RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE : LE GRAND MENSONGE

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Par Éric Ruiz

Quelles sont les causes réelles du réchauffement climatique : des causes naturelles, ou bien un complot diabolique, ou encore l’activité humaine ou pire, l’accumulation des trois réunis ; et si tout provenait d’un autre plan, un plan divin?

« Le quatrième ange versa sa coupe de colère sur le soleil et les hommes furent brûlés par une grande chaleur ». Ce châtiment annoncé dans le livre de l’Apocalypse au chapitre16, est-il en fin de compte ce plan?

D’abord, c’est un fait : nous dépendons complètement du soleil.

Cette immense planète de feu, qui est la planète centrale de notre système solaire, représente bien la puissance de Dieu. « Les justes resplendiront comme le soleil » (Matthieu 13 :43). Voilà la puissance de Dieu : lui et les justes manifestent ensemble la chaleur et la clarté du soleil.

Le soleil symbolise dans la Bible la lumière, la révélation, la justice de Dieu ; et la succession incessante de son levé et de son couché, nous donne une image de sa longévité.

Lorsque le soleil se lève sur un peuple, il dévoile ce qu’il est au plus profond de lui. Lorsque le soleil s’obscurcit, le peuple meurt faute de révélation.

Ceux qui auront l’éclat du soleil resplendiront et ressembleront comme deux gouttes d’eau à Dieu.

Mais attention, le soleil n’est qu’une représentation céleste des choses terrestres ou bien une confirmation naturelle de ce qui est prédit spirituellement;  comme par exemple  Luc 21 : 25, où Jésus nous dit : « Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. »

Donc, attention à la glissade facile : le soleil montre Dieu mais il n’est pas Dieu.

Ne tombons pas dans le polythéisme et l’idolâtrie.

Le dieu soleil l’était pour les romains, les grecs ou les égyptiens ; Tout comme de nombreuses civilisations anciennes, qui voyaient les planètes comme étant des dieux à l’état réel.

L’astrologie a été à la base de cette soumission face à la puissance d’attraction des planètes, pour exercer des pratiques divinatoires.

Le soleil a très souvent incarné l’énergie positive comme négative.

Son absence signifiait une punition, une malédiction avec des conséquences touchant à la stérilité à tous les niveaux ; et sa présence au contraire présentait un bon présage : celui de récoltes abondantes et surabondantes, la bénédiction quoi !

Là, au XXIe siècle, c’est encore autre chose, puisque ses rayons brûlent trop fort. Le soleil devient une source d’inquiétude et de plus en plus, il faut le dire, une source d’angoisse.

Pourquoi aujourd’hui le soleil a-t-il une importance plus vitale qu’autrefois ?

C’est la voix des écologistes qui se fait le plus entendre.

Le réchauffement climatique est devenu un des phénomènes écologiques les plus préoccupants de notre époque, d’ailleurs en France nous avons un ministère de la transition écologique qui porte bien son nom.

Les conséquences s’annoncent déjà terribles et seront même de plus en plus dramatiques, si on ne parvient pas au mieux, à infléchir la courbe puisqu’il est maintenant prouver que rien ne peut l’inverser.
Qui est responsable de ce dérèglement criminel (on peut employer ce mot : criminel, vu les conséquences destructrices que nous vivons à travers les grandes catastrophes. Ce sont des fléaux : sécheresse, cyclones, ouragans, tsunamis, inondations ou séismes)?

Les grandes multinationales, comme l’Etat, comme les associations écologiques (qui sont le plus souvent des filiales des grands lobbies industriels) et certains scientifiques vont dans le même sens en pointant la responsabilité sur la surexploitation de certaines ressources énergétiques et sur les mauvaises habitudes des consommateurs qui émettent trop de CO2 partout sur la planète.

Le consommateur a donc fait une confiance excessive à l’industrialisation, il opté pour le mauvais carburant de sa voiture, il a choisi un mode de chauffage trop polluant.

Cet excès de CO2 aurait eu comme conséquence d’augmenter la température terrestre et d’augmenter les gaz à effet de serre, responsables du trou de la couche d’ozone ?!!
(J’utilise exprès le conditionnel  « cet excès de CO2 aurait eu » tellement le mensonge est énorme).

Ai-je besoin de vous citer un imminent spécialiste des avalanches ou un chercheur de la NASA ou un prix Nobel pour vous convaincre de l’imposture?

