Par Éric Ruiz
Les migrants aujourd’hui couvrent quotidiennement
l’actualité, à cause de la crise migratoire que connait l’Europe entière (et
même une partie du monde).
Des migrants arrivent de partout et très souvent au péril de leur vie.
Qui portait ce nom de migrants à l’origine ?
Réponse : ce sont les Hébreux
Eber, traduit de l’hébreu par: « de l’autre bord » possède une racine Abar, qui signifie : «peuple d’émigrés qui a quitté son territoire ».
Alors bien-sûr ce peuple venant de différentes nations ne descend pas des Hébreux (quoique certains, sans doute)
Des migrants arrivent de partout et très souvent au péril de leur vie.
Qui portait ce nom de migrants à l’origine ?
Réponse : ce sont les Hébreux
Eber, traduit de l’hébreu par: « de l’autre bord » possède une racine Abar, qui signifie : «peuple d’émigrés qui a quitté son territoire ».
Alors bien-sûr ce peuple venant de différentes nations ne descend pas des Hébreux (quoique certains, sans doute)
Mais rappelons-nous que Dieu se sert des événements d’actualité ou de faits historiques marquants, pour que nous soyons saisis par leur réalité spirituelle.
C’est pour cela que je crois qu’à chaque diaspora, il
s’est passé dans les cœurs un renouveau ; A chaque fois qu’il a eu la
dispersion d’un peuple, il y a eu spirituellement un réveil et un
rassemblement.
D’un mal, Dieu a le plus souvent fait un bien.
Par conséquent, l’exode n’est pas qu’un fait relevant
du passé, mais l’exode c’est une réalité, comme un problème devenu mondial aujourd’hui.
Si en 2018, les migrants sont aussi importants, s’ils captivent autant l’attention, c’est aussi pour nous faire réagir sur ce qu’ils représentent spirituellement. Il y a quelque chose d’inédit et de mondial qui se prépare dans l’ombre, de manière caché.
Cela me rappelle un dicton africain qui dit : « un
arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse »
La terre est en train de montrer par le bruit des émigrés qui souffrent ce qui se fait au ciel, sans bruit.
La terre est en train de montrer par le bruit des émigrés qui souffrent ce qui se fait au ciel, sans bruit.
La terre est la manifestation de l’Esprit divin mais pas seulement...des mauvais esprits aussi.
C’est exactement comme les actes de nos corps ou les paroles de notre bouche : ils sont aussi la manifestation de notre esprit : bon ou mauvais, d’ailleurs ;
S’il n’y a pas de relation entre le corps et l’esprit
nous ressemblons ni plus ni moins qu’à des morts vivants.
Dieu le Père n’est pas juste un pur esprit, ni un mort
vivant et c’est pour cette raison que nous, êtres humains, nous sommes-là, créé
à sa ressemblance.
C’est nous qui témoignons de son existence, par la
nôtre.
Et de nos jours, notre Père est en train de rassembler ses fils, (ses Hébreux), de les faire migrer (de les faire passer de l’autre bord, en défaisant leurs liens).
Il les rassemble ainsi de toutes les nations du monde
pour la moisson,
Oui, toutes les nations du monde : Il n’y a qu’à regarder les chiffres : plus de 68 millions de personnes ont été déracinées en 2017...mais ....pour certains, leur déracinement c’est fait au prix de leur vie.
Oui, toutes les nations du monde : Il n’y a qu’à regarder les chiffres : plus de 68 millions de personnes ont été déracinées en 2017...mais ....pour certains, leur déracinement c’est fait au prix de leur vie.
Les migrants sont prêts à tout pour gagner les côtes d’une nation libre; beaucoup d’ailleurs ne voient jamais le rivage et sombrent dans la mer ;
Ou alors ils débarquent, mais ils vont se heurter à
une vie précaire, incertaine au jour le jour, sans savoir comme le fils de
l’homme, où ils vont bien pouvoir poser leur tête.
Et nous chrétiens ....jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour atteindre cette liberté en Christ?
