Par Éric Ruiz
Dimanche soir, je me
suis couché avec un mot , un verbe qui résonnait dans ma tête comme un leitmotiv : « s'imbriquer ».
Impossible de
dormir...Il fallait que je prenne mon smartphone (seul moyen de conserver mes
pensées sans allumer la lumière et réveiller ma femme) et que j’ouvre l’application « Notes ».
Je voyais des éléments du temple d’Ezéchiel
s’imbriquer ensemble les uns dans les autres
comme un jeux de construction pour
enfants (vous savez ces jeux où les boites de différentes tailles s’emboîtent
les unes dans les autres) et je pensais que, de la même façon que ces boites
gigognes, Sion est imbriquée dans Jérusalem, que Jérusalem est imbriquée dans
Juda, qui l’est aussi dans Israël qui l’est aussi dans Isaac, qui l’est dans
Abraham et pour finir qui l’est aussi dans Adam: voilà comment le temple est
constitué par une succession d’imbrication : Les villes , les familles, les
peuples, tout s’imbriquent.
Jésus, n’a jamais
employé ce mot, mais n’expliquait-il pas la même chose après tout?
(Jean 14:9) « Celui
qui m’a vu a vu le Père » et (Matthieu 11:27)
« personne
ne connaît le Fils, si ce n'est le Père; personne non plus ne connaît le Père,
si ce n'est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. ».
Ce que je comprends,
c’est que le Père est comme imbriqué en Jésus-Christ, et vice et versa,
Jésus-Christ est imbriqué dans le Père. Mais aussi il est imbriqué dans celui à
qui, il a été révélé la connaissance du Père.
Pour les saints, assis sur le trône partageant la gloire du Père, on peut dire alors sans blasphémer : celui qui les a vus, a vu Christ en qui est le Père. Et celui qui a vu le Père a vu aussi tous ses fils, dans le fils.
Donc, au sein des élus du sanctuaire de la nouvelle Jérusalem, il y a à la fois Christ et le Père.
Il y a le Père, le
fils et le Saint-Esprit, qui sont imbriqués les uns dans les autres. De même,
on ne peut pas voir Dieu sans voir l’agneau immolé, ou bien sans en distinguer
le fils de l’homme.
C’est ce que je disais
en montrant le temple d’Ezéchiel conçu avec des formes géométriques carrées,
imbriquées les unes dans les autres.
La nouvelle Jérusalem est une maison extérieure qui révèle une autre maison intérieure.
Par ailleurs, parmi
ceux qui ont vu Christ, ils ont forcément vu aussi en eux les 4 êtres vivants,
comme ceux qui voient l’Epouse de Christ, constatent qu’elles possèdent aussi
ces 4 entités spirituelles fortes et indissociables du trône.
Ceux qui ont vu Dieu ont vu Elohim, Dieu pluriel ;
C’est-à-dire que ceux
qui ont vu Dieu ont vu :
Premièrement sa
parole, dans ses saints prophètes et ses apôtres, deuxièmement ils ont vu ses
fils en communion, troisièmement ils ont vu leur sacrifice, et quatrièmement
leurs prières ferventes.
Ceux qui ont vu Dieu ont vu le lieu saint, c’est-à-dire
Ceux qui ont vu Dieu ont vu le lieu saint, c’est-à-dire
1.
premièrement
des révélations quotidiennes (le chandelier qui ne cesse d’éclairer jour et
nuit), ils ont vu
2.
deuxièmement
les actes du Saint-Esprit (une huile renouvelée par les offrandes d’un peuple
soumis),
3.
troisièmement
un saint repas fraternel (une table à
manger dans le même bois que l’Arche de l’Alliance avec des pains sans levain)
4.
et quatrièmement, ils ont vu des prières, comme
de vraies louanges, dénuées de crainte et d’hypocrisie (un autel de parfum où
sort l’odeur de sacrifices d’amour très agréables).
Plus que des symboles,
ils ont vu alors des réalités spirituelles dans ceux qui l’ont manifesté
réellement ; Parce qu’il y a tout
cela qui construit et constitue Dieu.
