dimanche 3 janvier 2021

LE GEL HYDRO ALCOOLIQUE : LA NOUVELLE HUILE D’ONCTION ?...

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Par Eric Ruiz

« Tu prendras du sang qui sera sur l'autel et de l'huile d'onction, et tu en feras l'aspersion sur Aaron et sur ses vêtements, sur ses fils et sur leurs vêtements. Ainsi seront consacrés Aaron et ses vêtements, ses fils et leurs vêtements ». (Exode 29 :21)


L’huile d’onction était un commandement pour consacrer les souverains sacrificateurs au service divin dans le tabernacle.

On aspergeait leur corps et leur vêtement du sang du taureau sacrifié et de cette huile.

Ce symbole avait la particularité de montrer surtout que l’onction divine allait bien au-delà de leur corps et de leur esprit, et qu’elle touchait aussi leur âme.

L’âme, bien-sûr, qui ne se limite pas au corps, mais qui touche aussi l’extérieur (comme les vêtements consacrés, eux-aussi nous le font savoir).

D’ailleurs, il fallait ensuite que tout le temple et ses ustensiles soient consacrés et que eux-aussi soient entièrement recouvert par l’huile d’onction.

Or, l’idolâtrie était là comme une pousse fertile aux pieds des fils d’Aaron.

Comment ne pas voir par la suite une fonction supérieure à ce sang et à cette huile ?

Une fonction qui permet bien-sûr, de placer bien au-dessus des autres, celui qui est consacré au service du tabernacle.

Comme il a reçu un sang sacrifié et une huile spéciale, il n’est plus le même.

Voilà comment on s’élève soi-même, en se croyant supérieur aux autres par sa fonction ou son onction.

Cet acte religieux ne montre plus alors un symbole.

La sanctification devient magique car elle permettrait alors d’obtenir une espèce d’immunité au péché.

Le péché n’aurait plus de pouvoir sur les consacrés, parce qu’ils ont été oints d’huile.

Mais ce rituel ne permettait que de consacrer le Lévite pendant les sept jours de son service.

Ensuite il devait se reconsacrer.

 

C’est en fait, le contraire de ce que l’on pense habituellement, car, c’est lui, le Lévite en étant sanctifié, qui s’exposait le plus au péché. C’est lui, qui devait encore plus redoubler d’attention afin de ne pas pécher.

Or, tout le rituel devait bien-sûr montrer l’adéquation entre le sens de son service et sa propre vie de Lévite.

Si je vous parle des Lévites, c’est que cette fonction a perduré avec les croyants même ceux qui sont en Christ de nos jours.

Un croyant est sacrificateur de Dieu.

Pourtant, on connait l’histoire… Dieu finit par dire : « qu’il hait nos sacrifices, nos holocaustes, et qu’il rejette nos assemblées »,

Pourquoi ?

Parce que notre service divin n’a plus de sens avec la réalité.

Le parfum qui monte vers Dieu est alors celui du mensonge et de l’hypocrisie.

Si on est aspergé avec le sang d’un animal sacrifié, il faut que tous les morceaux de cette animal aient été brûlés, ce qui veut dire aussi que le sacrificateur ait brulé dans son cœur toutes ses fautes et qu’il s’en soit entièrement séparé.

Aujourd’hui, il y a un rituel qui est devenu quotidien pour tout le monde, il s’est institutionnalisé sans doute parce que l’homme a perdu le sens de la réalité.

La cohérence humaine n’existe plus, puisque les actes ne suivent plus les intentions profondes.

Ce rituel tout le monde le connaît puisqu’il a dépassé les frontières de l’hôpital pour venir s’immiscer dans notre quotidien : c’est le gel hydro alcoolique.  

Lui si prisé et si utilisé en 2020, ne serait-il pas devenu la nouvelle huile d’onction pour l’année 2021 ?

Le message qui passe partout est pourtant clair: « Dès que vous avez manipulé ou touché un élément extérieur à votre environnement, ou que d’autres ont touché une de vos affaires, il faut vous désinfecter les mains… et sans oublier les vêtements, s’ils ont été en contact ».

