dimanche 9 février 2020

JÉSUS, ALLAH, JÉHOVAH NE SONT-ILS PAS UN ? LE CORAN, LES ÉVANGILES, LA THORA SE REJOIGNENT-ILS ?

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Par Eric Ruiz

Souvent on a tendance à dire que les mots ne sont pas révélateurs de la vérité.
C’est vrai en parti, mais en parti seulement, car on ne peut pas dire, par exemple, que même si nous l’exprimons différemment, nous avons tous le même Dieu.

Souvent on fait l’amalgame avec les religions monothéistes entre elles : en disant : en fait, elles ont le même Dieu. Les musulmans, les chrétiens, les juifs, ils ont tous le même Dieu.  
Derrière les noms de Jésus, Allah, Jéhovah, n’est-ce pas la même entité spirituelle, non ?

Eh bien pas du tout.

Disons-le tout de suite : Le dieu de l’Islam, n’est pas un dieu de paix, c’est un dieu de colère qui aime la guerre.
Pour exemple, la sourate 5 verset 33 dit : « il y a une récompense pour ceux qui font la guerre contre Allah et son messager…c’est qu’ils soient tués ou crucifiés, ou que soient coupées leur main ou leur jambe opposées ou qu’ils soient expulsés du pays. ».

Le Coran montre Allah le très haut, l’unique, le souverain qui aime être adoré lui-seul ; il est d’une pureté inégaléé et inégalable ; il est « audient omniscient », parce qu’il sait tout et voit tout ;mais le hic et qu’il ne partage pas sa gloire avec l’homme, car c’est lui et lui seul la gloire. il n’a aucun fils incarné ou aucun fils à préparer («  il est trop glorieux pour avoir un enfant » sourate 4 verset 171) ; ce qui signifie qu’il ne permettra à aucun homme de pouvoir l’égalé ; et il est par-dessus tout : dur et intransigeant avec les infidèles et les mécréants.
On observe souvent à la fin des versets (comme pour rassurer un peu le lecteur) : « Allah est Pardonneur et Miséricordieux ».

Mais, où se trouvent la miséricorde, le pardon, la grâce divine ?

Pour les mécréants : « Allah leur montrera leurs actions source de remords pour eux, mais ils ne pourront pas sortir du feu »( sourate 2 verset 167).
Le salut d’Allah est pour ceux qui le méritent par leurs actes et leurs rites ; et pour les autres , c’est le feu (l’enfer) qui brûle éternellement. « Allah est dur en châtiment ! » (Verset 165) dur en punition (verset 196) dur avec les mécréants
Donc beaucoup de ceux qui aiment l’islam sont inflexibles, ils aiment, la dureté, l’intolérance l’intransigeance, bref la guerre.
En tous les cas c’est ce que nous montre le Coran, qui n’est pas implicite (il n’y a pas de paraboles ou de récit voilé où l’interprétation est difficile, mais c’est une succession de lois, de préceptes, c’est un ensemble d’écrits juridiques comme un code civil ou un code militaire)

 Eh bien le Coran va dans le sens du talion (œil pour œil) et même parfois bien au-delà : «  s’ils vous combattent tuez-les ! telle est la rétribution des mécréants » (verset 191).

L’amour du prochain est moins mis en avant que la rétribution, la réprimande, le châtiment des actes de chacun.

« Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent », donner son manteau à celui qui le réclame, tendre l’autre joue…Mais ces actes qui mettent un comble à l’amour ne figurent pas dans les écrits coraniques qui vont plutôt dans un sens opposé et radical.

Vous me direz à raison : qu’il y a des islamistes modérés, qui aiment de la sorte en faisant du bien à ceux qui les méprisent ou les maltraitent.
Oui, parce qu’ils ne sont pas islamistes dans l’âme.
Ils ont décidés de ne pas s’opposer, de ne pas faire la guerre à la doctrine de guerre.
Ils aiment leurs ancêtres et veulent conserver la culture qui émane de l’Islam.
Mais (il faut le dire aussi) beaucoup ont peur de quitter cette religion. Peur des représailles, peur des conséquences,
La sourate 3 verset 85 dit : « Et quiconque désire une religion autre que l’Islam, ne sera point agréé. Et il sera dans l’au-delà parmi les perdants » ;

« Craignez Allah ! »
Ce commandement revient sans cesse dans le Coran (« craignez-moi si vous êtes croyants » dit un verset). Pourquoi une telle menace, un tel appel à la crainte, alors que la Bible emploi ce mot plutôt dans le sens inverse « ne craignez pas » ? ou alors en montrant que la crainte vient naturellement avec l’Esprit : « ils furent saisis de crainte »?
La crainte donnée comme un ordre, fait se dresser une haute muraille religieuse et la captivité est une de ses principales forces.

