traduit le nom de cette bête par « crocodile », sans doute gênée par le côté légende, surnaturel et imaginaire de ce dragon (qui n’existe plus réellement aujourd’hui).

Mais les traductions proches de l’hébreu traduisent Léviathan (Liv-yaw-thawn’). Et la description montre un monstre (ce que n’est pas le crocodile).

Et ce n’est pas un hasard si la parole de Dieu décrit cet énorme serpent de mer, sortant de la mer, la gueule béante et enflammée. La mer qui signifie la foule, les peuples dans la Bible.

Vous voyez, « à son seul aspect on est terrassé »

Ce dragon terrorise et impressionne dès qu’il sort de la foule, dans le but d’exercer une domination sur elle.

De sa gueule enflammée sortent des paroles extrêmes, elles brûlent, enflamment, consument, tel un chef dictateur imposant à tout un peuple, la soumission.

Dans les récits légendaires ce monstre symbolisait la force et le pouvoir du mal.

Le philosophe français bien connu, Alain, décrivit le Léviathan comme le symbole de la montée du fascisme (Ce système politique autoritaire et totalitaire auquel adhèrent les foules, les média et bien-sûr l’Etat).

Donc, le pouvoir absolu et la crainte voilà les lumières du Léviathan.

Et combien d’hommes et de femmes incarnent aujourd’hui cet absolu et produisent cette crainte attisés par cet esprit conquérant ?

Dieu n’a pas choisi ce monstre animal au hasard pour Job.

Job avait cette nature à vouloir imposer ses idées comme étant celle de Dieu (un absolu), il contestait avec Dieu.

L’Eternel lui posa d’emblée ce genre de questions : « As-tu un bras comme celui de Dieu, une voix qui tonne comme la sienne ?…Celui qui conteste avec Dieu a-t-il une réplique à faire? »

Et, voyant que Job restait aveugle et sourds à ses répliques, L’Eternel pris alors l’exemple du Léviathan, pour que cela frappe son esprit:

Job 41 « …Autour de ses dents habite la terreur…Des flammes jaillissent de sa bouche… Une fumée sort de ses narines…Comme d'un vase qui bout, d'une chaudière ardente…Son souffle allume les charbons…Son cœur est dur comme la pierre…Sur la terre nul n'est son maître; Il a été créé pour ne rien craindre, Il regarde avec dédain tout ce qui est élevé, Il est le roi des plus fiers animaux. « (Fin du chapitre)

Quel caractère orgueilleux poussé à son extrême.

Avec le Léviathan nous sommes devant l’animal le plus orgueilleux qui soit et qui ne se soumettra jamais à personne.

Aucune âme vivante ne pourra le domestiquer et l’assujettir.

L’esprit du Léviathan vit aujourd’hui.

C’est l’esprit, le plus fiers de tous. Il se voit et se manifeste par l’extrémiste qui place son cœur de la même façon, bien au-dessus de tous.

Dieu a montré ce monstre à Job pour que cela l’impressionne et qu’il réalise jusqu’où est montée son arrogance (à quoi sert-il de vouloir ressembler à ce monstre ?)

 Dieu veut qu’il réalise que ce géant destructeur fait partie de lui et qu’il devrait se repentir (C’est ce que Job fera d’ailleurs au chapitre suivant).

Mais Dieu veut aussi lui montrer que même l’animal le plus fort, indestructible, maître des océans, plie devant lui et rampe devant le Seigneur comme un serpent rampe au sol.

« qui donc me résisterait en face, de qui suis-je le débiteur » Job 41 :1-2

Aussi fort et puissant que soit l’être animal ou humain, Dieu ne lui sera jamais redevable.

Et au jour du jugement cet animal sera anéanti, il ne restera plus rien de sa domination et du pouvoir d’admiration qu’on lui vouait.

