Par Éric
Ruiz
Lors du
message précédant sur « la révélation du 8ème jour », j’insistais sur
le fait que c’est la consécration de la mère qui consacre sa famille et ses
enfants en
particulier.
Mais, il arrive que la mère ne réponde pas à ce que Dieu
attend-elle ; par exemple si la mère rejette la grâce de Dieu en refusant
de se convertir ou de se reconvertir.
Donc, Il y a bien-sûr des exceptions à ce que la mère ne soit pas le lien de la consécration de son fils aîné.
Donc, Il y a bien-sûr des exceptions à ce que la mère ne soit pas le lien de la consécration de son fils aîné.
Mais
faisons attention, car quoi qu’il arrive, le
plan de Dieu se fera avec ou sans mère consacrée.
Car, si le fils aîné est
consacré dans l’esprit de Dieu, il le sera dans les faits, de toute manière.
Nous
devons bien comprendre que la Bible se comporte aussi comme un livre
d’énigmes policières; et que l’on peut connaître quelques indices d’un
crime sans pour cela avoir la clé pour les relier entre eux.
Récemment
je disais à ma femme que j’avais l’impression que je jouais au Cluedo, ce jeu
de déduction, célèbre. Vous savez dès qu’on croit avoir deviné, on dit par
exemple : « j’accuse le colonel moutarde avec le chandelier dans la
cuisine ».
Mais à
l’inverse du jeu, le Saint-Esprit me révèle non seulement le personnage
principal, le crime, le lieu mais aussi et surtout le mobile.
Et cela en
renverse des préjugés religieux ! Et cela en casse des personnages
bibliques érigés en véritables héros de la foi.
Alors je
continue concernant le plan de Dieu et les chemins qu’il prend, qui ne sont en
tous points pas les nôtres.
« Que
le méchant abandonne sa voie, Et l'homme d'iniquité ses pensées […] Car mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont
pas mes voies, dit l'Eternel.
Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées » (Esaïe 55 :7-9).
Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées » (Esaïe 55 :7-9).
·
Alors,
ne soyez pas comme Sara la femme d’Abraham, elle a ri quand 3 anges sont venus
annoncés à Abraham qu’elle deviendra enceinte. Elle a ri des pensées et des
voies de l‘Eternel.
Vous me
répondrez et vous aurez raison, Abraham, lui aussi a ri.
Oui mais, les
détails bibliques ont leur importance ; et Abraham a reconnu sa faute.
Tandis que
Sara (Genèse 18 :12), elle rit en elle-même, d’abord, puis au verset 15,
elle nie avoir ri « Sara menti en
disant : je n’ai pas ri. Car elle avait peur ».
Mais peur
de quoi ?
C’est la
même attitude qu’Eve a eu dans le jardin d’Eden en étant dans le déni et la
dissimulation de ses actes et qui a eu peur (elle aussi) d’être prise en faute.
L’incrédulité
de Sara, femme d’Abraham, lui a coûté cher à elle.
Elle lui
ôté la bénédiction.
Cette
grâce qu’ont reçue plus tard, la mère du juge Samson, ou Anne mère du prophète
Samuel, ou Elisabeth mère de Jean le baptiste, ou encore Marie mère de Jésus de
Nazareth.
Sara, elle,
ne fut pas comme toutes ces mères : heureuse.
Elle ne
reçut ni grâce, ni prophétie, car elle mit en doute les paroles de Dieu à son
égard.
Elle
accusa même le Seigneur de sa stérilité : « Voici, l’Éternel m'a rendue stérile; viens, je te prie, vers ma
servante; peut-être aurai-je par elle des enfants » (Or la stérilité ne vient pas de Dieu,
elle provient d’un état de péché, l’humilité serait de reconnaître que la faute
provient de soi et non de Dieu).
Mais pour Sara, l’humilité n’est pas son fort.