Pourtant, donner notre vie c’est le prix à payer. Celui qui n’est pas capable de tout quitter, toutes ses attaches familiales et sentimentales (Père, mère, frères et sœurs) et même de perdre sa propre vie pour Dieu ne peut être son disciple (Luc 14:33).
C’est assez étonnant, car il y a deux extrêmes: l’amour divin, d’un côté, qui prépare ses disciples par leur sacrifice
(« Rassemblez-moi
mes fidèles (mes bien-aimés, agapetos en grec, Qui ont fait alliance avec moi
par le sacrifice! » (Esaïe 50 : 5)
Une chose : (Contrairement à ce que la religion
souhaite nous inculquer).
Esaïe n’entrevoit
pas un seul sacrifice, il ne parle pas du sacrifice du fils de Dieu uniquement,
mais c’est notre sacrifice qui permet d’être sous l’alliance du
sacrifice de Jésus-Christ.
Oui, l’alliance se fait bien par le sang. Mais le sang de Dieu qui purifie ne se fait pas à
la place de notre propre sang qui coule.
Le premier ne vient-il pas purifier justement le
deuxième ?
(Le sang de Dieu ne vient-il pas purifier le nôtre ?)
Sans
effusion de sang il n’y a point de pardon.
Nous devons briser nos anciens dogmes et nous devons retirer d’abord nos craintes et nos peurs vis-à-vis de la
souffrance et de la mort avant de pouvoir comprendre cela (que sans effusion de
sang il ne peut y avoir de pardon).Sinon nous sommes incapable de supporter les
épreuves à venir.
Si nous
ne souffrons pas pour Dieu comme lui a aussi souffert pour nous, notre pardon
n’est pas véritable, pire : c’est une fausse alliance.
La douleur qui accompagne nos actes est comme une signature,
comme un sceau en bas de notre pardon accordé.
Ce qui signifie en clair que plus nous avons été meurtris
et blessés par une personne ou à cause d’elle, plus notre pardon à son égard a
de la valeur ; Sinon soyons cohérent : pourquoi tendre l’autre joue à
celui qui vient nous gifler ? Pourquoi donner notre vêtement à une
personne qui le réclame ?
Toute relation d’amour qui commence dans la virginité se
fait par le sang, même dans la réalité.
Ce voile de la femme qu’est l’hymen, cette membrane se
déchire et saigne lors d’un premier rapport.
Si Dieu créateur en a voulu ainsi, c’est pour nous montrer
que toute union véritable à sa valeur et sa signature par le sang.
L’Epouse de Christ, ce sont des croyants appelés
« vierges ».
La parabole de Jésus parle de vierges sages qui ont une
réserve d’huile indispensable au royaume. Ces 5 vierges s’unissent par
conséquent par leur sacrifice, par leur propre sang à leur Époux divin (vierge
aussi).
La loi dans tout cela, c’est :
Ne fuyons
pas nos épreuves, elles sont la marque de notre alliance.
Alors l’autre extrême : c’est l’amour charnel,
qui rassemble celles et ceux qui pensent à eux, même quand ils pensent aux
autres ; et qui ne se voient pas sous une fausse alliance ; ils
croient qu’ils sont comme protégés de leurs souffrances par Jésus, le fils de
Dieu, qui a souffert à leur place.
Oui il a souffert à leur place, mais la souffrance est
une réalité aussi pour le fils de l’homme, et je vous ramène aux
messages : Qui est le fils de l’homme ?
Ceux qui se placent sous ce faux sacrifice, cette fausse
alliance, ce sont ceux qui remettent tout, en fonction de leurs propres besoins
et de leurs désirs ;
Et je vais plus loin, mais ceux qui aiment ce
sacrifice n’hésitent pas à sacrifier les autres pour leur propre cause,
même et surtout pour une cause divine.
Vous voyez, quoi que l’on fasse, il y a toujours une affaire de sacrifice
qu’elle soit vraie ou fausse, elle existe et persiste.
Nous devons passer par ce quatrième tonnerre divin :
le renoncement, cette traversée du désert, ce dénuement complet devant Dieu.
Alors pendant ce temps, l’amour charnel regarde du côté d’Israël, pour voir quand le troisième temple va y être construit.