Attention, je ne suis pas en train de faire un procès aux musulmans, mais en train de faire comme avec le christianisme ou le judaïsme : de relever, de mettre la lumière (Apokalopsis en grec : l’apocalypse) sur ce qui est vrai comme sur ce qui est faux.

Le chrétien, comme celui qui met sa foi dans la Thora et qui ne s’est pas converti et reconverti, deviendra inévitablement un islamiste dans l’âme, simplement parce que toute religion prône la crainte, qu’elle est rigide, intransigeante et qu’elle pousse au sectarisme et à la destruction.

Quand je vois la relation qu’ont des chrétiens avec Jésus, la relation qu’ont des juifs avec le Dieu d’Israël et des musulmans avec Allah, c’est le même dieu qu’ils invoquent et vers qui, ils se soumettent dans la crainte et la rigidité des préceptes stricts, appliqués point par point.
Ils sont si scrupuleux, si pointilleux, à la virgule, à la lettre près.

Ce qui passe en premier, c’est alors, l’obéissance stricte aux textes saints, l’obéissance à un ensemble de rites et de lois.
Le Coran veut dire « La récitation ». Des musulmans récitent des sourates en prières à heures fixes, comme des catholiques récitent des chapelets entier de prières, comme aussi des protestants récitent des versets bibliques… ne croient-ils pas tous dans le même rite : la récitation ?
La parole récitée posséderait alors un pouvoir inégalé.
Réciter inlassablement des paroles enivre l’esprit, cela fait tourner la tête et donne l’impression d’être rempli de mots saints ; cela donne l’apparence d’une sainteté plus grande.
Mais aussi cela donne l’impression que tout est prévu d’avance, alors que la vie avec Dieu est tout simplement l’inverse : une aventure au quotidien où justement, l’Esprit saint s’invite au moment où l’on ne l’attend pas forcément.
Mais cela prouve une chose :
Que ceux qui récitent ont peur d’être autre chose que des serviteurs d’un dieu inaccessible et c’est pourquoi ils  le resteront (serviteur). Ils n’auront jamais d’autre statut que celui de serviteur car ils auront toujours peur d’échapper au pardon de Dieu. Réciter par cœur, revient alors à se rassurer sans cesse. C’est une échappatoire tout simplement à la liberté en Christ.

Le Coran dévoile par conséquent cette  relation dominant-dominé : maître-serviteur par un constant monologue de Dieu envers l’homme. Ce monologue est exactement le même par celui aussi qui lit sa Bible avec des yeux légalistes : il ne voit pas un Dieu incarné, qui vit et se plait au milieu des hommes régénérés, mais un Dieu séparé de sa création, qui l’oblige d’une certaine manière à rentrer dans une histoire où tout est établi à l’avance, une histoire immuable où les jours de chacun sont prédestinés.

De plus, la vie de ses croyants-là et une lutte incessante. Ils luttent contre des adversaires, ils luttent contre un monde hostile et injuste envers eux, ils luttent tous, contre leurs mauvais instincts, sans jamais pouvoir s’en séparer.
ils veulent à force d’efforts revenir en arrière, à leur nature ancienne, mais ils devraient plutôt changer fondamentalement de nature (mais sans la conversion et la repentance, c’est impossible !).

Donc, dans ce sens pragmatique : toutes les religions se valent, car il y a beaucoup d’islamistes et très peu de vrais croyants dans toutes les religions.
Tout ce qui est « isme » renvoie à la subversion de la révélation, à la crainte, à la violence et pour finir à la guerre.
C’est pourquoi un musulman qui se converti au christianisme peut toujours rester musulman ; il n’a pas de gros efforts à faire, il a simplement à changer de livre (passer du Coran à la Bible, quoique la Thora et les Évangiles ne sont pas des écrits interdits…Allah les aurait lui-même envoyé, Sourate 3 verset 3). Mais celui qui a changé de lecture n’a pas changé de Dieu, s’il est toujours aussi légaliste et méchant.
Alors oui, vous aurez sans doute compris que les assemblées chrétiennes engendrent de nouveaux convertis….à l’islam ; elles engendrent le même monstre terrifiant légaliste et méchant.

Pourtant, dans la Bible, Le Dieu d’Abraham, le Dieu de Jacob montre dès le début un caractère bien opposé. Il n’est pas belliqueux, lui.
Il se présente comme un Dieu de paix : Le schilo
Genèse 49 :10 Jacob vient bénir ses fils et prophétiser sur Juda de la manière suivante :
« Le sceptre ne s'éloignera point de Juda, Ni le bâton souverain d'entre ses pieds, Jusqu'à ce que vienne le Schilo, Et que les peuples lui obéissent. »

Le fils de l’homme, le fils de Dieu, le prophète providentiel, c’est le schilo  C’est un mot hébreu qui signifie : le pacifique, Le tranquille, le repos.
Ici les peuples ne vont pas lui obéir par la peur ou par une soumission forcée, ce n’est pas un guerrier comme Mahomet qui vient établir son royaume, mais l’obéissance se fait par l’état de paix qu’il procure : le schilo.
Et le son de la voix de Dieu ne se fait pas dans un bruit de tonnerre, mais dans un doux murmure, comme avec le prophète Elie.