·
Sara
se comporte comme une femme de haute noblesse, une princesse qui n’a aucune
leçon à recevoir de quiconque (c’est bien la signification de son nom Sara qui
lui colle à la peau).
Sara n’a
pas changé de caractère, elle a toujours été une femme regardant au physique, à
sa personne, séductrice, et dirigiste.
Le fait de
changer de nom, (qui entre parenthèse Saraï comme Sara signifie toujours
princesse), n’a pas marqué un changement d’état d’âme, chez elle.
Par contre
une chose est évidente : le fruit
de son ventre, sa grossesse a été bénie… mais pas par sa consécration, par la
consécration de son époux Abraham.
C’est lui qui fut mis à l’épreuve à sa
place.
Oui j’insiste encore sur ce
point crucial : pour se consacrer il faut obligatoirement une mise à
l’épreuve.
Donc,
c’était Sara qui devait se consacrer pour son fils Isaac ; c’est elle qui
aurait dû monter avec lui sur le mont Moriah.
Sara comme toute les mères, nous
l’avons vu, est mandatée à gracier sa descendance par sa consécration.
C’est à
elle d’ailleurs que Dieu aurait dû révéler le nom de son fils. Mais c’est
Abraham qui reçut le nom de son fils Isaac (il rit)
Abraham devait
(comme Anne plus tard avec le prophète Samuel), avoir un cœur entièrement
consacré, un cœur sacrifiant son enfant pour son Dieu.
Alors
Abraham connu des tribulations et la plus forte est comme devenue une légende
populaire aujourd’hui : Il emmena son fils sur le mont Moriah pour le
sacrifier, avant qu’un ange apparu au dernier moment, pour le faire changer
d’avis.
C’est un
peuple innombrable qui a été béni à travers sa consécration.
·
Donc,
messieurs, vous qui manifestez un cœur consacré, ne soyez pas dans la tristesse ;
si votre épouse
a pris un chemin tortueux, vos enfants ne sont pas égarés et perdus pour
autant. Ils seront alors consacrés par votre propre consécration.
En fait,
Dieu a été plus que patient avec Sara.
Il a
attendu jusqu’à sa 90ème année pour la rendre féconde.
Il a
attendu en allant même au-delà de ses limites biologiques pour concevoir des
enfants.
Il aurait
aimé qu’elle le devienne plus tôt, par sa piété, les choses auraient été plus
rapide, sans aucun doute.
Mais Sara
voulait garder sa puissance et le contrôle sur tout et elle lutta comme Jacob
l’a fait avec Dieu.
Sarah,
signifie aussi en hébreu : « persister, lutter, lutter avec Dieu ».
·
Alors,
Pierre dans son épître semble contredire ces faits, puisque dans 1 Pierre
3 :5, il met en avant la soumission de Sara vis-à-vis de son mari, qu’elle
appelle : « mon Seigneur ».
Mais où Pierre
dit que Sara fut soumise à Dieu ?
Pierre prend
l’exemple de Sara pour montrer une belle attitude de femme soumise.
Mais il
met aussi en apparence, la parure intérieure qui est souvent cachée et qui
n’est pas forcément celle qui est montrée par les cheveux tressés, les
ornements d’or et les beaux habits.
Alors oui,
Sara était soumise à son mari, et elle manifestait de belles apparences extérieures
de princesse. Elle était belle, mais l’intérieur ne reflétait pas son aspect
extérieur. C’était une belle religieuse, c’est-sûr, aimant obéir à la loi,
soumise à son mari, mais elle n’était assurément pas soumise à Dieu.
Qui ne
connait pas dans son entourage des couples très respectueux, l’un pour l’autre,
une femme soumise, mais se forçant à ne rien dire au risque de contrarier son
mari, non pas par amour, mais par obéissance à la loi religieuse, par peur de
la loi ou aussi par orgueil, pour montrer une fausse sainteté, alors qu’au fond
d’elle-même, elle brûle de colère et elle rit de son mari.
Encore une
attitude double montrant l’apparence seulement de la piété mais reniant ce qui
en fait la force (l’amour).