Mêmes ces ustensiles du passé sont présents en Dieu. Même s’ils sont une ombre des choses à venir, ils traduisent une réalité. Ils sont comme le corps, ils sont en Christ (Colossiens 2 :17)
Mêmes ces ustensiles du passé sont présents en Dieu. Même s’ils sont une ombre des choses à venir, ils traduisent une réalité. Ils sont comme le corps, ils sont en Christ (Colossiens 2 :17)
Ôtez une de ses
parties c’est faire offense à Dieu et l’amoindrir.
Maintenant, la transfiguration c’est aussi une imbrication.
Dans quel sens ?
Moise et Élie sont imbriqués en Jésus, qui l’est aussi dans le Père ; et la voix qui vient du Père montre qu’il n’est pas seul, mais dans son fils bien aimé.
Moise et Élie sont imbriqués en Jésus, qui l’est aussi dans le Père ; et la voix qui vient du Père montre qu’il n’est pas seul, mais dans son fils bien aimé.
Jésus, Moïse et Elie
ne sont pas 3 tentes, 3 corps distincts comme le croyait faussement l’apôtre Pierre mais une seule et unique construction où tout
s’imbriquent parfaitement.
Donc pour résumer:
Dieu n’est pas constitué d’un seul et même
élément, mais de tout ce qu’il y a sur le trône et autour du trône (les 24
anciens en font eux-aussi partis).
C’est pour cela que
beaucoup de théologiens se perdent et s’emmêlent dans des explications les plus
extravagantes, en passant d’un Dieu unique, dans un seul homme, à un Dieu
trinitaire, ou encore à un Dieu qui change son nom, ses alliances, ses
promesses, ses commandements, son testament, en fonction des époques et des
dispensations ;
Jésus n’est pas venu se montrer, lui, mais il est venu montrer le Fils de l’homme et non le fils de Joseph ; il est venu montrer les fils imbriqués dans le Fils, c’est-à-dire des croyants incrustés, entremêlés au fils.
Etre le fils ne signifie en rien être le seul et unique fils, mais le premier né d’une postérité de fils, d’une filiation qui montre un lien de parenté indestructible, ce qui est bien, bien différent, vous en conviendrez.
Jésus n’est pas venu se montrer, lui, mais il est venu montrer le Fils de l’homme et non le fils de Joseph ; il est venu montrer les fils imbriqués dans le Fils, c’est-à-dire des croyants incrustés, entremêlés au fils.
Etre le fils ne signifie en rien être le seul et unique fils, mais le premier né d’une postérité de fils, d’une filiation qui montre un lien de parenté indestructible, ce qui est bien, bien différent, vous en conviendrez.
Il faut arrêter avec
cette idolâtrie du « fils unique » qui nous fait nous prosterner devant un
homme.
Résultat : nous nous attendons à revoir un Dieu limité dans un seul homme, cherchant qui, ou quel prophète tiendrait ce statut particulier et unique aujourd’hui.
C’est pourquoi, nous avons à faire à un Dieu très controversé par la religion : qui est tantôt visible dans une personne, tantôt invisible dans une nuée, tantôt dur et impartial avec la loi tantôt rempli de compassion et de miséricorde avec la grâce ; et ils affirment sans y voir leurs contradictions : « Dieu ne change pas !?».
Résultat : nous nous attendons à revoir un Dieu limité dans un seul homme, cherchant qui, ou quel prophète tiendrait ce statut particulier et unique aujourd’hui.
C’est pourquoi, nous avons à faire à un Dieu très controversé par la religion : qui est tantôt visible dans une personne, tantôt invisible dans une nuée, tantôt dur et impartial avec la loi tantôt rempli de compassion et de miséricorde avec la grâce ; et ils affirment sans y voir leurs contradictions : « Dieu ne change pas !?».
Ils ne savent pas qui il est en fin de
compte.
Ils sont ballottés
comme un bateau en pleine tempête sur les vagues d’une mer déchaînée par leurs
passions, essayant de maintenir un cap impossible.
Ils n’ont pas de stabilité parce que leur foi est instable.