Inconsciemment on est en train d’assimiler ce nouveau rituel à une purification.

On veut nous persuader que : « C’est ce qui vient de l’extérieur qui nous souille. Nous devons veiller, comme des adultes responsables, à rompre la chaîne de contamination et à repousser le mal loin de nous ».

Or, ce rituel devrait au contraire nous dévoiler le mensonge.

Celui de croire que les virus, les bactéries, tout comme les démons, doivent rester à l’extérieur de nous et en conséquence, ils doivent être expulsés avant qu’ils atteignent notre être intérieur.

Voilà en fait, l’œuvre de satan : Nous faire croire qu’il faut lui barrer la route de l’extérieur ; Alors qu’il vient et se développe en nous, si nous lui laissons la place et si nous nourrissons son ego (qui est notre ego).

Lorsque Dieu dit à Adam et Eve de garder le jardin d’Eden, il ne leur a pas reproché d’avoir laissé entrer le serpent. Il leur a reproché de s’être laissé tromper par lui, séduit au point de changer leur manière de manger et de vivre.

Car elle est là, la désobéissance : Changer la manière de vivre et de se nourrir, dictée par Dieu

Notre jardin d’Eden ne l’oublions pas : c’est notre âme. Ce sont nos pensées entretenues, nos croyances et nos intentions qui alimentent notre âme, notre jardin ;

Et le premier signal de désobéissance est la peur. La peur est un point de repère. Un indice pour évaluer notre système de défense.

Adam et Eve eurent peur et coururent se cacher loin de la face de Dieu. Par cet acte, ils ont montré que leur niveau de défense était réduit à zéro.

Alors, pour l’année 2021 qui vient, prenons la décision ferme d’arrêter cet aveuglement qui produit en nous de la peur.

Comment ?

Eh bien, en combattant notre ego nous combattons satan ; et en nous occupant de notre âme, nous luttons efficacement contre tous les virus.

Vous savez : La folie, la démence guette celui qui se croit attaqué. Il devient « parano » et superstitieux ; il va développer une méfiance exagérée vis-à-vis de son environnement.

Notre société est en train de multiplier un nouveau genre humain : « l’hypocondriaque ».

C’est l’ère de « l’homo hypocondriaque ».

La personne hypocondriaque voit des symptômes de la maladie se développer partout sur elle. Elle s’invente et créé elle-même ses propres symptômes.

Elle a mal à la gorge, ça y est, elle a le Corona. Elle tousse, se sent fiévreuse ça y est c’est la Covid.

Le rhume qu’on attrape devient aussi important que le cancer.

L’inquiétude obsessionnelle de tomber malade pousse les gens, par exemple, à se faire tester plusieurs fois par semaine et à se désinfecter les mains plusieurs fois par jour. Tous ces TOC (ces troubles obsessionnels compulsifs) augmentent ce phénomène de démence, qui consiste à se balader partout avec son petit flacon de gel hydro alcoolique et de tout désinfecter en permanence.

Et ce trouble du comportement n’est pas un effet qui va s’éteindre comme un feu de paille, il se multipliera très fortement à l’avenir. Pourquoi ?

Car je le crois : les épidémies vont se multiplier de plus en plus.

Mais cela ne changera absolument rien au destin de chacun.

Celui qui doit tomber malade quoi qu’il fasse, cela lui arrivera, parce qu’il n’aura pas résolu son problème intérieur.

Il aura beau s’asperger de gel continuellement, rien ne changera sa destinée.

La règle à retenir est celle-ci : La personne à risque l’est moins par son état de vieillesse ou par sa santé fragile, mais plus par son âme. Notre vulnérabilité réside dans notre état d’âme.