Donc le vrai croyant ne cherchera pas à savoir qui a raison dans les religions…Est-ce le dieu des chrétiens ou celui des musulmans ou encore celui des juifs ?
Non, il cherchera le seul et unique Dieu de paix et d’amour ; ce dont il a besoin au plus profond de lui.

Quand on a soif, on cherche de l’eau, pas de la nourriture.
Donc un assoiffé ne pourra ni se contenter de la nourriture du judaïsme, ni de celle du christianisme, ni de celle de l’islam car c’est le même dieu, elle n’étanchera pas sa soif.
La femme de Samarie, elle qui n’était pas juive, en venant boire à la source de Jésus ne venait pas embrasser une nouvelle religion. Jésus lui dit : « les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; ».
Voilà l’eau véritable qui seule désaltère définitivement: elle ne provient pas de la lettre, mais de l’esprit et de ceux qui préfèrent la vérité au mensonge, et donc qui ont choisi de se débarrasser du mensonge qu’ils abritaient eux-mêmes.

Maintenant, la Bible nous met en garde contre l’autre dieu, celui qui ne procure ni paix, ni tranquillité et qui oppresse et détruit :

Ce dieu de la colère va dès le début être congédié et séparé de l’assemblée des justes :
« Maudite soit leur colère, car elle est violente, et leur fureur, car elle est cruelle! Je les séparerai dans Jacob, et je les disperserai dans Israël….Que mon esprit ne s'unisse point à leur assemblée! Car, dans leur colère, ils ont tué des hommes… » (Genèse 49 :6-7).
Ici on ne s’adresse pas à des Égyptiens, c’est Jacob qui donne une prophétie pour ses fils et ici c’est pour Siméon et Lévi. «  leurs glaives sont devenus des instruments de violence ».
Le jugement est dur pour ceux qui ont le cœur dur !
La terreur, en fait, s’établit contre ceux qui courbent le dos devant ce dieu colérique qui est annoncé dès la Genèse, au sein même des 12 fils d’Israël.
La Bible ne montre pas une justice par les armes mais une justice faite par la paix.
Les âmes sont gagnées par l’amour, un amour empreint de force par le sacrifice et non par la crainte. Le véritable amour, bannit la crainte.

La colère, quant à elle : c’est la puissance de la première corne de la bête de l’Apocalypse.
Cette corne se caractérise par l’esprit d’Egypte. L’hébreu emploie "mitsrayim" signifiant double oppresseur.
Pharaon avait cet esprit doublement oppresseur en s’opposant à Moïse.
-La première oppression est la captivité.
C’est cet esprit qui crée l’esclavage, la colonisation, qui asservit les autres. L’histoire des nations et des religions abondent de récits qui vont dans ce sens.
-La deuxième oppression provient de l’arrogance qui finit inévitablement dans la guerre. L’arme est un glaive qui sert à exercer la domination et la vengeance, elle sert à étendre son territoire.
Lorsqu’on se réfugie en Egypte, on met sa « confiance dans les chars et les cavaliers », nous dit le deuxième livre des rois chapitre 18 verset 24.

Notre époque, mais aussi toute l’histoire des nations est flagrante de cette confiance émise dans le Dieu de la guerre.
Les chars et les cavaliers islamistes sévissent sur toute la surface de la planète ; pas seulement par « le djihad »  mais aussi par une autre forme de djihad, dans les assemblées chrétiennes qui aboutit à la guerre et à la destruction des lieux de culte.
Pareil, l’histoire des croisades ont révélées des esprits cruels et meurtriers dans tous les groupes, parmi toutes les nations (pas seulement chez les chefs musulmans ou les chez les croisés, mais aussi chez les petites gens, eux aussi remplis de haine et de vengeance) ;
De même l’empereur Constantin très catholique (soi-disant converti à la suite d’une vision de la croix de Christ dans le ciel) ne l’empêchait pas d’être un chef militaire cruel et meurtrier au point de tuer son beau-père.
Cet esprit mauvais s’associe à une autre corne de la bête : Balaam (prophète cherchant à égarer les israélites qui avaient suivi Moise) et qui signifie : « destruction du temple ».

(Juste une aparté pour revenir sur la prophétie d’Esaïe 30 :3
« La protection de Pharaon sera pour vous une honte, Et l'abri sous l'ombre de l'Egypte une ignominie. ».
Le déshonneur et la honte sont pour ceux qui viennent détruire et déporter des innocents, mais aussi ceux qui se sont mis sous la protection de ces meurtriers. Appartenir au groupe ou à la religion de ceux qui détruisent produit ce sentiment d’amertume, quel que soit la religion : musulmans, Juifs ou chrétiens.