Ils regardent avec leur cœur : du mauvais côté. Ils voient et attendent que les Hébreux, (un peuple saint) se rassemble à Jérusalem, dans la capitale d’Israël, pour un grand conflit mondial : la bataille d’Armageddon.
Alors que la nouvelle Jérusalem, elle, n’est pas là-bas.
Il y a un nouveau ciel et une nouvelle terre pour
cette cité sainte (c’est ce que l’apôtre Jean a vu en esprit et qu’il a relaté
dans Apocalypse 21).
« Alors je vis un
nouveau ciel et une nouvelle terre. Le premier ciel et la première
terre avaient disparu, et il n'y avait plus de mer. (Il n’y a plus un peuple
réuni comme les hébreux) Et je vis la ville sainte, la nouvelle Jérusalem,
qui descendait du ciel, envoyée par Dieu, prête comme une épouse qui s'est
faite belle pour aller à la rencontre de son mari. J'entendis une voix
forte qui venait du trône et disait: Maintenant la demeure de Dieu est parmi
les hommes! Il demeurera avec eux et ils seront son peuple. Dieu lui-même sera
avec eux, il sera leur Dieu … En
effet, les choses anciennes auront disparu».
Le nouveau ciel c’est le Saint-Esprit et c’est lui qui descend du ciel pour se fondre avec l’Epouse (la ville Sainte, le peuple saint). C’est de cette façon que Dieu établi son trône avec les hommes.
et le ciel nouveau s’est aussi l’Arche de l’Alliance
qui s’est déplacée (mais qui, c’est vrai, n’existe plus).
Mais cette Arche montrait déjà une onction qui se
déplace d’un lieu à un autre et aussi d’un peuple à un autre.
Le peuple désobéissant, d’ailleurs, qui possédait cet
objet sacré, avait la même punition que ceux qui blasphème contre l’esprit
aujourd’hui : Des jours de malheurs (voilà leur rétribution).
Le nouveau ciel et la nouvelle terre : c’est un cœur nouveau.
Le temple du Saint-Esprit est dans une nouvelle terre seulement
quand il est dans un cœur nouveau.
Alors oui, un troisième temple sera construit je le crois, mais il sera construit par des rebelles, par l’esprit d’Egypte, sous l’inspiration d’une pensée pyramidale, d’une puissance diabolique.
Comment savoir si cela est vrai?
Uniquement par la foi .....Et oui cette foi qui a pratiquement disparu de la terre dont s’interroge d’ailleurs, le fils de l’homme à son retour.
Alors oui, un troisième temple sera construit je le crois, mais il sera construit par des rebelles, par l’esprit d’Egypte, sous l’inspiration d’une pensée pyramidale, d’une puissance diabolique.
Comment savoir si cela est vrai?
Uniquement par la foi .....Et oui cette foi qui a pratiquement disparu de la terre dont s’interroge d’ailleurs, le fils de l’homme à son retour.
« Trouverai-je la foi sur la terre? »
Oui, il l’a trouvera… mais seulement parmi un petit
peuple, pas nombreux hélas, des laissés pour compte, qui ont persévéré malgré
les insultes, malgré la moquerie, comme l’on fait avant eux les prophètes.
Ce petit peuple ne s’endurcira pas dans la fournaise
de ses épreuves mais par une attitude de prière profonde et d’humilité, il
cherche à ne faire que des choses pour les autres, et à être bienveillant et
aimant.
Alors finalement, cette terre que nous devons quitter n’est-elle pas aussi et surtout notre vielle terre, notre vielle nature animale et charnelle qui nous pousse à tous les actes d’oppression (sur nous-mêmes d’abord, car c’est nous le premier qui subissons l’esclavage de notre vielle nature) ?
Alors finalement, cette terre que nous devons quitter n’est-elle pas aussi et surtout notre vielle terre, notre vielle nature animale et charnelle qui nous pousse à tous les actes d’oppression (sur nous-mêmes d’abord, car c’est nous le premier qui subissons l’esclavage de notre vielle nature) ?