Car la Bible est pourtant claire sur le REMEDE. « Lavez-vous, purifiez-vous, (COMMENT ?) Otez de devant mes yeux la méchanceté de vos actions; Cessez de faire le mal . Apprenez à faire le bien, recherchez la justice, Protégez l'opprimé; Faites droit à l'orphelin, Défendez la veuve ». (nous dit Esaïe).… « Haïssez le mal et aimez le bien»  (nous dit Amos 5 :15)

C’EST NOUS-MEMES LE PROBLEME et NON LES VIRUS.

En octobre 2018, je parlais déjà dans un message des obsessions et des TOC. Et j’expliquais, versets à l’appui,  que le pardon était à l’origine de ces TOC.

Maintenant, je voudrais dire pourquoi le pardon associé à une condition est un poison pour l’âme ( je pardonne si… je pardonne mais… je pardonne parce que…).

Le pardon qui n’est pas entièrement résolu, c’est par exemple : «  je pardonne mais je n’arrive pas à oublier… je pardonne mais c’est la dernière fois… je pardonne parce qu’il faut pardonner, mais même si tu te retrouves dans le besoin ne me demande plus rien (pas d’argent ni de t’amener quelque part, non rien ; je t’ai pardonné point final. etc) ».

Ce pardon superficiel créé des obsessions chez celle ou celui qui a ce problème du pardon.

Vous voyez, l’obsession, la maladie devient une fatalité seulement pour des gens qui n’ont pas expié la faute des autres.

Ils vont, c’est vrai, jusqu’à prier pour leurs offenseurs mais au fond d’eux-mêmes, ils ne veulent pas que l’autre soit délivré du fardeau de ses actes mauvais. Ils préfèrent exercer leur propre justice, qui est souvent œil pour œil et dent pour dent ; ou pire : que l’autre récolte au centuple ce qu’il a semé de mauvais.

Alors, ils s’entêtent et de cette façon, ils mettent leur âme en situation d’extrême faiblesse.

D’où les conséquences désastreuses que l’on connait, puisqu’ils font des choix dans leur vie en fonction de leur amertume. Et ces choix les détruiront au final. C’est une mort lente, très lente qui a lieu. Une souffrance bien pire qu’une mort soudaine.

Et Jésus nous dit lui qu’il n’y a pas de condamnation collective ; que chacun est responsable de ses choix : de « deux hommes dans un champs l’un sera pris l’autre laissé. De deux femmes qui moudront à la meule, l'une sera prise et l'autre laissée. »

Ce qui veut dire : qu’il n’y a aucune fatalité à succomber à une épidémie si elle vient toucher une maison ou une famille.

Mais le mal révèle celui qui en est atteint.

Si une personne de la famille est contaminée, elle ne contaminera pas forcément les autres.

Mais quand on regarde à travers le prisme humain tout devient anxiogène, surtout quand le mal échappe à la raison humaine, alors la folie devient un état d’âme général.

Aujourd’hui sans même le voir, des juifs piétinent la loi de Moïse. Ils ne voient pas qu’en mettant en quarantaine celui qui n’a pas de symptôme mais qui serait positif au virus, ils violent un principe divin : « que toute maladie et toute épidémie soit reconnue et traitée à partir du symptôme ».

Le mal ce n’est pas ce qui entre dans la personne, c’est ce qui en sort, ce qui est manifesté.

Non, ils préfèrent, eux, agir par un autre procédé : les tests (car ils sont  surtout soumis au dieu de la richesse et de la science).

Mais, revenons aux origines. Quand Dieu donne la loi à Moïse.

Les livres de l’Exode ou du Lévitique relatent que le Dieu d’Israël avait donné au sacrificateur le rôle de médecin.

C’est lui qui établissait le diagnostic et qui donnait le remède selon des lois dictées par Dieu.

Pour diagnostiquer la lèpre, par exemple, le sacrificateur devait examiner le malade et se fier à 3 symptômes.

1°) La brûlure sur la peau.

2°) Si cette brûlure avait formé un trou (une plaie) et enfin

3°) si le poil était devenu blanc, comme la peau.