Le cube, cette forme géométrique qui représente Sion ou la nouvelle Jérusalem, contrairement à la pyramide, montre la stabilité.
Ils n’ont pas de stabilité parce que leur foi est instable.
Le cube, cette forme géométrique qui représente Sion ou la nouvelle Jérusalem, contrairement à la pyramide, montre la stabilité.
Le cube est un symbole
de stabilité. Sion est d’une stabilité parfaite, qui résiste à tout,
inaltérable, indestructible et qui ne peut déchoir. Sion est à l’image de son
fondateur, elle ne change pas. Tout comme la Parole du créateur elle est
invariable et éternelle.
Pour en revenir à la
notion d’imbrication : ce n’est pas une notion légère, sans grande importance.
Nous devons en tenir
compte pour la vérité, car la vérité, c’est elle-seule qui nous affranchie, qui
nous libère des tenailles de l’ignorance et du mensonge.
Alors le dictionnaire nous dit que l’imbrication plus qu’un simple emboîtement ou une forme d’inclusion c’est : « une interdépendance d’éléments divers ».
Des éléments interdépendants ne peuvent en aucun cas être séparés, et compris indépendamment ; C’est comme un cordon d’amour qui relie tous ces éléments les uns aux autres ; et enlever un élément revient à briser ce cordon.
Alors le dictionnaire nous dit que l’imbrication plus qu’un simple emboîtement ou une forme d’inclusion c’est : « une interdépendance d’éléments divers ».
Des éléments interdépendants ne peuvent en aucun cas être séparés, et compris indépendamment ; C’est comme un cordon d’amour qui relie tous ces éléments les uns aux autres ; et enlever un élément revient à briser ce cordon.
C’est très émouvant
pour moi de vous parler d’un « cordon d’amour »,
Pourquoi ?
Parce que le
Saint-Esprit vient de me faire réaliser que samedi 6 octobre est une date
anniversaire : un an jour pour jour après le décès de ma mère ;
Et le Saint-Esprit
m’avait inspiré pour l’occasion, un message et un objet de souvenir.
Ma mère, en quittant
cette terre, nous avait laissé un héritage, et quel héritage ! (pas
seulement des quintes de toux enregistrés sur mes messages, ça c’est au passage
un petit clin d’œil)
un cordon d’amour
invisible, qui nous unis (nous, ceux et celles qui l’aimons) à elle.
Cet amour invisible,
j’ai eu envie de le rendre matériel et
visible, par justement un cordon doré formé de 3 nœuds (c’est ce que vous voyez
sur la vidéo).
La couleur or est
faite pour nous rappeler que ce matériau est porteur de richesse, d’une
richesse immatérielle et inaltérable qu’est l’amour.
Un nœud, pour
signifier un lien indestructible, le seul lien que Dieu ne vient pas briser en
nous : l’amour.
Le premier nœud :
le cœur de ma mère, le deuxième à l’autre extrémité celui de l’être proche que
nous représentons, chacun ; et le troisième, le nœud du milieu, quel
est-il ?
Eh bien c’est le cœur
de notre Dieu. Celui qui rend le cordon justement indestructible et vivant
éternellement.
Ce troisième nœud
s’est immiscé comme cela silencieusement dans notre vie, sans s’imposer, mais
en se laissant invoquer, en se laissant chercher et trouver ; c’est un
cœur qui s’est sacrifié pour que nos cœurs se relient ensemble.
Sans lui, nous étions
deux cordelettes, deux cœurs séparés, coupés de toute relation durable. C’est
lui qui nous relie ensemble et qui purifie ce cordon.
Alors, je suis tombé
par hasard sur la confirmation de tout cela.
Elle se trouve dans le
passé éternel, un commandement donné à Aaron, au souverain sacrificateur et aux
lévites consacrés. Ils devaient porter un vêtement sacré : notamment un
éphod (une espèce de manteau). Sur les épaulettes en or de l’Ephod devait se
trouver 2 chaînettes d’or pur en forme de cordon tressée et fixer aux montures.
Bon d’accord, mais
pourquoi, dans quel but ?