Ne devons-nous pas sacrifier cette prison charnelle
qui a été une fausse sécurité, une amie déloyale et adultère qui nous a fait
croire que nous étions capables du bien alors que le mal a toujours été le
vainqueur ?
Alors oui la migration est bonne, mais attention, elle
est bonne à une seule condition : seulement si nous atteignons l’autre
bord.
Après avoir traversé une mer d’incertitude, d’épreuves
et de souffrances, nous devons atteindre l’autre bord : cette terre faite
d’eau et d’esprit, ce nouvel être transfiguré, incorruptible.
Pourquoi se décourager et s’arrêter en route, alors ?
Si notre foi est vaine, nous aurions fait tout ce
chemin pour rien, nous aurions persévérer en vain.
Tout cela peut paraître difficile à comprendre au
premier abord, mais le voyage que tout migrant (car un croyant possède en lui
une même âme de migrant) a du faire ou fera sur terre, montrera à quel point il
est capable de tout laisser, de tout quitter pour revenir vers sa terre natale
(qui paradoxalement n’est autre que le ciel, le royaume de Dieu, sa vraie
nature en Christ).
Ne soyons pas perplexe, ne doutons pas pendant notre
migration, je le répète elle indispensable.
L’apôtre Jean a migré, lorsqu’il devait marcher sur
l’eau pour rejoindre Jésus. Les apôtres ont migré pendant 40 jours avant de
recevoir l’effusion du Saint-Esprit.
Dieu veut que l’on se souvienne de cette migration,
comme d’un passage salutaire,
Ce passage est à ce point décisif puisque Dieu en a
fait une fête, un souvenir à commémorer : c’est la Pâque (qui signifie :
le passage ; passer de l’autre bord)
L’ancien prophète d’Israël : Michée nous en donne
encore un exemple ;
(Michée 4 :7, mais commençons un peu avant, au
verset 6)
« En
ce jour-là, dit l’Éternel, je recueillerai les boiteux, Je rassemblerai ceux
qui étaient chassés, Ceux que j'avais maltraités.
Des boiteux je ferai un reste, De ceux qui étaient chassés une nation puissante; Et l’Éternel régnera sur eux, à la montagne de Sion, Dès lors et pour toujours ».
Des boiteux je ferai un reste, De ceux qui étaient chassés une nation puissante; Et l’Éternel régnera sur eux, à la montagne de Sion, Dès lors et pour toujours ».
Vous voyez, l’Epouse de Dieu est chassée
d’une nation, c’est une étrangère ; elle n’est pas dans son pays
d’origine, elle a été envoyée au loin, chassée, elle a été persécutée, elle a
connu des tribulations.
C’est important de connaître cela pour ne pas
voir dans nos épreuves, une injustice, mais plutôt une purification.
Le feu de l’épreuve purifie, il n’extermine
pas, il élève au contraire. Et l’élévation, n’en doutons pas, se fait de la
même manière pour tous ceux qui croient : dans l’abaissement, plus encore
dans un corps mort (car c’est là que s’assemblerons les aigles, le peuple
saint : à partir du cadavre de nos corps, de notre chair, Matthieu
24 :28) ; Ezéchiel a vu des ossements humains reprendre vie et le Saint-Esprit
souffler sur eux. Il n’a pas vu un peuple debout.
Et oui, je reviens sur cette
réalité-là : l’Epouse de Dieu est une étrangère
Regardez les femmes dans la Bible, quelles
sont celles qui ont-été les plus belles ?
; Eh bien les femmes les plus magnifiques
sont celles qui ont d’abord connue l’exil, les souffrances, et les
persécutions.