Cela veut dire en parallèle : qu’il ne restera plus rien dans nos mémoires de leurs actes héroïques ; et même si nos livres d’histoire évoquaient leurs vaillantes épopées, tout disparaitra comme le vent fait tomber les feuilles d’un arbre en automne.

Esaïe 27 :1

« En ce jour, l'Eternel frappera de sa dure, grande et forte épée Le léviathan, serpent fuyard, Le léviathan, serpent tortueux; Et il tuera le monstre qui est dans la mer »

Ce monstre, ce « serpent ancien » qui est apparu en Eden, est la cause de la chute de l’homme. Ce mauvais esprit a été aussi la cause de la chute de Job et de bien d’autres. Et encore aujourd’hui, il se manifeste c’est vrai par la puissance d’un seul et unique antichrist, et d’un seul et unique Léviathan. Mais la réalité c’est qu’une foule est animée par l’esprit de ces monstres marin (pas seulement une seule personne).

Job 41 : 22 « Il fait bouillir le fond de la mer comme une chaudière, Il l'agite comme un vase rempli de parfums. »

Alors, pourquoi l’extrémiste est-il comme ce dragon, ce serpent des mers, crachant du feu par ses narines. Pourquoi la violence lui colle-t-elle à ce point à la peau ?

Parce qu’un esprit Léviathan, cherchera avant tout à se débarrasser de ce qui l’oppresse, donc de ce qui l’attaque. Alors, il se protègera et cherchera à protéger son réseau d’influence en dressant des murs, des carcans, des doctrines indiscutables, des principes sans concessions.

La violence deviendra par conséquent une issue fatale et il proclamera sa doctrine finale ( la même doctrine que celle du roi de Babylone Nebucadnesar : « croire en lui ou périr ».

Vous savez, il n’y a qu’une seule alternative à l’extrémiste dans ses relations: le rejet, le conflit, la guerre ou alors la soumission de sa victime (comme la nature du dragon Léviathan).

On n’attrape pas un dragon des mers avec un hameçon (nous dit le texte de Job), eh bien on n’attrape pas non plus un extrémiste avec un raisonnement aussi bien conçu soit-il.

On ne l’amènera jamais à lui faire fléchir les genoux et à reconnaître ses erreurs (Job 40 :22-27)

Pourquoi ?

Parce pour lui, il n’y a que deux entités qui s’affrontent : les forces du bien contre celles du mal ; sa vérité contre les menteurs; sa justice contre celle des impies ; et enfin, un seul but : exterminer les opposants ou les soumettre.

Lui, l’extrémiste se considère comme possédant « l’absolu ». Il est l’élu, le grand possesseur du bien, du vrai et il se croit justifié par sa connaissance ou par le très-haut ;

Par conséquent, tous ceux qui ne pensent pas comme lui, ni n’agissent pas pareil que lui incarnent le mal, le faux, l’injustice et la destruction.

Cette vision dualiste aussi choquante soit-elle, Jésus-Christ la possède aussi, tout comme l’esprit saint.

Mais la différence, c’est qu’il sonde les cœurs. Il juge alors les esprits qui animent les gens. Et surtout ils les aiment (pas pour ce qu’ils font mais pour ce qu’ils sont).

Alors, obéissons au commandement de Dieu écrit dès les premières lignes du livre de la Genèse, qui nous dit : que l’homme dominera sur les animaux du ciel et de la terre.

Ce qui veut dire aussi que nous devons dominer sur tout esprit animal : Ne pas se laisser séduire, ne pas en être esclave et ne pas se laisser oppresser par lui.

Mais face à un extrémiste, à un esprit Léviathan, ne dressons pas notre main contre lui. Job 40 :27 « Dresse ta main contre lui, et tu ne t’aviseras plus de l’attaquer ».

Alors, laissons-le nous regarder avec dédain. Dieu seul convainc de péché ; Et c’est son jugement qui fera le reste, c’est son jugement qui le brisera au milieu de la tempête et qui le fera ramper devant lui.

Amen

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