Accrochez-vous bien:
le texte biblique nous l’explique, au verset d’avant, Exode 28 :12
Ces chainettes servent
à se souvenir du nom des fils d’Israël et à les relier.
Qui est relié par ses deux
chainettes ?
Le cœur de Dieu et les noms des fils
d’Israël.
Ici le cœur de Dieu est représenté par le pectoral
du jugement, où se trouvent les pierres précieuses des 12 tribus.
Si vous comprenez
comme moi, le sens de ces chainettes tressées : elles servent à relier les
noms inscrits sur les pierres d’onyx des épaulettes, au pectoral, à chacune de
leur tribu (ces noms étaient inscrits par ordre de naissance). Et ce cœur de
Dieu, c’est le souverain sacrificateur qui le possède et qui l’incarne.
Mais si vous avez
suivi ma description vous me poserez certainement la question suivante :
Mais comment sont
représentés les nœuds de la cordelette sur l’éphod d’Aaron ?
J’y arrive justement.
Aux extrémités des chaînettes d’or devait se trouver un anneau d’or.
L’anneau dans la Bible
c’est l’alliance pour le (ou la) fiancé qui va se marier : c’est aussi le
signe de propriété pour l’esclave. Donc le cœur témoigne parfaitement de la
nature de notre alliance (Épouse de Christ ou esclave de ses péchés ?).
Mais ce n’est pas
tout, là aussi sans le chercher, la forme du pectoral m’a comme sauté, littéralement,
aux yeux (le pectoral, qui rappelons-le une nouvelle fois, représente le cœur
de Dieu) ;
Eh bien, sa forme est
non seulement un carré, mais un double carré (l’un imbriqué dans l’autre)
artistement travaillé avec de l’or.
Exode 25 :16 « Il seras carré et double ». Le
jugement de Dieu est parfait et double, comme le temple d’Ezéchiel qui possède
deux carrés: Toujours la même question en suspens : Sommes-nous
libre ou esclave ?
Vous voyez, un an
auparavant j’avais commencé à montrer par ce cordon d’amour que nous étions
interdépendants les uns des autres et que Dieu relie les familles, les tribus
par son intermédiaire. Je n’avais pas vu la confirmation, mais là encore une
preuve éclatante que rien dans ce que le Seigneur à commander de faire
est dénuer de sens profond.
Alors, ce jour-là, ce
10 octobre 2017, chaque personne présente n’est pas repartie avec un grigri, un
porte-bonheur ou un objet de culte, mais avec un souvenir qui représente ce
qu’il y a dans son cœur : une imbrication d’amour.
Ce cordon doré à 3
nœuds relie la terre au ciel et le ciel à la terre.
Non, ce n’est pas une
image exagérée, c’est un symbole puissant de ce que représente notre Dieu.
Paul insistait dans
ses lettres sur ce lien de perfection : « Mais par-dessus tout revêtez-vous de l’amour qui est le lien de
la perfection »
L’imbrication d’amour :
Jésus, à maintes
reprises a essayé, lui aussi, de nous faire comprendre ces choses saintes.
Prenons par exemple
Jean 5:29
« Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné
l'intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes dans le Véritable,
en son Fils Jésus-Christ. C'est lui qui est le Dieu véritable, et la vie
éternelle. »
Encore un jeu d’imbrication,
ni plus ni moins. Une seule maison, une seule habitation : Nous sommes dans le
véritable en Jésus-Christ.
C’est-à-dire que c’est
nous alors qui montons le cheval blanc d’Apocalypse 19, parce que nous portons
son nom : « celui qui le
montait s’appelle fidèle et
véritable » et c’est bien nous aussi qui combattons avec justice.
Vous voyez le véritable, ce n’est pas qu’une personne seulement, c’est aussi Sion, la nouvelle Jérusalem, représentant la pluralité de notre Dieu. Sa sagesse infiniment variée qui montre les multiples dimensions de son amour et de sa gloire.
Toutes ses fonctions
sont rassemblées en lui et sont emboîtées les unes dans les autres.