·
Rachel
femme de Jacob était belle de figure mais pas de cœur, tandis que Léa sa sœur
étaient, elle, dans les souffrances par un problème de vue, un manque de
reconnaissance et d’amour ;
Et qui plus est, elle a été persécutée par sa
propre sœur Rachel, qui était jalouse d’elle (jalouse de sa fécondité et du
fait qu’elle bénéficiait d’un droit d’aînesse). Résultat ; elle fut béni,
elle enfanta 6 des douze tribus d’Israël dont la tribu de Juda et pour finir Dina
: la seule fille de Jacob (qui aura un bel et surprenant héritage, car
elle aussi elle tirera sa bénédiction du déshonneur qu’elle connaîtra avec un
roi étranger de Sichem)
·
La
reine Esther, quant à elle, avait réussi à séduire le cœur du roi Perse
Assuérus, par une attitude exemplaire de piété :
Elle a connu l’exil, puis la persécution ;
pas une petite persécution…un édit royal d’extermination de tout le peuple Judéen en exil avait été rédigé par Haman, l’homme de confiance du roi.
Donc c’est tout le peuple Judéen d’Esther qui
devait connaître un génocide.
Pour le sauver, Esther a risqué sa vie. Manifestant
l’amour pour son peuple, elle jeûna trois jours avec lui, puis elle se présenta
devant le roi.
Sachant qu’elle bafouait les lois de son
royaume, elle devait légalement mourir pour cela. Mais aucune importance, rien
n’arrêta sa volonté de justice et d’amour. Elle a la ceinture de vérité à sa
taille et la cuirasse de la justice. Elle à l’assurance d’un jeune lion, elle
savait qu’elle pratiquait la justice de Dieu.
Elle trouva grâce aux yeux du roi qui touché
par sa tristesse, lui offrit de répondre à toutes ses revendications, même la
moitié du royaume si elle le réclamait.
·
Et
Ruth, l’étrangère, la moabite qui fait partie de la généalogie de Jésus. Elle
est le type même du sarment rattaché au cep, voilà ce qu’elle a été.
Lorsqu’elle part avec Naomi, sa belle-mère (qui
veut revenir en Judée chez elle), elle ne le fait pas par envie, en cherchant
une consolation ailleurs (puisqu’elle a comme Naomi perdu aussi son mari), elle
ne s’en va pas prospérer ailleurs ; elle s’en va, mais pour soutenir Naomi
dans sa détresse. Et quand elle arrive à Bethléem, elles sont toutes deux comme
des réfugiées, elles n’ont que leurs vêtements et leurs bras comme force de
travail et rien d’autres.
Ruth se fait remarquer, alors, par Boaz, un
riche exploitant, parce qu’elle vient toute la journée travailler dans ses
champs ; mais surtout, Boaz est impressionner par le fait qu’elle ait tout
quitté pour soutenir Naomi, pour aller dans une nation inconnue. Mais Dieu
avait déjà tout prévu ; Moab avait un droit de rachat sur Ruth parce
qu’elle faisait partie de sa famille en ayant épousée son défunt mari Alimélec
(qui était d’origine judéenne).
Voilà comment Ruth a donné naissance à Obed (grand-père
du roi David).
Et voilà comment un migrant, une réfugiée se
joint à la famille de Juda, à la lignée royale (elle qui n’avait à priori
aucune destinée ni aucun avenir en Judée).
Ces beaux exemples, d’Epouse, montrent toute
une destinée incroyable, ils montrent encore une fois l’alliance avec Dieu ;
Ce mariage qui s’est fait par le sang, par la souffrance et par le renoncement.
La fête Juive de Pourim illustre bien la
volonté du Seigneur de venir chercher lui-même celle qui l’aime et qui est en
danger de mort dans un pays étranger. Comme il l’a fait avec la reine Esther et
le peuple Judéen, Dieu attend le jeûne et la repentance de son peuple pour venir
le sauver par des miracles et des prodiges.
Ainsi
donc, aucun fils de Dieu ne peut être rassemblé, simplement parce qu’il croit
et qu’il est baptisé d’eau ;
mais c’est en passant par ce quatrième tonnerre du renoncement, que s’ouvre la
voie de l’héritage, le chemin de la cité céleste, le baptême du Saint-Esprit.
Alors une dernière chose, toutefois :
Pourquoi cette fête de Pourim reste et
restera une fête perpétuelle, même pendant le millénium ?