Le Dieu biblique, quant à lui, n’incite pas au crime, ni à la violence proportionnée.
L’Evangile de Jésus-Christ n’est pas fondamentalement nouveau par rapport à celui de Moïse.
La circoncision de cœur, l’amour profond, le pardon est toujours ce qui va départager, diviser et séparer les personnes, les familles et les peuples.
Mais il n’y a jamais, pour personne, de condamnation définitive.
Salomon roi d’Israël, désobéit, se prend pour Dieu lui-même, sa sagesse, son or, sa réputation lui monte à la tête. C’est son Royaume, après lui, qui sera divisé ; lui tombe dans la dépression, mais il n’est pas détruit. Il est enterré aux côtés de ses ancêtres.
Car ce n’est pas l’homme qui a la possibilité de revenir vers Dieu, mais c’est Dieu lui-même qui a toujours décidé de revenir vers les hommes.

« Je ne veux pas contester à toujours, ni garder une éternelle colère, quand devant moi tombent en défaillance les esprits, les âmes que j'ai faites » (Esaïe 57 :16).
« Dieu ne conteste pas sans cesse, Il ne garde pas sa colère à toujours; » Psaumes 103 :9

Voilà ce que Dieu demande à tous en contrepartie :

« Reconnais seulement ton iniquité, Reconnais que tu as été infidèle à l'Eternel, ton Dieu, Que tu as dirigé çà et là tes pas vers les dieux étrangers, Sous tout arbre vert, Et que tu n'as pas écouté ma voix, dit l'Eternel. »(Jérémie 3 :13).

 Donc le Dieu de la Bible est compatissant, lent à la colère et pour finir libertaire ; il délie les liens, il fait grâce aux opprimés, il ne se détourne pas de celui qui crie à lui, et il adopte des fils en les baptisant de son esprit.
Quel grand écart comparé au dieu de l’Islam qui est très possessif, arrogant et intransigeant… et disons-le : extrêmement oppresseur comme l’Egypte.

Le prophète Jérémie avertit les croyants en leur interdisant d’aller en Egypte pour y demeurer.
Pourquoi ?
Des juifs se convertiraient-ils à l’Islam ?

Non, l’aveuglement va dans les choses profondes de la foi.
Se mettre en colère, rentrer en guerre contre les autres, les rendre captifs de ses passions, leur faire craindre ses réactions et ses propres idées, c’est cela être un Pharaon et forcer l’autre à rentrer en Egypte.
Instaurer une théocratie par la force, la cruauté en s’emparant de tous les pouvoirs (religieux, politique et juridique) c’est utiliser une force de dissuasion illicite que l’on retrouve partout ( dans les assemblées chrétiennes comme dans les synagogues ou les mosquées).

Les démons ont ce pouvoir lié à la colère. Daimon est une construction de deux mots grecs : « Daio »  qui signifie feu et de « Haima » qui signifie sang. Les démons c’est le feu dans le sang.
Lorsque nous prenons l’expression pour identifier un caractère : nous disons parfois c’est un sanguin.
Un « sanguin », c’est un colérique, une personne qui a le feu dans sang, qui part au quart de tour, qui s’emporte rapidement et devient violent.
Voilà comment peux s’exprimer le Pharaon qui est en nous si nous le laissons prendre place.

Le Coran est un autre évangile ; un évangile de guerre, il met en scène l’histoire biblique mais en retire l’essentiel : le sacrifice de Issa , (Jésus) et sa fonction de Fils né du Père pour accomplir la purification et le rachat dont chaque être humain a besoin.

La Thora n’est pas un ensemble de livres contradictoire, mais tout comme les Evangiles, si le cœur est mal disposé on y verra la même chose que dans les écrits du Coran.

Que recherchez-vous en Dieu ? Un esprit de guerre ou un esprit de paix ?

Si c’est celui de la guerre n’importe quelle religion vous l’apportera. Si c’est la paix : un seul et unique Dieu vous comblera : le Saint-Esprit.

Il s’agit par conséquent de ne pas montrer encore une fois un ennemi hors de soi mais un ennemi en soi, celui de « l’esprit de l’Egypte ».
C’est cet esprit mauvais et puissant qui vit dans le croyant sûr de sa voie, qui craint et se fait craindre et qui est intransigeant, violent (pas forcément en acte mais en tous les cas en paroles) vis-à-vis des incroyants ou de ceux qui ne croient pas comme lui.

Voilà le démon, voilà l’esprit mauvais qu’il faut chasser.
Si ce démon vit en vous, priez jeûner et éloigner-vous de toute violence, et de tout jugement sur les autres.
Amen

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