A partir de là, le prêtre déclarait la personne impure (contagieuse) et il l’enfermait ou l’isolait pendant 7 jours ; puis ces sept jours terminés, il vérifiait à nouveau si ces symptômes avaient disparu et selon les cas de figure, l’isolement continuait encore 7 jours ou cessait (Lévitique chap 13).

Mais il n’y a jamais eu dans l’histoire Biblique de confinement généralisé.

Aujourd’hui, avec le coronavirus, ce n’est pas la peau qui est attaquée, mais l’appareil respiratoire.

C’est donc sur les poumons que devrait se porter toute l’attention des médecins.

Mais bizarrement les tests ont remplacé le diagnostic des médecins.

On ne regarde plus l’état des poumons, mais si le test est positif.

Les conseils de médecins d’aujourd’hui, il est vrai, semble avoir acquis une sagesse plus importante qu’autrefois. Ah ! Maintenant, ils ont la technologie qui leur permet de savoir qu’un asymptomatique peut transmettre lui aussi le virus… Eh bien moi, Je suis un « asymptoseptique » !

Le lépreux du XXIème siècle ne se voit pas : il est asymptomatique. Ouah, c’est ce qu’on veut nous faire avaler !

On nous dit que nous portons tous en nous des cellules cancéreuses, mais qu’elles restent inactives. Alors pourquoi ne pas en éliminer quelques-unes par la chimio ? (Je suis sûr que cela en rassurait plus d’un…)

Quelle folie ! La course est lancée, il faut tester le plus de monde possible, et placer en quarantaine tous les positifs (mais selon les tests ; il y a les faux positifs et les faux négatifs…on se perd).

La contradiction et la folie ne s’arrêtent pas à ce détail, et avec la vaccination, on aura enfin le remède (le croyez-vous ?).

Ce qui est sûr, en tous cas, c’est que les troubles obsessionnels compulsifs ne s’arrêteront pas avec la vaccination.

2021, nous prépare une « sacré pagaille ».

L’effondrement est en marche ;

Et le virus n’est que le produit révélateur du mal. Je le répète : il n’est que le révélateur, il n’est pas le mal.

Alors, chercher d’où provient le mal et par qui il provient, cela revient tout simplement à pourchasser le diable en dehors du jardin d’Eden ; ou cela revient à chercher dans l’huile d’onction la cause du mal, ce qui a fait que cette huile soit devenue si mauvaise.

Nous, nous portons le symptôme du mal, mais nous sommes aussi son remède.

Nous décidons de la puissance de la maladie comme de sa guérison.

L’exemple du roi d’Israël David est révélateur à ce sujet.

David a décidé de sa maladie lorsqu’il s’est laissé tenter par satan pour recenser ses troupes. Il voulait continuer ses conquêtes guerrières.

La convoitise avait rempli son âme. En conséquence, le mal devait tomber sur son peuple. Dieu lui demanda de choisir parmi plusieurs fléaux et David décida que cela soit la peste.

Alors la peste tomba sur Israël et soixante-dix mille hommes succombèrent.

Mais n’allez pas croire que la main de Dieu s’arrêta lorsqu’ils diagnostiquèrent et mirent en quarantaine tous les lépreux ; mais c’est lorsque David s’humilia et reconnu ses fautes.

« Alors David et les anciens, couverts de sacs, tombèrent sur leur visage » (1Chronique 21 :16).

Au moment où l’épée de l’ange destructeur allait frapper la ville sainte, David supplia l’ange d’arrêter le massacre, en reconnaissant, être lui seul à l’origine de l’épidémie. Il demanda alors que justice soit faite et que lui et sa maison soient seuls touchés par cette plaie.

C’est cette prière du juste qui a été le véritable remède au fléau qui allait tomber sur Jérusalem.

Et les louanges de Dieu et la guérison se multiplient dès qu’un seul pécheur se repend.

Soyons, alors cette voix qui se lamente après nos actes injustes et stoppons les épidémies et les catastrophes de notre vie par notre repentir sincère et profond, qui va jusqu’à expier les fautes de nos ennemis.

Amen

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