Eh bien, parce que le fils de l’homme viendra
encore sauver un peuple de la mort ; il arrivera encore au milieu des
souffrances d’un peuple rebelle, qui viendra se repentir et c’est vers l’épouse
de Christ, vers les sacrificateurs de Dieu que ce peuple se présentera pour
brûler ses fautes sur l’autel.
C’est ce que nous lisons dans Ézéchiel 44 : à partir du verset 9
« Ainsi
parle le Seigneur, l’Éternel: Aucun étranger, incirconcis de cœur et
incirconcis de chair, n'entrera dans mon sanctuaire, aucun des étrangers qui seront au milieu des enfants d'Israël (Ici
les vrais migrants, le vrais étrangers sont ceux qui ont aimé le péché, qui ont
persévéré dans cet égarement). De plus, les
Lévites qui se sont éloignés de moi, quand Israël s'égarait et se détournait de
moi pour suivre ses idoles, porteront la
peine de leur iniquité. Ils seront dans
mon sanctuaire comme serviteurs, ils auront la garde des portes de la maison;
et feront le service de la maison; (le
service de la maison n’est pas celui du temple) ils égorgeront pour le
peuple les victimes destinées aux holocaustes et aux autres sacrifices,( ici, je vous rappelle que les victimes se sont les fautes ;
on est victime de son orgueil, de sa colère, de ses envies… et c’est ce que
feront les étrangers, ils s’éloigneront de leurs victimes en les égorgeant, en
les tuant et en les brûlant ; et ils annonceront au reste du peuple de faire la
même chose) et ils se tiendront
devant lui pour être à son service. (Devant Lui, c’est Dieu représenté par son Épouse) Parce qu'ils l'ont servi devant ses idoles, et qu'ils ont fait tomber
dans le péché la maison d'Israël, (ces
étrangers se sont opposés aux vrais croyants et à la vrai doctrine de
Christ) je lève ma main sur eux, dit
le Seigneur, l’Éternel, pour qu'ils portent la peine de leur iniquité. Ils ne s'approcheront pas de moi pour être à mon service dans le
sacerdoce, ils ne s'approcheront pas de mes sanctuaires, de mes lieux très
saints; ils porteront la peine de leur ignominie et des abominations qu'ils ont
commises. Je leur donnerai la garde de la maison, et ils en feront tout le
service et tout ce qui doit s'y faire (voilà
ils resteront au quatrième tonnerre, à celui du renoncement, ils verront leur
fautes, pourront se convertir, mais ils porteront la peine de leur ignominie,
ils n’auront pas accès au temple qui est le Saint-Esprit).
Mais les sacrificateurs, les Lévites, fils de Tsadok, qui ont fait le service de mon sanctuaire quand les enfants d'Israël s'égaraient loin de moi, ceux-là s'approcheront de moi pour me servir, et se tiendront devant moi pour m'offrir la graisse et le sang, dit le Seigneur, l’Éternel. Ils entreront dans mon sanctuaire, ils s'approcheront de ma table pour me servir, ils seront à mon service » (ils auront, eux, les sacrificateurs, fils de Tsadok, le même rôle qu’un souverain sacrificateur, ils seront comme Christ et ils s’occuperont de la graisse et du sang, c’est-à-dire qu’ils feront des sacrifices qui ont une valeur supérieure et élevée, et je préciserai : avec une odeur de myrrhe, par le Saint-Esprit).
Mais les sacrificateurs, les Lévites, fils de Tsadok, qui ont fait le service de mon sanctuaire quand les enfants d'Israël s'égaraient loin de moi, ceux-là s'approcheront de moi pour me servir, et se tiendront devant moi pour m'offrir la graisse et le sang, dit le Seigneur, l’Éternel. Ils entreront dans mon sanctuaire, ils s'approcheront de ma table pour me servir, ils seront à mon service » (ils auront, eux, les sacrificateurs, fils de Tsadok, le même rôle qu’un souverain sacrificateur, ils seront comme Christ et ils s’occuperont de la graisse et du sang, c’est-à-dire qu’ils feront des sacrifices qui ont une valeur supérieure et élevée, et je préciserai : avec une odeur de myrrhe, par le Saint-Esprit).
Amen
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