Faire croire que l’activité humaine serait à la base d’un dérèglement planétaire....
C’est vraiment lui donner une importance considérable voire inconsidérée.
Pensez-vous : ce serait à cause de l’homme que la glace fond au pôle nord, que des races d’animaux disparaissent de la surface de la planète.

Plus le mensonge est énorme et plus on y croit (surtout que nos élites semblent tellement convaincues par leur théorie).

En fait, cela semble un paradoxe, mais le réchauffement climatique inquiète réellement nos élites politiques et économiques.

Cependant, ils ne souhaitent pas s’exposer à un vent de panique généralisé ;

Ou (comme ils le savent trop) une perte de confiance, un effondrement moral face à l’annonce de catastrophes naturelles irréversibles causeraient un effondrement économique.

Un moral en berne attirerait des névroses en surnombre, favorisant un comportement défensif de repli sur soi et le refus d’investir dans ces cas-là.

Alors, plutôt que de révéler la vérité, nos élites préfèrent se servir de l’urgence de la situation, pour au contraire relancer de plus belle, la croissance mondiale et occuper les gens à s’investir dans de nouvelles actions de survie.

Le nouveau pari est là : Préparer la survie va permettre un nouvel élan économique, grâce à un regain d’activité chez le commun des mortels.

Alors le réchauffement climatique devient un allié en or pour les grands de ce monde (pour Gog et Magog : ceux et celles qui sont ou qui se prennent pour des montagnes, des géants).

Voilà comment « la transition écologique » est née.

Elle s’enracine dans le plus grand mensonge de notre époque.

Je répète, le slogan que l’on souhaite faire avaler à la plus grande majorité, c’est : « Pour lutter efficacement contre le réchauffement climatique, changez votre mode de consommer, de travailler, de vivre »

Mais pourquoi, alors, une telle invention, quel est le but de ce mensonge?

Comme je vous l’ai dit, ce mensonge vise en premier lieu, pour les plus riches, à devenir encore plus riche en créant de nouveaux besoins, donc de nouveaux biens à acquérir et à acheter.
Changer d’écologie revient à changer ses choix, pour consommer autrement et autre chose.

Nous sommes bien là dans une stratégie de conquête de nouveaux marchés internationaux très lucratifs.
Quelle aubaine pour des élites (soutenues par la communauté européenne) qui y voient le renouveau qu’elles attendaient comme une nouvelle respiration; on dirait qu’elles ont découvert un nouveau filon d’or ou détecté un gisement de pétrole inconnu;

Bien sûr cela ne plait pas à toutes les élites et c’est pourquoi il y a tant de combat entre elles : le fer est fragilisé par l’argile (je fais référence aux pieds de la statue de Daniel, mêlée de fer et d’argile. Ces deux matériaux ne pouvant se solidifier ensemble, la statue va alors s’écrouler).

Leur stratégie, en fait, est vielle comme le monde : LA CULPABILISATION

Avec cette intention de culpabiliser, il copie la religion, qui s’est développée ainsi, de manière considérable.

La culpabilisation est l’archétype, ou l’objet principal du message religieux ; et maintenant c’est l’archétype du message écologique.

Culpabiliser : évite de remettre en question le système, avec ses dogmes, ses doctrines, ses savoirs inébranlables que l’on appelle des paradigmes.

Mais aussi : le fait de rejeter la faute sur les autres, permet, en jetant le discrédit ailleurs, d’éviter que les autres se posent les bonnes questions ou des questions sur les bonnes personnes.
La culpabilité est à la base de la manipulation.

En provoquant un sentiment de gêne et de honte chez l’autre, on inhibe ses réactions de rejet et on l’assujettit, on le rend doux comme un agneau, pour qu’il puisse alors accepter des formes de servilité ou d’oppression ; et ainsi pour qu’il accepte plus facilement des règles difficiles et contraignantes.

Lorsque l’on se sent coupable, on ne se sent pas digne, on se dévalorise ; et ce sentiment d’infériorité va jusqu’à l’autopunition, on est prêt à restreindre ses libertés, à se limiter et à accepter des formes d’injustice, qu’on aurait jamais accepté autrement ; et tout cela dans le but louable de se racheter.

On préférera perdre, par exemple, de l’argent en se séparant de son véhicule diesel (considérer comme impropre à l’environnement) et rouler en essence ou en électrique (l’énergie propre) mais avoir bonne conscience.