·
Maintenant,
pourquoi les noms qu’a portés la femme d’Abraham, ont toujours révélé un état
de princesse et non de reine ?
Dieu
aurait dû en toute logique, après son mariage avec Abraham changer son nom et l’appeler
du nom de Malkah qui signifie reine en hébreu.
Je crois
qu’il ne l’a pas fait, pour plusieurs raisons.
La
première est pour nous révéler la vraie Sara (pas celle qui transparaît lors
d’une simple lecture biblique, mais celle qui prend forme entre les lignes, par
le chuchotement de l’Esprit).
Ensuite
pour nous montrer comment il rétabli la justice malgré des apparences
trompeuses ; car Sara s’est refusée d’une certaine manière à Abraham (là je vous dis une chose qui n’est pas dit
ouvertement dans la Genèse, mais Sara s’est refusée à maintes reprises à
Abraham).
Sara a préféré, tout simplement la
jeune fille à la femme, comme la princesse à la reine.
Sa
stérilité était sans doute plus psychologique que biologique.
Elle a
pris Agar sa servante à sa place, parce qu’inconsciemment elle ne voulait pas avoir
à subir un corps flétrit et dégradé par la grossesse.
Sara était
une femme splendide physiquement, d’une beauté unique, un vrai mannequin ;
Abimélec, roi de Guérar succomba à sa beauté et l’enleva croyant au mensonge d’Abraham,
disant qu’elle était sa sœur.
Donc nous
le savons : le corps d’une mère transforme le corps d’une femme.
Avez-vous
remarqué une autre chose ?
Dieu
change le nom de Saraï, juste après qu’il ait donné l’alliance avec Abraham par
la circoncision du huitième jour, comme s’il voulait marquer aussi un temps
révolu pour Sara.
Comme s’il
voulait signifier qu’il est allé au bout de sa patience et que rien n’a changé
en elle et que rien ne changera plus.
·
Avez-vous
prêté attention au passage où Sara rit lorsqu’elle apprend, qu’elle deviendra
enceinte ? Pourquoi rit-elle ?
Elle rit parce
qu’elle met en doute ses désirs sexuelles, vis-à-vis d’un homme devenu vieux et
moins attirant qu’autrefois. « …maintenant
que je suis vielle aurai-je encore des désirs ? Mon seigneur aussi
est vieux »
Quand
Abraham rit, il ne le fait pas pour les mêmes raisons.
Il pense comme
incroyable le fait d’avoir une grossesse à 90 ans et qu’Ismaël (qui et le fils
qu’il a eu avec la servante Agar) lui convient bien après tout comme
descendance.
Sara rit mettant en premier l’attirance
sexuelle, alors
qu’Abraham ri mettant en évidence les problèmes biologiques naturels, liés à l’âge.
Deux
manières bien différentes de rire, vous en conviendrez.
Les deux,
c’est vrai, Sara comme Abraham font preuve d’incrédulité, mais je suis désolé, sans
vouloir accabler Sara, elle montre vraiment des pensées charnelles et égoïstes.
Où se
trouve le désir pour elle d’avoir un enfant pour concrétiser l’union, l’amour
qu’elle éprouve pour Abraham ?
Sara
prouve par son attitude ingrate, que sa stérilité est reliée directement à son
attirance pour son mari.
Facile de
l’appeler « mon seigneur », alors qu’elle s’inquiète plus de sa
libido que d’honorer son mari par amour.
C’est elle
qui s’est proclamée seigneur à sa place ; et Baal signifie : maître,
seigneur.
Vers quel
seigneur et maître se prosterne-t-elle ? (je vous laisse la réponse)
Alors,
pour en revenir à sa libido :
La baisse
de la libido n’est pas liée uniquement à l’âge, puisque très jeune on peut être
atteint de ce mal ; et apparemment Abraham à 86 ans n’a pas eu ce problème
avec Agar.