Notre Époux divin est imbriqué
avec son Épouse, imbriqué avec son peuple, sa tribu, son trône, son Temple, ses
attributs, son prophète ; il est imbriqué avec le cœur pur et régénéré du
croyant...
N’oublions pas qu’avec cette imbrication, Dieu se rend dépendant de nous, comme nous le sommes de lui. Ce n’est pas une relation de dépendance en sens unique, sinon on reviendrait encore à un système injuste d’esclavage et d’oppression.
N’oublions pas qu’avec cette imbrication, Dieu se rend dépendant de nous, comme nous le sommes de lui. Ce n’est pas une relation de dépendance en sens unique, sinon on reviendrait encore à un système injuste d’esclavage et d’oppression.
La soumission existe
dans les deux cas.
La preuve ?
Les deux chérubins de
l’Arche de l’Alliance, sont-ils dans une attitude différente l’un vis-à-vis de
l’autre ?
Non, ils se courbent
l’un devant l’autre, ils s’humilient mutuellement regardant au cœur de l’Arche.
Dans le concret :
Nous l’invoquons, alors que nous sommes au plus bas et
il vient nous sauver
Nous demandons, et il répond ;
Nous frappons et il nous ouvre ;
Nous agissons et il nous inspire
Nous soupirons et il nous entend et comprend
notre peine.
Nous perdons un cheveu et il le sait.
Il s’est rendu dépendant de TOUS nos besoins.
Il nous éclaire par son chandelier à sept
branches continuellement, de jour comme de nuit, ça s’est sa soumission.
Mais attention, l’huile
qui en brûlant nous éclaire, provient de nos offrandes quotidiennes, de leurs
fruits.
Les fruits, quels
fruits ?
Pardon, mais ce sont
ceux d’un mort.
Ceux qui sont ressuscités
sont morts avec Christ ; et la vie d’un mort en Christ : c’est un
cœur bien disposé, une attention particulière pour les autres, une abnégation
de soi-même, une bonté, qui n’a aucune fausse apparence de piété… Car sans
huile, pas de lumière.
La sagesse issue des
doctrines humaines n’apporte aucune huile, donc aucune lumière, c’est pour cela
qu’elle est ténèbres.
Nos offrandes sont l’inverse, car elles
sont offertes sans calcul, ni hypocrisie et c’est pour cela qu’elles ouvrent
notre droit à la dépendance.
Oui, c’est bien le mot dépendance que vous avez compris ici et il est bien supérieur à celui d’indépendance prôné par l’esprit de ce monde.
Un disciple accompli réclame
son droit à la dépendance envers son Père ;
Une véritable épouse l’est de même
envers son mari, elle est dépendante de lui, et lui il est dépendant d’elle.
La liberté
est à ce niveau de réalité là.
Alors pour en revenir à ces jeux pour enfants,
à ces boites gigognes que l’on empile ou que l’on imbrique les unes dans les
autres, le but de ce jeu est d’apprendre au jeune enfant à construire et à déconstruire.
Le fils de
l’homme n’a-t-il pas cette même vocation, puisqu’il
déconstruit pour reconstruire?
Amos
9 :11 : « Je
relèverai de sa chute la maison de David, j’en réparerai les brèches, j’en
redresserai les ruines, et je l’a
rebâtirai comme elle était autrefois ».
Le fils de
l’homme détruit les fausses doctrines, pour libérer le croyant, le relever et
pour qu’il puisse réparer ses brèches avec les bons matériaux de la parole (s’éloigner
de ses fautes) et se relever de ses ruines (se relever de ses échecs et se
libérer de son passé).
De
même, le fils de l’homme s’est livré à la mort pour ressusciter corps glorifié.
Donc,
construire-déconstruire, c’est aussi mourir-renaître.
Je
finirai juste par dire et reconfirmer que le fils de l’homme c’est la
résurrection et la vie dans tous les sens du terme.
Soyez
renouvelés par ce cordon d’amour et soyez fortifiés dans votre foi en Dieu,
sachant qu’elle est imbriquée en vous comme vous l’êtes en lui (notre Père) si
seulement vous gardez ses commandements.
Amen
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