Inculquer le sentiment de propreté en faisant des choix qui coûtent, valorise le consommateur qui se sent même mieux dans sa peau.

Vous voyez, on se limite, on fait des sacrifices, mais c’est louable c’est pour le bien commun.

Je tiens quand même à préciser que cet état d’humilité est un bon état, mais attention, à condition qu’il soit fait sans hypocrisie et qu’il n’y a pas un profit malsain qui l’accompagne, ou une quelconque récupération extérieure.

Pour en revenir à des choses divines, le repentir est nécessaire pour se rapprocher de Dieu ;  Mais… profiter de l’état de faiblesse du repenti pour l’obliger à certains sacrifices (financiers par exemple pour être béni), c’est aussi abuser de cette personne pour la manipuler ; c’est une véritable abomination.

Et on va le voir, une telle personne manipulatrice aura des comptes à rendre, une colère divine à affronter.

Regardez, aujourd’hui, on dirait que tout le monde s’est donné le mot pour accuser « le mauvais consommateur, pour accuser «  le négligeant », pour accuser « le polluant ».

On cherche et on traque le bouc émissaire, qui on le comprend bien, c’est personne en particulier et tout le monde à la fois, qui est visé.

C’est ce que fait l’esprit religieux à l’égard du péché.

C’est un farouche chasseur du péché. Son but : déterrer l’animal pédophile, adultère, fraudeur, menteur, manipulateur et montrer du doigt les grands hommes impies et diaboliques.
Mais toujours pour un but : pour se disculper soi-même ou éviter que les regards se tournent vers l’accusateur principal.

Alors qui est le responsable du réchauffement climatique ?

Pour beaucoup de cœurs endurcis, c’est bien sûr le diable, Satan, puisqu’il est venu pour égorger et pour détruire. C’est donc lui et ses anges maléfiques qui feraient tomber du ciel des flammes de feu et qui assécherait nos fleuves et nos rivières.

Plus mesquin encore, certains pensent même qu’il existe un complot d’hommes et de femmes malintentionnés, à l’échelle mondiale qui favoriseraient l’accroissement de la chaleur terrestre et provoqueraient volontairement les catastrophes naturelles (sur des sites bien ciblés)

Ecoutez bien : L’homme aurait trouvé comment former artificiellement des ouragans ?

Eh bien pas du tout, la cause de tout cela, c’est Dieu Elohim, le Dieu pluriel, le fils de l’homme.

Le réchauffement climatique est une coupe de la colère de Dieu : la quatrième exactement

Apocalypse 16 :8-9 : « Le quatrième (ange) versa sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire ».

Notre Seigneur a « l’autorité sur ces fléaux » et il se sert de son pouvoir pour révéler l’outrage qu’on lui a fait, par le soleil et par sa chaleur en particulier.

Le soleil a changé de fonction, il ne réchauffe plus, il brûle.

Les conséquences, on les connait : ulcères de la peau, recrudescence des cancers, disparitions de certaines espèces animales et catastrophes écologiques.

Dieu permet ces épreuves pour amener un peuple nombreux à tomber au sol par la force puisqu’il a refusé de le faire lui-même de sa propre volonté, en refusant la repentance.

Il a permis que le climat terrestre suive des fluctuations avec des ères de glaciations, des déluges et des périodes de réchauffement.
Et comme il ne fait rien par hasard ce réchauffement climatique correspond parfaitement avec un temps de jugement déterminant.

C’est une grande épreuve mondiale qui touche l’humanité : « La grande tribulation ».
Il en sera fait comme du temps de Noé » : Une grande catastrophe écologique !

Notre Dieu s’est fixé des moments clés dans l’histoire de l’humanité qui correspondent à un pic d’apostasie (le divorce entre les hommes d’abord et Dieu), pour que les éléments naturels et spirituels agissent ensemble en synergie.

J’en avais déjà parlé : ces moments choisis sont des sabbats ; ce sont des fêtes, car l’urim et le thummim, à travers les vrais croyants (par forcément des juifs au sens propre) révèlent à ce moment-là les pensées profondes de chacun.

Dieu ne fait pas cela par plaisir (par sadisme, car il y en a qui vont jusqu’à le penser), mais pour rechercher la repentance de ses enfants.

Pourtant le résultat, ici, sera pour beaucoup, encore négatif.