La diminution
de la libido tire son origine le plus souvent, soit de la maladie, soit à cause
de l’anxiété, de la dépression ou d’un poids psychologique.
Par
ailleurs, une grossesse, déclenche en amont le mécanisme de l’ovulation, qui naturellement
se fait avec une réelle augmentation de la libido. Pourquoi s’en inquiéter,
alors ?
·
Un
autre indice m’amène à penser qu’Agar sa servante a compris que la grossesse
n’intéressait pas sa maîtresse.
C’est
Genèse 16 :4 : « Abraham
alla vers Agar, et elle devint enceinte. Quand elle se vit enceinte, elle
regarda sa maîtresse avec mépris (l’hébreu nous renvoie aussi à un
terme plus fort : elle l’a maudit)».
·
Pourquoi
Agar a eu subitement ce sentiment fort envers sa maîtresse, alors que c’est
Sara qui aurait dû par jalousie éprouver cette amertume ?
Agar
aurait due au contraire, comme les servantes de Léa et de Rachel, femmes de
Jacob, se sentir honoré de mettre au monde une telle descendance.
En fait, Agar s’est sentie, non pas honorée, mais bien
manipulée par sa maîtresse.
Et la
réaction de Sara le prouve, puisqu’elle l’a maltraité jusqu’à ce qu’elle parte,
démontrant ainsi son désir machiavélique que la vérité reste cachée et qu’elle
ne parvienne pas jusqu’aux oreilles d’Abraham.
C’est un
ange qui vint voir l’Egyptienne pour lui signifier que le fruit de son sein
(Ismaël) sera béni en elle malgré son injuste humiliation, « son affliction » mais elle doit pour
cela revenir s’humilier devant sa maîtresse (même si elle se sent dans son
droit).
Ismaël
signifie : « Dieu entend ou Dieu comprend ».
Dans cette
situation ou Agar est allée traversant le désert jusqu’à la source de Schur pour se fortifier
(Elle n’a rien dit a Abraham, mais son fils témoigne que malgré l’opprobre
qu’elle a subi, elle est justifiée par « Dieu qui comprend »).
Moi je
comprends une chose certaine : Agar s’est consacrée, elle a reçu le nom de
son fils et a pu prophétiser sur lui. Le fruit de sa grossesse a été béni au
travers de sa consécration. « L’ange
de l’Eternel lui dit : Je multiplierai ta postérité, et elle sera si
nombreuse qu’on ne pourra la compter. »
Mais Sara
très perturbée par la naissance d’Isaac, son fils ; anticipant le fait que
connaissant son histoire beaucoup se moqueront d’elle, ils riront. Sara, donc, irrité
(et on peut le dire : honteuse de la naissance d’Isaac) lorsqu’elle
vit rire le fils d’Agar, elle les chassa tous les deux.
·
Toute
cette histoire, montre ce qui se passe dans de très nombreux couples aujourd’hui :
Le sexe
est une monnaie de domination.
La femme
met un masque de tromperie.
Elle fait
croire à son mari qu’elle lui est soumise ; elle n’hésite pas à mettre un
voile sur ses cheveux, comme à s’habiller de manière à lui plaire (sa séduction
c’est son arme numéro un) ;
Ou bien
elle simule la maladie, la fatigue, la stérilité pour en fait conserver la maîtrise du couple, la maîtrise des naissances et gérer comme elle l’entend sa
famille.
En fait,
la femme fait payer à l’homme d’une certaine façon sa relation avec elle.
Elle se
prostitue à lui, sans en avoir forcément conscience.
Ce masque
est une maladie.
De nos
jours, nous connaissons ces formes de maladies dans un genre qu’on appelle les
maladies psychosomatiques.
Ces pathologies
apparaissent avec une sorte de foi.
La foi d’avoir
tellement besoin de tomber malade que la maladie se créé et s’installe
d’elle-même.
Concrètement :
la peur d’avoir un enfant bloque, inhibe la fécondation.
Le
comportement déloyal, double-jeu de Sara, est loin d’être un fait unique.
Et quelques
générations plus-tard, nous aurons la terrible illustration de cette tromperie
avec, la reine Jézabel qui s’emparera des fonctions de son mari Achab en
affaiblissant son pouvoir.
La fameuse
fonction castratrice : qui change la nature de l’homme et de la
femme ; elle est très parlante avec cette expression populaire: « Qui
porte la culotte dans le couple ? » Qui a l’autorité dans le
ménage? Qui mène l’autre par le bout du nez, à la baguette ?
·
Abraham
on le voit, fait de nombreux compromis. « Abraham écouta la voix de Saraï »
Ici le
verbe écouter en hébreu, c’est "shawmah" qui précise qu’écouter : c’est
obéir, apprendre.
Abraham
écouta la voix de Saraï en lui obéissant et en apprenant d’elle ; c’est
lui qui était soumis et qui faisait les quatre volontés de sa femme, allant
jusqu’à chasser la servante égyptienne, celle, quand même, qui lui a assurée
une postérité.
D’ailleurs,
c’est Sara qui ordonne d’une certaine façon à Abraham de prendre sa servante
« viens, je te prie, vers ma servante; peut-être aurai-je par
elle des enfants ».
Et le père
de la foi, en arrive à la terrible lâcheté de dire à Sara
« Voici ta servante est en ton pouvoir»
(sous ton autorité, fais ce que tu voudras d’elle).
Abraham
donne le pouvoir de vie ou de mort à la mère de son enfant, de son unique fils.
Mais où se
trouve l’amour de Christ à ce moment-là chez Abraham ? Il préfère plaire à
Sara plutôt qu’à Dieu, ça saute aux yeux.
·
Connaissant
les conséquences désastreuses d’une telle relation, la femme qui se consacre à
Dieu doit absolument couper net avec tout double face, avec tous ces artifices
de séduction et de manipulation.
Elle doit
se repentir de ses péchés qui sont si commun et si répandus chez la femme.
Sinon,
elle ne retrouvera pas le rôle que lui a attribué le Seigneur ; celui
« d’être la mère de tous les
vivants » La vraie mère
aujourd’hui est morte, mais elle doit renaître, ressusciter.
C’est la nouvelle Eve, qui
s’est débarrassée de son corps naturel au profit d’un corps spirituel, redessiné par sa conversion.
« Le
dernier Adam est devenu un esprit vivifiant »,
nous dit Paul.
Le Saint-Esprit est ce deuxième Adam.
Il vient vivifier une nouvelle Ève, une Ève qui ne ressemble plus à l’original,
ni à Sara, une dissimulatrice ; mais une Ève qui sacrifie tout pour ce que
lui confie le Seigneur.
Une Ève bénissant et graciant tout ce qui sort d’elle ; une Ève portant bien son
nom : « la vie ».
Mais cette
femme doit concevoir un enfant avec vraiment l’aide de l’Eternel (Genèse
4 :1) ; et pour cela passer par le huitième jour de sa
conversion: c’est indispensable.
Ève, la mère de tous les vivants a enfanté le fils du péché avec
Caïn ; Et Marie enfante le fils de Dieu avec le Saint-Esprit.
Ève, donc, revivifiée, doit par sa consécration donner vie aux
fils de Dieu, au fils de l’homme.
C’est la concrétisation de la nouvelle alliance.
Car il faut bien comprendre que Ève une fois graciée, est
adoptée, comme le fils de l’homme l’est aussi en Jésus-Christ ; si vous
suivez mon raisonnement : il y a un nouvel héritage pour cette nouvelle Ève et les enfants qui sortiront d’elle.
Les Ève, les mères vivantes
formeront alors ensemble ce huitième âge de l’Eglise, après celui de Laodicée, (la
septième Eglise). Agissons rapidement, en attendons avec patience ce moment, qui se
généralisera lors du millénium, un nouveau millénaire.
Amen
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