Bien qu’ils reçoivent une coupe d’épreuves terribles dans leur vie, ces tribulations, qui les brûlent et les enflamment comme un feu, comme une grande chaleur étouffante et brûlante, les font blasphémer contre Dieu, plutôt que de se repentir.

 « puisqu’ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire ».

Donc ce fléau sera vraiment pour eux une malédiction puisqu’ils ne réagiront qu’à travers le blasphème : 

«  Et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux ».

Encore…encore le témoin d’un endurcissement au plus haut niveau pour cette génération perverse dont parle Jésus.

Alors un constat qui pose question :

Le soleil ne sera plus prédominant comme aujourd’hui.

Le prophète Esaïe, comme l’apôtre Jean, nous montre un soleil absent, disparu, comme évaporé, car il n’est plus dans le ciel, mais à l’intérieur du nouveau temple de Jérusalem.

Question : Est-ce une vision uniquement spirituelle ou bien, le soleil va-t-il s’éteindre vraiment ; et ce que nous connaissons de notre système solaire, va-t-il alors disparaître?

Esaïe 60 :19 « Ce ne sera plus le soleil qui te servira de lumière pendant le jour, ni la lune qui t'éclairera de sa lueur; Mais l'Éternel sera ta lumière à toujours, ton Dieu sera ta gloire. Ton soleil ne se couchera plus ».

Apocalypse 21 :23 « La ville n'a besoin ni du soleil ni de la lune pour l'éclairer; car la gloire de Dieu l'éclaire, et l'agneau est son flambeau ».

Ces versets montrent surtout une chose :

C’est que le culte du soleil n’existera plus pour ce peuple qui est dans la ville. « Ton soleil ne se couchera plus ».

Cette communauté de croyants réveillés n’a plus de soleil qui se lève sur ses péchés, puisqu’elle en est définitivement débarrassée. Elle n’a qu’une seule lumière : « l'Éternel sera ta lumière à toujours, ton Dieu sera ta gloire » : la lumière, c’est le Saint-Esprit qui ne brille qu’à travers eux et ne cessera jamais de briller.

La lumière de cette planète de feu, aussi attirante et indispensable à la vie, sera bien pâle en rapport à l’éclat des fils de Dieu.

Aucun culte, aucune idolâtrie n’attirera plus personne, vue la puissance révélée et manifestée par le fils de l’homme, par des disciples adoptés et glorifiés.

Ils auront alors une puissance d’attraction inégalée.

Voilà la signification de ces versets bibliques, où le soleil dans les cœurs brillera beaucoup plus fort que celui qui est dans le ciel.

La ville sainte est devenue spirituellement le cœur d’hommes et de femmes régénérés.

Cette comparaison à elle seule permet de mesurer la puissance d’un peuple où règne le fils, le Père et le Saint-Esprit. Non pas une trinité, mais une imbrication d’amour.

Alors, Dans ce réchauffement climatique, la fournaise est effectivement très forte et de plus en plus forte, puisque Esaïe nous dit que « le jour de la grande tuerie…. la lumière du soleil sera sept fois plus grande … sa langue comme un feu dévorant».

Mais la brûlure ne touchera pas les cœurs régénérés, elle ne peut les détruire. Pourquoi ?

Parce que la lumière de la lune sera comme la lumière du soleil " (Esaïe 30 :26). C’est ce que nous venons de voir juste avant :

La lune, qui représente la communauté des fils de Dieu, sera comme le soleil, comme l’éclat du Père, elle brillera comme « la lumière de sept jours ».

Pourquoi  sept jours ?

Car le septième jour, c’est la lumière du sabbat qui brille. C’est un jour de repos et de bénédictions pour tous.

C’est une grande fête solennelle, un grand festin, un grand repas de noces sur cette terre comme au ciel.

Alors, nous qui aimons en vérité, ne concentrons pas notre énergie envers des actes inutiles, qui se voudraient être écologiques en apparence, (attention, ce qui ne veut pas dire d’être un « je m’en foutiste » ou un consommateur polluant, restons respectueux de tout) mais ne nous relâchons pas, sacrifions-nous pour les autres, pendant qu’il est encore temps de le faire, et pas pour avoir bonne conscience, mais parce que la gloire de Dieu est là, c’est-à-dire que notre conscience régénérée nous le dit et nous l’inspire et que les circonstances sont favorables.

Amen